LE ROYALISME TRIOMPHERA !
Marie-Julier Jahenny (1850-1941) est une voyante Catholique bretonne de Blain, près de Nantes, qui eut des extases et porta les stigmates du Christ. Ses visions prophétiques révèlèrent des catastrophes pour notre France contemporaine -on y est- mais aussi le retour d’un Roi pour sauver l’Eglise et la France.
Le Royalisme persiste malgrès les décennies et les condamnations mais il est fortement divisé. Trois courant dominent avec trois Prétendants :
1. Le courant LEGITIMISTE avec le Prince LOUIS DE BOURBOM. Le Légitimisme s’en remet au principe Royal qui est que le Roi est la seule autorité Légitime émanant de Dieu. Le Survivantisme, qui croit en la survivance de Louis XVII, et le Parmisme, constitué autour du Prince Sixte-henri de Bourbon-Parme et qui ne croit ni en la survivance de Louis XVII ni en la Légitimité du Prince Louis de Bourbon mais entend appliquer en France les principes carlistes -Dio, Ptria, fuoros y Rey legitimos (Dieu, Patrie, Foyers et Roi Légitime)- ne sont que des néo-Légitimismes : le principe est le même, seul le Prétendant change.
2. Le courant ORLEANISTE avec le Prince JEAN D’ORLEANS. L’Orléanisme, au contraire du Légitimisme, s’en remet à la volonté populaire pour l’appel au Roi, vu comme une impérieuse nécessité nationale, la Monarchie étant à leurs yeux la présence du Sacré dans le pouvoir, la continuité de la France, le destin national incarné par un Souverain indépendant des capprices du suffrage universel et du diktat de établissements banquaires.
3. Le courant PROVIDENTIALISTE avec un Roi inconnu, dont on ne connaît que le nom : HENRI DE LA CROIX. Le Providentialisme a pour principe de s’en remettre à Dieu pour le choix et l’avènement du Roi à venir.
Marie-Julie Jahenny, dans plusieurs extases, a annoncé le futur Grand Monarque SMTC HENRI V DE LA CROIX (comme il y eu un Philippe VI de Valois), ROI DE FRANCE ET D’ITALIE, EMPEREUR DES CHRETIENS : ce ne sont pas les prétendants que l’on nous présente aujourd’hui qui seraient appellés à siéger sur le Trône de France.
Cette dernière prophétie semble confirmer et appuyer le mouvement Providentialiste parce que le Grand Monarque annoncé serait inconnu jusqu’au dernier moment. Il est précisé qu’auparavant, il y aurait un faux Roi dont il faudrait se méfier.
Ainsi les prophéties du Grand Monarque parlent effectivement d’un retrour à la Monarchie en France. Dans un contexte de de crise majeure, de guerres civile et mondiale, le Roi sera pour nous le seul Salut dans ce cahos.
La République est donc appellé à disparaître, et avec elle toutes les crimes de la Révolution : la décapitation du Constantin héréditaire de la France, la déchristianissation progressive de la France et l’islamisation progressive de l’Europe…
Pour que vive la France, vive le Roi !!!
L’intéret pour la Royauté Française augmente à mesure que la République éloigne la France du Bien Commun.
On croyait le Royalisme Français disparu depuis l’échec et la condamnation de Maurras en 1945. En outre, les grands enjeux politiques d’après-guerre (affrontement Est-Ouest, décolonisation, revendications sociales et culturelles, Mai 68, etc…) semblaient avoir relégué aux oubliettes de l’Histoire le débat entre les mérites comparés du Royalisme et du républicanisme. Jusqu’à la chute de Berlin, la seule question était de savoir s’il valait mieux avoir tort avec Jean-Paul Sartre que raison avec Raymon Aron…
Mais la chute du communisme, et plus généralement l’échec des idéologies de gauche, ont libéré un espace idéologique permettant aux intellectuels de reposer, chez nous, la question des institutions : Monarchie ou république ?
Dans l’oeuvre du Raspail, LE ROI AU-DELA DE LA MER, ouvrage séduisant au contour de tout vrai Royaliste, qui ne peut qu’espérer et recréer à son tour ce que pourrait accomplir le souverain combattant, le souverain en marche vers son trône. Le principe du livre est cependant de l’ordre du retour. Raspail s’adresse aux Princes de France dans un roman lettre-ouverte, mais son Prince est ficitf. Le quel est-il ? Nous n’en savons rien. LOUIS, JEAN, HENRI, celà a peu d’importance. Le Prince concerve son panache, il s’éloigne de tout compromission -même avec son propre milieu- prend le large pour se faire désirer, rendre sa présence indispensable par l’absence. Evidemment, quelle autre destination Raspail pouvait-il choiri que l’Ecosse ? Son Prince marche dans les traces de Bonny Prince Charly, Charles Spencer Stuart…
Raspail connaît et développe l’histoire de la Duchesse de Berry qui, en 1832, essaya de reconquérir le trône de son fils alors agé à peine de dix ans avec panache et bravoure. Elle échoua, mais la cause n’était pas perdue d’avance, tout comme celle de Charles Stuart ne le fut pas. Ils se donnèrent les moyens de vaincre, trempèrent leurs mains dans des coffres d’or, du sang frais et l’encre de missives secrètes.
