Xavier d’Andeville; Le peintre qui donne vie aux licornes, aux fontaine et aux besants … entre autres.

Xavier d’Andeville, l’un des seuls héraldistes de France; Une  vidéo de 12’50 « 

https://www.youtube.com/watch?v=8qUBxJSk2B8&feature=player_embedded

LISIEUX TV

Ajoutée le 20 sept. 2013

http://lesroissouterrains.over-blog.com/2017/02/aux-armes.html

 

0 thoughts on “Xavier d’Andeville; Le peintre qui donne vie aux licornes, aux fontaine et aux besants … entre autres.

  1. Hervé J. VOLTO

    Publicitaire de fornation, votre serviteur dessine à ses heures perdues, parfois même des blasons pour des amis. Ce Xavier d’Andeville est un héraldiste de haut niveau . non seulement, il sait dessiner -se esquisses sont de qualité- mais en plus il sait graver. Là où on pourrait donner raison au Conseil dans l’Espérence du Roi, c’est qu’il faut éviter de faire n’importe quoi. Comme le dit lui-même Xavier d’Andeville, le blason n’est plus protégé depuis 1872. Et la République se garde bien d’intervenir en queoi que ce soit en la matière ! seules de Grande Familles possédant un Blason peuvent le faire protéger comme on prtège un nom.

    Où quelqu’un comme Rhonan de Bar, qui s’est fait faire un blason par un concurrent de M. d’Andeville, a du le ensuite le faire protéger. Si vous saviez dans le domaine viticole les abus que l’on peut rencontrer en matière de blason !!! Il appartiendra au futur Roi, lorsqu’il remontera sur le Trône de ses ancêtres, de prendre des décisions en ce sens, recrééer une autorité -Conseil d’Armes, Juges d’Armes, Hérault d’arme, etc…- compétente en matière de blason, l’Héraldique et l’anoblissement étant de la compétence exclusive du Roi, domaine réservé du Monarque, avec la défense, la diplomatie et la justice…

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  2. Conseil dans l'Espérance du Roi

    Excusez-nous, votre Honneur, mais l’héraldique n’est en aucun cas de la compétence du roi. En France chacun a toujours été et reste libre de choisir et de porter les armoiries de son choix. A la seule condition de ne pas usurper celles d’autrui. Il est donc de la compétence des tribunaux de trancher. Et c’est très bien comme cela. Evitant les prétentions, tôt ou tard fiscales, d’un règlement des armoiries par le roi et ses officiers en la matière. Le fameux mais catastrophique Edit de 1696 en est la démonstration. Il finit d’ailleurs comme il le devait…à la corbeille !

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