Quand on la voit, on songe à Regan MacNeil, l’enfant possédée de L’Exorciste, https://cineday.orange.fr/actu-cine/l-exorciste-recit-d-un-tournage-maudit-CNT000000wlIxN.html vous savez celle dont le cou pivote à 180°. Autiste Asperger, Greta Thunberg est dépressive, végane, parle peu et ne sourit jamais. Mais elle est worldwide. Ses paroles ont le pouvoir d’ensorceler les esprits jusqu’à leur faire tourner la tête : « I want you to panic », s’écrie partout la jeune égérie du réchauffement climatique, que ce soit aux tribunes de l’ONU, chez le pape, à Davos ou avec Arnold Schwarzenegger. Hier, la Suédoise de 16 ans se trouvait à Caen (Calvados) pour recevoir le Prix Liberté 2019, un nouveau trophée à son tableau de chasse des éloges officiels. Dans l’Abbaye-aux-Dames, Léon Gautier, ancien du commando Kieffer, et Charles Norman Shay, ex-infirmer amérindien d’Omaha Beach, ont croisé le passé et le présent de manière inattendue : « (…) Je me suis battu (…) pour libérer l’Europe et le monde du nazisme il y a 75 ans, a déclaré Charles Shay, ajoutant que « cela n’a aucun sens si notre mère Nature et notre civilisation s’effondrent en raison de comportements humains inappropriés ». En les remerciant, Greta Thunberg a souligné que le changement climatique « va créer d’énormes conflits et une souffrance inexprimée », estimant que le monde risquait de faire face à la migration de milliards de personnes et à l’apparition de zones inhabitables. « Il y a une guerre silencieuse qui est en cours », a lancé l’adolescente, « symbole d’une humanité qui se défend face à un système devenu fou », selon Yacine Ait Kaci, président du jury.
Faut-il voir ici une allusion au traité de libre-échange entre l’UE et le Canada – (CETA, l’accord de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne) , que d’aucuns jugent nocifs pour l’environnement ? Invitée par les 162 députés du collectif pour le climat Accélérons, Greta Thunberg enchaîne demain avec la tribune d’honneur de l’Assemblée nationale. Au moment même de sa venue, les parlementaires s’apprêtent à ratifier un texte dont Emmanuel Macron pense qu’il « va dans le bon sens ». Des élus de gauche préviennent : il serait « incompréhensible » que la majorité vante les mérites de l’icône climatique tout en ratifiant le Ceta. Sauf à considérer que Greta Thunberg est parfaitement business-compatible. Au lieu de s’attaquer aux origines de sa médiatisation inouïe, ses détracteurs se contentent de dénigrer le phénomène : « Ne comptez pas sur moi pour applaudir une prophétesse en culottes courtes, « Prix Nobel de la peur ». La planète, oui. Le greenbusiness, non », tweetait hier Julien Aubert, candidat à la présidence de LR. Samedi, son concurrent Guillaume Larrivé avait appelé ses collègues à la boycotter. « Pour lutter intelligemment contre le réchauffement climatique, écrivait-il, nous n’avons pas besoin de gourous apocalyptiques, mais de progrès scientifique », avait-il lancé. Certes, la panique ne résout rien et aggrave même le mal ; seule la science et l’éducation peuvent offrir une réponse aux dérèglements observés. Mais cela ne dispense pas d’une réflexion sur le système économique. Le greenbusiness et le greenwashing sont à l’écologie ce que la prostitution est à l’amour : une exploitation mercantile. Certains politiques sont mal à l’aise sur ce terrain car ils cherchent à débusquer une manœuvre de la gauche morale, alors que Greta Thunberg est un produit hybride, macronien, où l’élite économique, sans rien abdiquer de son pouvoir, fait du chantage aux masses pour mieux les discipliner.