Bien que nous ne soyons plus en Monarchie, le ROI PERDU a un rôle à jouer dans la vie politique de notre Pays. Un Roi est par définition un arbitre, un cociliateur, quand il n’est pas un guide. Le ROI CACHE, comme le ROI EN EXIL, peut incarner une autorité morale qui peut être écoutée. Il peut attirer l’attention du pouvoir et de ses concitoyens sur des questions précises. Il doit pour celà se tenir en permanance au courant de la vie politique de son pays. Il incarne en tout cas et au-delà de tout une tradition, une continuité, comme un possible recours…
UN DERNIER POUR LA ROUTE !
CHARLES MAURRAS a démontré scientifiquement la supériorité de la Monarchie sur toute autre forme de gouvernement : la Monarchie a celà de bien d’apporter la CONTINUITE dans la conduite des affaires, le RASSEMBLEMENT national et l’ARBITRAGE au dessus des factions. En France, il s’est placé au point de vue profane d’une physique du pouvoir. Le MARQUIS André Le sage DE LA FRANQUERIE, quand à lui, s’est attaché à définir la Royauté à l’aune et selon l’esprit de la tradition : LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMAMANT DE DIEU.
Où Maurras et les néo-monarchistes cherchent à convaincre, le Marquis de La Franquerie, à l’ombre de Joseph de maistre, entend faire voir et convertir. Son Royalisme est mystique.
Le premier réclame à l’expérience historique, le second interroge l’anthropologie religieuse et l’exemplarité du Sacré-Coeur de Jésus, le Christ-Roi.
Là, la raison des faits, ici la permanence en l’archétype Royal, partout, depuis toujours et d’en haut.
Le XVIII° siècle et l’offensive nominaliste ont consommé le divorce entre foi et raison. Mais au service d’une même cause -ici la Royauté- et selon que le moment soit de foi ou de raison, il revient au royaliste de porter en avant la foi ou la raison et de parler le langage commun d‘une France qui, sans l’invocation au Dieu qui aima les Français. est un concept dégénéré.
LE ROYALISME TRIOMPHERA !
Marie-Julier Jahenny (1850-1941) est une voyante Catholique bretonne de Blain, près de Nantes, qui eut des extases et porta les stigmates du Christ. Ses visions prophétiques révèlèrent des catastrophes pour notre France contemporaine -on y est- mais aussi le retour d’un Roi pour sauver l’Eglise et la France.
Le Royalisme persiste malgrès les décennies et les condamnations mais il est fortement divisé. Trois courant dominent avec trois Prétendants :
1. Le courant LEGITIMISTE avec le Prince LOUIS DE BOURBOM. Le Légitimisme s’en remet au principe Royal qui est que le Roi est la seule autorité Légitime émanant de Dieu. Le Survivantisme, qui croit en la survivance de Louis XVII, et le Parmisme, constitué autour du Prince Sixte-henri de Bourbon-Parme et qui ne croit ni en la survivance de Louis XVII ni en la Légitimité du Prince Louis de Bourbon mais entend appliquer en France les principes carlistes -Dio, Ptria, fuoros y Rey legitimos (Dieu, Patrie, Foyers et Roi Légitime)- ne sont que des néo-Légitimismes : le principe est le même, seul le Prétendant change.
2. Le courant ORLEANISTE avec le Prince JEAN D’ORLEANS. L’Orléanisme, au contraire du Légitimisme, s’en remet à la volonté populaire pour l’appel au Roi, vu comme une impérieuse nécessité nationale, la Monarchie étant à leurs yeux la présence du Sacré dans le pouvoir, la continuité de la France, le destin national incarné par un Souverain indépendant des capprices du suffrage universel et du diktat de établissements banquaires.
3. Le courant PROVIDENTIALISTE avec un Roi inconnu, dont on ne connaît que le nom : HENRI DE LA CROIX. Le Providentialisme a pour principe de s’en remettre à Dieu pour le choix et l’avènement du Roi à venir.
Marie-Julie Jahenny, dans plusieurs extases, a annoncé le futur Grand Monarque SMTC HENRI V DE LA CROIX (comme il y eu un Philippe VI de Valois), ROI DE FRANCE ET D’ITALIE, EMPEREUR DES CHRETIENS : ce ne sont pas les prétendants que l’on nous présente aujourd’hui qui seraient appellés à siéger sur le Trône de France.
