En Autriche, les Royalistes sont tous pro-Habsbourg. En Hongrie, il y a des Royalistes pro-Habsbourg (par exemple, Viktor Orban est un Royaliste déclaré et il vante l’amitié du Prince Georghe de Habbourg), mais il y a également des Royalistes anti-hasbourg : on les appelle les Magyaristes.
Le Comte Albert Apponyi , principal leader du mouvement Monarchiste de l’entre deux guerre résuma ainsi le Magyarisme ou Légitimisme hongrois :
-Le Magyarisme n’est pas une question de parti, mais le garant constitutionnel de notre intégrité et la continuité de notre Foi .
Le 8 mais 1918, l’Empereur Charles I° d’Autriche signe son abdication. : c’est la fin de l’Empire Austro-Hongrois. Mais si le lendemain, l’Aurtiche accepte se donner des institutions républicaines, IL N’EN EST PAS DE MEME EN HONGRIE OU LE SENTIMENT MONARCHIQUE DEMEURE TRES FORT.
Si le PARTI CHRETIEN NATIONAL soutient en Hongrie la restauration des Habsbourg, le PARTI DES PETITS PROPRIETAIRES songe là-bas à l’élection D’UN AUTRE SOUVERAIN, ISSU D’UNE DYNASTIE AUTRE QU CELLE DES HABSBOURG.
LE GROUPE DE VISEGRAD trouve son origine en autone 1335, lorsque les Rois de Bohème, de Pologne et de Hongrie (Charles-Robert d’Anjou) se rencontrent dans la ville hongroise de Visegarde pour crèer UNE ALLIANCE ANTI-HABSBOURG. Les trois dirigeants se mettent d’accord sur la création de nouvelles routes commerciales qui permettent un accès facilité aux marchés du Saint-Empire.
Si on veut aujourd’hui restaurer les Habsbourg en Autriche, soit : LA LEGITIMITE DES HABSBOURG EN AUTRICHE N’EST EN AUCUN CAS CONTESTE. Mais laissons les hongrois en paix. Et libres de choisir leur destin. Pourquoi pas avec les Bourbon-Siciles, héritiers LEGITIMES des Anjou de Naples… mais aussi de Hongrie ?
LE MAGYARISME en Hongrie et dans les Pays de Visegrad, c’est avant tout UNE ATTITUDE CULTURELLE CATHOLIQUE, celle de la Tradition. En politique, il incarne le PRINCIPE D’EXPENSION-EVANGELISATION dont Léon XIII rependra l’idée : tout le contraire de l’actuel euro-mondialisme islamisant ! C’est aussi UN NATIONALISME HONGROIS COMME TCHECOSLOVAQUE, ET CHRETIEN : mourir pour la Patrie, c’est mourir pour la société hongroise destabilisée par les idées révolutionnaires. C’est, enfin, FACE A LA MASSE, L’AFFIRMATION DE LA PERSONNE. Noulue Chrétienne .
Si l’empire austro-hongrois reste un modèle de gouvernement Chrétien et son dernier empereur a été réçamment canonisé, l’esprit Magyar, Légimiste, Catholique et Royal, INDEPENDANTISTE, demeure encore très vivant en Europe Centrale et l’histoire des Rois en Hongrie, comme en Slovaquie et en Bohème, reste encore à écrire… car elle pourrait bien de nouveau déposer sur leurs têtes la couronne de Saint-Etienne !
Il est exact que je souhaite restaurer les Habsbourg en Autriche-(Hongrie ?) mais ceci pour une raison simple , la necessité de faire contrepoids par le biais d’une puissance catholique à la protestante allemande en croissance continuelle , dangereuse héritière de la Prusse protestante qui n’était pas moins dangereuse, l’histoire en témoigne depuis 1870.