C’est l’éco-anarchiste Isabelle Attard qui met de l’ordre dans cette histoire avec le plus d’acuité. Greta Thunberg apparaît comme un Pinocchio manipulé par de riches Gepetto qui gravitent au-dessus d’elle et tirent ses couettes comme sur des ficelles. Se servir de la frimousse d’un enfant autiste comme tête de gondole est une idée osée mais imparable. Nul ne peut s’en prendre à Greta Thunberg sans passer pour un sans-cœur dépourvu d’humanité. La souffrance apitoie et mobilise, alors que l’arrogance dégoûte et agace. Il faut la voir avec sa pancarte, assise dans la rue comme un SDF : on dirait la Petite Fille aux allumettes du conte d’Andersen. D’autres causes, notamment sur des sujets sociétaux, devraient méditer la story Greta Thunberg – car les enfants ouvrent les portes et les cœurs bien mieux que les pancartes brandies par les parents. La guerre se déroule toujours sur les plages, des plages médiatiques – et les héros du Débarquement sont sans doute trop vieux pour les prendre d’assaut.
Louis Daufresne
Pour fermer la bouche aux écolos, il faudrait que les Royalistes ai dans le programme, un plan de sauvegarde de l’environnement, préoccupation légitime de nombreux Français.
Ce dernier se trouve heuresement dans les 150 points de la Phalange : Catholique, Royale, communautaire (nous parlons ici de communautarisme Chrétien) :
142. L’écologie nationale aménagée.
Le déséquilibre entre « Paris et le désert français » (Gravier), et généralement dans le monde entre les mégapoles et la brousse, est l’effet direct de l’économie de profit libérale, de l’idéologie socialiste égalitaire et de leur commune réduction des buts de la vie, évalués en argent, au plaisir immédiat et aux excitations de la vie moderne.
Loin d’être un fait naturel ou une nécessité inéluctable du progrès, le développement des villes au détriment des campagnes, et des mégapoles créant des déserts, résulte de cette double sollicitation et contrainte économique et administrative avec laquelle toute révolution sociale et nationale doit rompre absolument.
1. Le retour aux lois naturelles de la vie sociale suffira à inverser ce mouvement désastreux. Le profit du capitalisme industriel réclamait l’exode rural, la concentration urbaine, l’intensification des transports, les transferts de population. Les revendications socialistes ont aggravé la pente du système en allégeant les coûts individuels de la vie collective par des allocations aux salariés, des subventions aux industries et la prise en charge par l’État de « coûts collectifs » en accroissement insensé. Comme on sait, le coût des « effets induits » de la concentration urbaine atteint aujourd’hui, dans les grandes métropoles, un seuil d’irrationalité inacceptable.
En fin de compte, la province a commencé par payer pour la capitale, les laissés- pour-compte de la vie moderne pour ses heureux bénéficiaires. Morale et économie se rejoignaient pour condamner ce système. Mais aujourd’hui, les déficits structurels aggravés par les crises économiques récurrentes le condamnent plus sûrement encore !
2. Le renversement de tendance, radical en théorie, devra se faire à des rythmes de lenteur soigneusement étudiés pour n’être pas catastrophiques. Seule une autorité nationale forte pourra le mener à bien sur une longue période, en particulier par une politique fiscale à long terme. Elle consistera à :
– atteindre une plus juste répartition des coûts publics au sein des régions en réduisant progressivement les subventions d’État, allocations, réductions de tarifs, et en allégeant les charges fiscales trop largement accordés aux mégapoles.
– limiter les aides des pouvoirs publics étatiques pour les transferts d’industries et le retour à la terre, afin d’alléger la machine administrative. Mais les initiatives locales seront encouragées dès qu’elles seront patronnées par des associations déjà reconnues, de telle manière que les aides, profitant effectivement à leurs véritables destinataires, concourent au bien commun de la région.
3. Restaurer l’inégalité des conditions de vie, dans un climat psychologique réaliste et positif : les charges de l’État étant diminuées, l’impôt national sera réduit en conséquence, mais ce seront les impôts régionaux et locaux qui devront assumer l’essentiel de la charge des infrastructures, même si l’État garde la possibilité d’aides ponctuelles. Il en résultera évidemment une inégalité de la charge fiscale directe ou indirecte selon les régions à proportion de leur inégalité de développement.
Cette disparité paraîtra une incitation suffisante aux libres et fières populations autochtones fixées dans les régions les plus pauvres à y vivre dans leur austérité aimée, et un appel enthousiasmant aux aventuriers de l’indépendance et de la pauvreté, capables de repeupler ces régions en peu d’années.