Cette dernière prophétie semble confirmer et appuyer le mouvement Providentialiste parce que le Grand Monarque annoncé serait inconnu jusqu’au dernier moment. Il est précisé qu’auparavant, il y aurait un faux Roi dont il faudrait se méfier.
Ainsi les prophéties du Grand Monarque parlent effectivement d’un retrour à la Monarchie en France. Dans un contexte de de crise majeure, de guerres civile et mondiale, le Roi sera pour nous le seul Salut dans ce cahos.
La République est donc appellé à disparaître, et avec elle toutes les crimes de la Révolution : la décapitation du Constantin héréditaire de la France, la déchristianissation progressive de la France et l’islamisation progressive de l’Europe…
Pour que vive la France, vive le Roi !!!
L’intéret pour la Royauté Française augmente à mesure que la République éloigne la France du Bien Commun.
On croyait le Royalisme Français disparu depuis l’échec et la condamnation de Maurras en 1945. En outre, les grands enjeux politiques d’après-guerre (affrontement Est-Ouest, décolonisation, revendications sociales et culturelles, Mai 68, etc…) semblaient avoir relégué aux oubliettes de l’Histoire le débat entre les mérites comparés du Royalisme et du républicanisme. Jusqu’à la chute de Berlin, la seule question était de savoir s’il valait mieux avoir tort avec Jean-Paul Sartre que raison avec Raymon Aron…
Mais la chute du communisme, et plus généralement l’échec des idéologies de gauche, ont libéré un espace idéologique permettant aux intellectuels de reposer, chez nous, la question des institutions : Monarchie ou république ?
Dans l’oeuvre du Raspail, LE ROI AU-DELA DE LA MER, ouvrage séduisant au contour de tout vrai Royaliste, qui ne peut qu’espérer et recréer à son tour ce que pourrait accomplir le souverain combattant, le souverain en marche vers son trône. Le principe du livre est cependant de l’ordre du retour. Raspail s’adresse aux Princes de France dans un roman lettre-ouverte, mais son Prince est ficitf. Le quel est-il ? Nous n’en savons rien. LOUIS, JEAN, HENRI, celà a peu d’importance. Le Prince concerve son panache, il s’éloigne de tout compromission -même avec son propre milieu- prend le large pour se faire désirer, rendre sa présence indispensable par l’absence. Evidemment, quelle autre destination Raspail pouvait-il choiri que l’Ecosse ? Son Prince marche dans les traces de Bonny Prince Charly, Charles Spencer Stuart…
Raspail connaît et développe l’histoire de la Duchesse de Berry qui, en 1832, essaya de reconquérir le trône de son fils alors agé à peine de dix ans avec panache et bravoure. Elle échoua, mais la cause n’était pas perdue d’avance, tout comme celle de Charles Stuart ne le fut pas. Ils se donnèrent les moyens de vaincre, trempèrent leurs mains dans des coffres d’or, du sang frais et l’encre de missives secrètes.
Bien que nous ne soyons plus en Monarchie, le ROI PERDU a un rôle à jouer dans la vie politique de notre Pays. Un Roi est par définition un arbitre, un cociliateur, quand il n’est pas un guide. Le ROI CACHE, comme le ROI EN EXIL, peut incarner une autorité morale qui peut être écoutée. Il peut attirer l’attention du pouvoir et de ses concitoyens sur des questions précises. Il doit pour celà se tenir en permanance au courant de la vie politique de son pays. Il incarne en tout cas et au-delà de tout une tradition, une continuité, comme un possible recours…
UN DERNIER POUR LA ROUTE !
CHARLES MAURRAS a démontré scientifiquement la supériorité de la Monarchie sur toute autre forme de gouvernement : la Monarchie a celà de bien d’apporter la CONTINUITE dans la conduite des affaires, le RASSEMBLEMENT national et l’ARBITRAGE au dessus des factions. En France, il s’est placé au point de vue profane d’une physique du pouvoir. Le MARQUIS André Le sage DE LA FRANQUERIE, quand à lui, s’est attaché à définir la Royauté à l’aune et selon l’esprit de la tradition : LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMAMANT DE DIEU.
Où Maurras et les néo-monarchistes cherchent à convaincre, le Marquis de La Franquerie, à l’ombre de Joseph de maistre, entend faire voir et convertir. Son Royalisme est mystique.
Le premier réclame à l’expérience historique, le second interroge l’anthropologie religieuse et l’exemplarité du Sacré-Coeur de Jésus, le Christ-Roi.
Là, la raison des faits, ici la permanence en l’archétype Royal, partout, depuis toujours et d’en haut.
Le XVIII° siècle et l’offensive nominaliste ont consommé le divorce entre foi et raison. Mais au service d’une même cause -ici la Royauté- et selon que le moment soit de foi ou de raison, il revient au royaliste de porter en avant la foi ou la raison et de parler le langage commun d‘une France qui, sans l’invocation au Dieu qui aima les Français. est un concept dégénéré.