La renonciation d’Otto de Habsbourg en 1963 et celle de ses fils en 2009 laisse paradodaxalement à la Maison Royale de France, aujourd’hui les Bourbons, une vocation impériale que le Sacre de Reims donne déjà implicitement au Roi de France, par la Grace de Dieu du Saint-Siège le Bienfaiteur Héréditiare, de l’Eglise Romaine le Protecteur Perpétuel et des Lieux Saints le Défenseurs Souverain du Droit.
Et tout comme l’Europe continentale qui se cherche une légitimité historique à travers l’engagement européiste de la Maison de Habsbourg qui régna effectivement sur l’Allemagne, l’Italie du Nord, l’Espagne, les Pays-Bas, les pays de l’ex-Tchécoslovaquie et ceux de l’ex-empire austro-hongrois, l’Europe Romaine -entendez celle qui prendrait appui sur l’institution pontificale- devrait avoir besoin de l’antique « Europe Bourbonienne » (rappellez-vous du catholissime Pacte des familles de Louis XV entre Bourbons de France, d’Espagne, de Npales et de Parme), héritière de l’Europe Carolingienne, pour venir, après l’Empire Romain d’occident, étayer le sentiment de sa permanence historique.
L’Europe Romaine aurait alors tout autant besoin que le mouvement Pan-Européen, présidé par Otto de Habsbourg jusqu’à son dernier souffle, d’un CAPETIEN pour exprimer et même incarner l’enracinement d’un tel projet géopolitique. Les prophéties du Grand Monarque nous annoncent d’ailleur un Prince des Lys, héritier des Rois de France, pas un Habsbourg, étranger au Sang de France, aussi prestigieuses et honorable que ppuissse être cette Famille…
Si l’empire austro-hongrois reste un modèle de GOUVERNEMENT CHRETIEN et son dernier empereur a été réçamment canonisé -ET SUR CE POINT, NOTRE BON ALAIN TEXIER A RAISON !- l’esprit Magyar, Légimiste, Catholique et Royal, INDEPENDANTISTE, ANTI-HABSBOURG, demeure encore très vivant en Europe Centrale.
Si la nostalgie de l’Empire austro-hongrois est très forte en Autriche, il n’ en est pas de même en Hongrie.
LE GROUPE DE VISEGRAD* trouve son origine en autone 1335, lorsque les Rois de Bohème, de Pologne et de Hongrie (Charles-Robert d’Anjou) se rencontrent dans la ville hongroise de Visegarde pour crèer UNE ALLIANCE ANTI-HABSBOURG. Les trois dirigeants se mettent d’accord sur la création de nouvelles routes commerciales qui permettent un accès facilité aux marchés du Saint-Empire.
L’histoire des Rois en Hongrie, comme en Slovaquie et en Bohème, reste encore à écrire… car elle pourrait bien de nouveau déposer sur leurs têtes la couronne de Saint-Etienne, pas avec un habsbourg, mais plutot avec un BOURBON, héritier LEGITIME de la Maison d’Anjou, isssu du frère de Saint-Louis, Charles I° d’Anjou, maison Royale d’Anjou qui régna sur le Royaume de Naples, en Hongrie et en albanie (rameau de Durazzo)…
Si on laisse la guerre entre François I° et Charles Quint -c’était il y a 4 sicècles- ne nous reppelons nous pas que l’unité de l’Italie se fit en 1861 CONTRE les Habsbourg ? Demandez aux Royalistes italiens ce qu’ils pensent des autrichiens ! L’attentat de Sarajevo qui déclancha la I° Guerre Mondiel ne fut-il pas pérpétré CONTRE la maison de Habsourg ? que les Pays de Visegrad se cohalisèrent CONTRE l’Autriche ?
Une Autriche renouvellée dans une Europe libérée, oui. Mais n’ayons pas la prétention de disposer des peuples SANS leur accord, sans connaître leur histoire. Commençons par balayer devant NOTRE porte : restaurons le Roi en France, UN BOURBON, incarnant la restauration d’une Monarchie Capétienne -Catholique et Royale- et s’il est descendant de Louis XVII (dont la mère était une Habsbourg-Lorraine), ne serait-ce pas un don de la Providence ?