Et si nul ne répond à l’appel, une nouvelle fois les moines seront là pour faire refleurir le désert français !
LE ROI ET L’ENVIRONNEMENT
Pour sauvegarder notre patrimoine naturel, il faudrait :
1. Placer l’environnement au coeur des préoccupations Royales.
2. Crééer plus dharmonie.
3. Lutter contre les pollutions.
1. Placer l’environnement au coeur des préoccupations Royales.
Organiser les contre pouvoirs environnementaux, transformer le Service Central de Protection contre les radiations en autorité indépendante du Mininistère de l’Industrie, renforcer la concertaion lors des enquêtes publiques, donner au Roi la charge de la médiateur de la république et permettre à tout citoyen de faire un recours direct auprès du Roi, rendre les pollueurs économiquement et pénalement responsables, défiscaliser les investissement utiles à l’environnement.
2. Créer plus d’harmonie.
Veiller à l’équilibre du territoire, reconquérir les paysages, privilégier les villes moyennes, réhabiliter les zones urbaines sinistrées, abattre les ZUP et promouvoir l’architecture douce, maintenir la vie dans les campagnes (Lutter contre la désertication des campagnes et assurer les services publics en mileux rural, préserver les communes rurales, susciter la création de d’emplois à la campagne, développer l’animation scociale et culturel des campagnes, mettre en valeur le patrimoine naturel en général et le patrimoine chatelain Français en particulier (sur l’exemple des Chateaux de la Loire), freiner la pratique des remembrements, valoriser les forêts, promouvoir la pêche sportive, créer un Conseil de Pêche, Chasse, Nature et Traditions), promouvoir l’agriculture biologique, sauvegarder le littoral, renforcer la lutte contre les incendis de fôret, protéger la faune, agir contre la souffrance des animaux.
3. Lutter contre les pollutions.
Multiplier les transports peu polluants, faciliter l’accès aux transport en commun (établir cosntitutionnellement la gratuité pour les personnes agées, les chomeurs et les fonctionnaires des forces de l’ordre), régler les problèmes de déchets, équiper le pays d’un réseau complet de sation d’épuration des eaux, lutter contre le bruit, diversifier les sources d’énergie.
C’EST LE KOMINTERN QUI FINANCE LE CIRQUE DE CETTE TAREE BOLCHOLOPE. COMME LES ECOCHIASSES RECONNUS COMME LES PIRES ENNEMIS DE LA NATURE — LEURS MAÎTRES ONT VIDE LA MER D’ARAL– LES FOULES N’EN VEULENT PLUS AUSSI ILS ENVOYENT CETTE DINGUE MINEURE A LAQUELLE LES KOMINTERISTES DONNENT UNE PIECE. SI CA NE MARCHE PAS ILS NOUS SORTIRONT UN NOUVEAU-NE. SIGNE PATRICK PATTIER MAÎTRE EN DROIT ET EN SCIENCES POLITIQUES DOCTEUR DE L’INALCO EN ETUDES RUSSES ET SOVIETIQUES AVEC MENTION BIEN SUR LE JUDEO/ESCLAVAGISTE KOMINTERN SURTOUT HISTORIEN DE LA MONARCHIE DANS L’HISTOIRE UNIVERSELLE
ALLEGEANCE A SA MAJESTE L’EPHORE REGENT DES SEGOBRIGES EN RESIDENCE A GYPTIS EX MARSEILLE
Nous gagnerions tous si vos posts étaient plus lisibles.
Nous gagnerions tous si vos posts étaient rédigés avec plus de soin.
Questions à Emmanuelle Ménard.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuelle_M%C3%A9nard
Votre premier compte Twitter avait été supprimé parce que vous aviez tweeté « Dommage que la fessée soit interdite en France parce que Greta Thunberg en aurait bien mérité une ». C’était évidemment du second degré, mais a priori les algorithmes de Twitter ne connaissent pas le second degré…
Je ne sais pas si ce sont les algorithmes de Twitter qui ne comprennent pas le second degré ou la foule de signalements dont j’ai fait l’objet. J’ai également fait l’objet d’insultes et de menaces de mort par téléphone. On ne peut pas toucher à l’icône Greta Thunberg !