Contrebalancer la protestante allemande en croissance continuelle, dangereuse héritière de la Prusse protestante qui n’était pas moins dangereuse, ne peut se faire QUE par une Europe Monarchique et Chrétienne construite autour d’une France redevenue Capétienne -CATHOLIQUE ET ROYALE- et fédérant autour d’elle une Union Latine des pays Catholiques (France, Espagne, Portugal, Italie, Malte) unie, oui, à une Autriche Habsbourgienne -l’épouse du Roi de naples FERDINAND I° fut Marie-Caroline d’Autriche, soeur de Marie Antoinette, et celle du Duc de Parme prénommé lui ausi FERDINAND, fut marie-Amélie, soeur de marie-antoientte et de Marie-Caroline) et à des Pays de Vidsegrad INDEPENDANTE de la tutelle autrichienne, à l’Irlande et à certains Pays Baltes qui concervent la religion Catholique.
Et si cette géopolitique des Couronnes confirment les prophéties de Marie-Julie Jahenny, ce n’est pas moi qui m’invente les choses…
Demandez aux Royalistes italiens ce qu’ils pensent des autrichiens écris tu …
Cette suggestion pourrait être appliquée à d’autres situations comme par exemple demander aux souris ce qu’ils pensent des chats et aux poules leur point de vue sur les renards.
Avant d’être accusé de vouloir jouer l’intellectuel en contredisant notre bon Alain, ou en faisant une névrotique propagande anti-Habsbourg, je ferai une dernière fois une synthèse de ce que fut l’Empire-Austro-Hongrois. Pardon de faire long…
L’Empire Austro-Hongrois est l’union en 1867 de l’Archi-Duché d’Autriche et du Royaume de Hongrie, créée par la transformation en une « double-Monarchie » de l’Empire d’Autriche (lui-même regroupant à partir de 1804 les États régis par les Habsbourg à la suite de la disparition du Saint Empire Romain Germanique).
Les pays représentés au Reichsrat, incluant notamment l’Archiduché d’Autriche, sont les Royaumes de Bohême et de Galicie, les pays de la Couronne de Saint Étienne, incluant les Royaumes de Hongrie et de Croatie-Slavonie.
Jusqu’en 1907, une union douanière complète l’union réelle.
La constitution politique de l’Autriche-Hongrie fait suite à l’exclusion des Empereurs d’Autriche de leurs zones d’influence traditionnelles : l’Italie (1860) puis l’Allemagne (1866). Le projet de François-Joseph Ier consiste alors à conforter son assise en associant les élites hongroises au pouvoir. Ce compromis est accepté bon gré mal gré par la Noblesse hongroise car il pérennise la plupart de ses privilèges féodaux institués par la Bulle d’or du roi André II en 1222. En 1867, François-Joseph, déjà empereur d’Autriche, est couronné Roi de Hongrie à Budapest. Pragmatique, il s’appuie sur les facteurs de cohésion que sont la Monarchie, l’Église Catholique, l’Aristocratie et l’armée. Son petit-neveu lui succède en 1916 sous les noms de Charles Ier d’Autriche et Charles IV de Hongrie.
Ce compromis politique avec la Noblesse hongroise lèse les intérêts des autres peuples de la « Double monarchie », slaves (Tchèques, Slovaques, Polonais, Ukrainiens, Slovènes, Croates, Serbes) ou latins (Italiens, Roumains), qui sesent comme des poules face à une bureaucratie Impériale vue comme un renard.
Places fortes de la Contre-Réforme, l’Autriche et accessoirement la Hongrie ont laissé peu d’espace au protestantisme qui est toutefois resté vivace en Bohême-Moravie et en Transylvanie. En conséquence, plus des trois quarts des Austro-Hongrois sont en 1910 d’affiliation catholique. L’orthodoxie est présente en Bosnie-Herzégovine, en Hongrie du Sud-Est, en Galicie orientale, en Transylvanie et en Bucovine. L’islam est présent en Bosnie-Herzégovine. Phénomène tant religieux qu’ethno-culturel, le judaïsme est représenté sous sa forme ashkénaze de langue yiddish dans les shtetlesh de Galicie, de Bucovine, de Ruthénie et de Marmatie, ainsi que dans les métropoles autrichiennes ou hongroises, et sous sa forme séfarade en Bosnie (particulièrement à Sarajevo où il est souvent ladinophone). Certains territoires se partagent entre trois ou quatre confessions (en Bosnie-Herzégovine, on trouve des catholiques, des orthodoxes, des musulmans et des juifs, en Transylvanie et en Bucovine des catholiques, des protestants, des orthodoxes et des juifs…). Toutes ces ethnies, langues et religions ne cohabitent que grace à la Double-Couronne, de confession Catholique : un modèle, certe, de gouvernement.
Les germanophones et les magyarophones se partagent entre catholicisme (très majoritaire) et protestantisme ; Slovènes, Croates, Tchèques, Slovaques et Polonais sont catholiques ; Ukrainiens et Roumains peuvent être catholiques (de rite grec) ou orthodoxes ; les Serbes sont orthodoxes, et les Bosniaques musulmans. Les Roms enfin sont, pour certains, chamanistes, mais la majorité a déjà adopté l’une des religions des pays où ils vivent.
Toutes ces confessions sont présentes à Vienne, capitale de l’Empire Austro-Hongrois, où se produit un mélange culturel propice au développement de la vie intellectuelle et artistique, que d’aucuns trouvent admirable. Dans une moindre mesure, on retrouve le même melting-pot dans les principales villes de l’Empire, comme en témoignent la littérature, le théâtre, les arts et l’architecture.
Le dualisme austro-hongrois, issu du compromis de 1867, a singulièrement tendu la situation en donnant aux Aristocrates hongrois le pouvoir de bloquer toute modification constitutionnelle et toute évolution politique de l’Empire. Les Aristocrates hongrois craignent de voir voter des réformes (notamment foncières et linguistiques) qui ébrécheraient leur pouvoir absolu. François-Joseph reconnaît qu’il est souhaitable de créer une troisième force, slave, et de rendre au grand-duché de Transylvanie sa Diète. En 1908, l’Autriche-Hongrie annexe la Bosnie-Herzégovine, qu’elle occupait et administrait depuis 1878. mais qui était restée nominalement sous souveraineté ottomane. Les Tchèques sont mécontents du compromis de 1867 car ils s’estiment oubliés.
L’Autriche-Hongrie finit par apparaître agressive. À la suite de l’attentat de Sarajevo (assassinat par un serbe de Bosnie de l’archiduc François-Ferdinand, héritier de l’Empire), et bien que la Serbie ait accepté presque toutes les exigences de l’ultimatum austro-hongrois, l’empire décide d’éradiquer la Serbie par la force. Lors de la défaite à l’issue de la Première Guerre mondiale et au nom du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », les décisions majoritaires des assemblées représentatives de ces peuples constituées , remplacent en décembre 1918 la « Double-Monarchie » par sept « États-nations ». Certains sont nouvellement indépendants : la Tchécoslovaquie ou le royaume des Serbes, Croates et Slovènes -future Yougoslavie- formé par la réunion des Slaves du Sud d’Autriche-Hongrie, de Serbie et du Monténégro. Un autre, la Pologne, est ressuscité après plus de 120 ans de disparition. Deux pays latins déjà existants sont simplement agrandis aux dépens de l’empire : l’Italie et la Roumanie.
Ces profonds changements sont officialisés durant les deux années suivantes par la signature des traités de Saint-Germain et du Trianon qui consacrent le 8 Mai 1918 la fin de l’Empire, l’interdiction pour les Habsbourg de résider en Autriche, mais aussi l’interdiction pour les Allemands d’Autriche, ainsi exclus du fameux « droit des peuples », de s’unir à la république de Weimar. L’Autriche elle-même devient une république, tandis que la Hongrie reste officiellement un Royaume, à la tête duquel est instaurée une régence. Le territoire de la Hongrie est réduit au tiers central de la Grande Hongrie (où les Magyars sont très majoritaires) et laisse une partie des populations hongroises hors de ses nouvelles frontières…
Qui a lu, comme votre serviteur, le livre d’Otto de Habsbourg, MEMOIRES D’EUROPE (Criterion), comprendra le danger extrèmement important que fait peser encore aujourd’hui la pensée Hasbourg sur les intérets supérieurs de la France. SUR LE PLAN PUREMENT PROVIDENTILAISTE, le fait que l’Empire Austro-Homngrois fut dissou LE 8 MAI 1918 pourrait être du au fait que cet Empire aurait pu devenir, dans l’avenir, UN DANGER pour une France empétrée dans une infinie Régence Républicaines : LA FRANCE DE DIEU, LE ROYAUME DE MARIE NE PEUT PAS MOURIR… IL FAUT QU’IL VIENNE !
Contrebalancer la protestante allemande en croissance continuelle, dangereuse héritière de la Prusse protestante qui n’était pas moins dangereuse, ne peut se faire QUE par une Europe Monarchique et Chrétienne construite autour d’une France redevenue Capétienne -CATHOLIQUE ET ROYALE- et fédérant autour de SA MONARCHIE LEGITIME une Union Latine des pays Catholiques, unie, oui, à une Autriche Habsbourgienne, à des Pays de Vidsegrad INDEPENDANTS de la tutelle autrichienne, à l’Irlande et à certains Pays Baltes qui concervent la religion Catholique, la renonciation d’Otto de Habsbourg en 1963 et de ses fils en 2009, laisse Providentiellement AU ROI DE FRANCE A VENIR,UNE VOCATION IMPERIALE que lui donne déjà implicitement le Sacre de Reims. GRAND MONARQUE FUTUR qui ne que prendre modèle sur LE MODE DE GOUVERNEMENT de l’Empire Austro-Hongrois pour la construction de L’EMPIRE DU SAINT-ESPRIT…
En Autriche, les Royalistes sont tous pro-Habsbourg. En Hongrie, il y a des Royalistes pro-Habsbourg (par exemple, Viktor Orban est un Royaliste déclaré et il vante l’amitié du Prince Georghe de Habbourg), mais il y a également des Royalistes anti-hasbourg : on les appelle les Magyaristes.
Le Comte Albert Apponyi , principal leader du mouvement Monarchiste de l’entre deux guerre résuma ainsi le Magyarisme ou Légitimisme hongrois :
-Le Magyarisme n’est pas une question de parti, mais le garant constitutionnel de notre intégrité et la continuité de notre Foi .
Le 8 mais 1918, l’Empereur Charles I° d’Autriche signe son abdication. : c’est la fin de l’Empire Austro-Hongrois. Mais si le lendemain, l’Aurtiche accepte se donner des institutions républicaines, IL N’EN EST PAS DE MEME EN HONGRIE OU LE SENTIMENT MONARCHIQUE DEMEURE TRES FORT.
Si le PARTI CHRETIEN NATIONAL soutient en Hongrie la restauration des Habsbourg, le PARTI DES PETITS PROPRIETAIRES songe là-bas à l’élection D’UN AUTRE SOUVERAIN, ISSU D’UNE DYNASTIE AUTRE QU CELLE DES HABSBOURG.
LE GROUPE DE VISEGRAD trouve son origine en autone 1335, lorsque les Rois de Bohème, de Pologne et de Hongrie (Charles-Robert d’Anjou) se rencontrent dans la ville hongroise de Visegarde pour crèer UNE ALLIANCE ANTI-HABSBOURG. Les trois dirigeants se mettent d’accord sur la création de nouvelles routes commerciales qui permettent un accès facilité aux marchés du Saint-Empire.
Si on veut aujourd’hui restaurer les Habsbourg en Autriche, soit : LA LEGITIMITE DES HABSBOURG EN AUTRICHE N’EST EN AUCUN CAS CONTESTE. Mais laissons les hongrois en paix. Et libres de choisir leur destin. Pourquoi pas avec les Bourbon-Siciles, héritiers LEGITIMES des Anjou de Naples… mais aussi de Hongrie ?
LE MAGYARISME en Hongrie et dans les Pays de Visegrad, c’est avant tout UNE ATTITUDE CULTURELLE CATHOLIQUE, celle de la Tradition. En politique, il incarne le PRINCIPE D’EXPENSION-EVANGELISATION dont Léon XIII rependra l’idée : tout le contraire de l’actuel euro-mondialisme islamisant ! C’est aussi UN NATIONALISME HONGROIS COMME TCHECOSLOVAQUE, ET CHRETIEN : mourir pour la Patrie, c’est mourir pour la société hongroise destabilisée par les idées révolutionnaires. C’est, enfin, FACE A LA MASSE, L’AFFIRMATION DE LA PERSONNE. Noulue Chrétienne .
Si l’empire austro-hongrois reste un modèle de gouvernement Chrétien et son dernier empereur a été réçamment canonisé, l’esprit Magyar, Légimiste, Catholique et Royal, INDEPENDANTISTE, demeure encore très vivant en Europe Centrale et l’histoire des Rois en Hongrie, comme en Slovaquie et en Bohème, reste encore à écrire… car elle pourrait bien de nouveau déposer sur leurs têtes la couronne de Saint-Etienne !
Il est exact que je souhaite restaurer les Habsbourg en Autriche-(Hongrie ?) mais ceci pour une raison simple , la necessité de faire contrepoids par le biais d’une puissance catholique à la protestante allemande en croissance continuelle , dangereuse héritière de la Prusse protestante qui n’était pas moins dangereuse, l’histoire en témoigne depuis 1870.
Alain TEXIER.
La renonciation d’Otto de Habsbourg en 1963 et celle de ses fils en 2009 laisse paradodaxalement à la Maison Royale de France, aujourd’hui les Bourbons, une vocation impériale que le Sacre de Reims donne déjà implicitement au Roi de France, par la Grace de Dieu du Saint-Siège le Bienfaiteur Héréditiare, de l’Eglise Romaine le Protecteur Perpétuel et des Lieux Saints le Défenseurs Souverain du Droit.
Et tout comme l’Europe continentale qui se cherche une légitimité historique à travers l’engagement européiste de la Maison de Habsbourg qui régna effectivement sur l’Allemagne, l’Italie du Nord, l’Espagne, les Pays-Bas, les pays de l’ex-Tchécoslovaquie et ceux de l’ex-empire austro-hongrois, l’Europe Romaine -entendez celle qui prendrait appui sur l’institution pontificale- devrait avoir besoin de l’antique « Europe Bourbonienne » (rappellez-vous du catholissime Pacte des familles de Louis XV entre Bourbons de France, d’Espagne, de Npales et de Parme), héritière de l’Europe Carolingienne, pour venir, après l’Empire Romain d’occident, étayer le sentiment de sa permanence historique.
L’Europe Romaine aurait alors tout autant besoin que le mouvement Pan-Européen, présidé par Otto de Habsbourg jusqu’à son dernier souffle, d’un CAPETIEN pour exprimer et même incarner l’enracinement d’un tel projet géopolitique. Les prophéties du Grand Monarque nous annoncent d’ailleur un Prince des Lys, héritier des Rois de France, pas un Habsbourg, étranger au Sang de France, aussi prestigieuses et honorable que ppuissse être cette Famille…
UN BOURBON, SINON RIEN !
Si l’empire austro-hongrois reste un modèle de GOUVERNEMENT CHRETIEN et son dernier empereur a été réçamment canonisé -ET SUR CE POINT, NOTRE BON ALAIN TEXIER A RAISON !- l’esprit Magyar, Légimiste, Catholique et Royal, INDEPENDANTISTE, ANTI-HABSBOURG, demeure encore très vivant en Europe Centrale.
Si la nostalgie de l’Empire austro-hongrois est très forte en Autriche, il n’ en est pas de même en Hongrie.
LE GROUPE DE VISEGRAD* trouve son origine en autone 1335, lorsque les Rois de Bohème, de Pologne et de Hongrie (Charles-Robert d’Anjou) se rencontrent dans la ville hongroise de Visegarde pour crèer UNE ALLIANCE ANTI-HABSBOURG. Les trois dirigeants se mettent d’accord sur la création de nouvelles routes commerciales qui permettent un accès facilité aux marchés du Saint-Empire.
* https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_de_Visegrád
https://www.touteleurope.eu/actualite/qu-est-ce-que-le-groupe-de-visegrad.html
https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/dossiers-pays/hongrie/groupe-de-visegrad/
L’histoire des Rois en Hongrie, comme en Slovaquie et en Bohème, reste encore à écrire… car elle pourrait bien de nouveau déposer sur leurs têtes la couronne de Saint-Etienne, pas avec un habsbourg, mais plutot avec un BOURBON, héritier LEGITIME de la Maison d’Anjou, isssu du frère de Saint-Louis, Charles I° d’Anjou, maison Royale d’Anjou qui régna sur le Royaume de Naples, en Hongrie et en albanie (rameau de Durazzo)…
PS ET JE FINIS LA…
Si on laisse la guerre entre François I° et Charles Quint -c’était il y a 4 sicècles- ne nous reppelons nous pas que l’unité de l’Italie se fit en 1861 CONTRE les Habsbourg ? Demandez aux Royalistes italiens ce qu’ils pensent des autrichiens ! L’attentat de Sarajevo qui déclancha la I° Guerre Mondiel ne fut-il pas pérpétré CONTRE la maison de Habsourg ? que les Pays de Visegrad se cohalisèrent CONTRE l’Autriche ?
Une Autriche renouvellée dans une Europe libérée, oui. Mais n’ayons pas la prétention de disposer des peuples SANS leur accord, sans connaître leur histoire. Commençons par balayer devant NOTRE porte : restaurons le Roi en France, UN BOURBON, incarnant la restauration d’une Monarchie Capétienne -Catholique et Royale- et s’il est descendant de Louis XVII (dont la mère était une Habsbourg-Lorraine), ne serait-ce pas un don de la Providence ?
Contrebalancer la protestante allemande en croissance continuelle, dangereuse héritière de la Prusse protestante qui n’était pas moins dangereuse, ne peut se faire QUE par une Europe Monarchique et Chrétienne construite autour d’une France redevenue Capétienne -CATHOLIQUE ET ROYALE- et fédérant autour d’elle une Union Latine des pays Catholiques (France, Espagne, Portugal, Italie, Malte) unie, oui, à une Autriche Habsbourgienne -l’épouse du Roi de naples FERDINAND I° fut Marie-Caroline d’Autriche, soeur de Marie Antoinette, et celle du Duc de Parme prénommé lui ausi FERDINAND, fut marie-Amélie, soeur de marie-antoientte et de Marie-Caroline) et à des Pays de Vidsegrad INDEPENDANTE de la tutelle autrichienne, à l’Irlande et à certains Pays Baltes qui concervent la religion Catholique.
Et si cette géopolitique des Couronnes confirment les prophéties de Marie-Julie Jahenny, ce n’est pas moi qui m’invente les choses…
Demandez aux Royalistes italiens ce qu’ils pensent des autrichiens écris tu …
Cette suggestion pourrait être appliquée à d’autres situations comme par exemple demander aux souris ce qu’ils pensent des chats et aux poules leur point de vue sur les renards.
Avant d’être accusé de vouloir jouer l’intellectuel en contredisant notre bon Alain, ou en faisant une névrotique propagande anti-Habsbourg, je ferai une dernière fois une synthèse de ce que fut l’Empire-Austro-Hongrois. Pardon de faire long…
L’Empire Austro-Hongrois est l’union en 1867 de l’Archi-Duché d’Autriche et du Royaume de Hongrie, créée par la transformation en une « double-Monarchie » de l’Empire d’Autriche (lui-même regroupant à partir de 1804 les États régis par les Habsbourg à la suite de la disparition du Saint Empire Romain Germanique).
Les pays représentés au Reichsrat, incluant notamment l’Archiduché d’Autriche, sont les Royaumes de Bohême et de Galicie, les pays de la Couronne de Saint Étienne, incluant les Royaumes de Hongrie et de Croatie-Slavonie.
Jusqu’en 1907, une union douanière complète l’union réelle.
La constitution politique de l’Autriche-Hongrie fait suite à l’exclusion des Empereurs d’Autriche de leurs zones d’influence traditionnelles : l’Italie (1860) puis l’Allemagne (1866). Le projet de François-Joseph Ier consiste alors à conforter son assise en associant les élites hongroises au pouvoir. Ce compromis est accepté bon gré mal gré par la Noblesse hongroise car il pérennise la plupart de ses privilèges féodaux institués par la Bulle d’or du roi André II en 1222. En 1867, François-Joseph, déjà empereur d’Autriche, est couronné Roi de Hongrie à Budapest. Pragmatique, il s’appuie sur les facteurs de cohésion que sont la Monarchie, l’Église Catholique, l’Aristocratie et l’armée. Son petit-neveu lui succède en 1916 sous les noms de Charles Ier d’Autriche et Charles IV de Hongrie.
Ce compromis politique avec la Noblesse hongroise lèse les intérêts des autres peuples de la « Double monarchie », slaves (Tchèques, Slovaques, Polonais, Ukrainiens, Slovènes, Croates, Serbes) ou latins (Italiens, Roumains), qui sesent comme des poules face à une bureaucratie Impériale vue comme un renard.
Places fortes de la Contre-Réforme, l’Autriche et accessoirement la Hongrie ont laissé peu d’espace au protestantisme qui est toutefois resté vivace en Bohême-Moravie et en Transylvanie. En conséquence, plus des trois quarts des Austro-Hongrois sont en 1910 d’affiliation catholique. L’orthodoxie est présente en Bosnie-Herzégovine, en Hongrie du Sud-Est, en Galicie orientale, en Transylvanie et en Bucovine. L’islam est présent en Bosnie-Herzégovine. Phénomène tant religieux qu’ethno-culturel, le judaïsme est représenté sous sa forme ashkénaze de langue yiddish dans les shtetlesh de Galicie, de Bucovine, de Ruthénie et de Marmatie, ainsi que dans les métropoles autrichiennes ou hongroises, et sous sa forme séfarade en Bosnie (particulièrement à Sarajevo où il est souvent ladinophone). Certains territoires se partagent entre trois ou quatre confessions (en Bosnie-Herzégovine, on trouve des catholiques, des orthodoxes, des musulmans et des juifs, en Transylvanie et en Bucovine des catholiques, des protestants, des orthodoxes et des juifs…). Toutes ces ethnies, langues et religions ne cohabitent que grace à la Double-Couronne, de confession Catholique : un modèle, certe, de gouvernement.
Les germanophones et les magyarophones se partagent entre catholicisme (très majoritaire) et protestantisme ; Slovènes, Croates, Tchèques, Slovaques et Polonais sont catholiques ; Ukrainiens et Roumains peuvent être catholiques (de rite grec) ou orthodoxes ; les Serbes sont orthodoxes, et les Bosniaques musulmans. Les Roms enfin sont, pour certains, chamanistes, mais la majorité a déjà adopté l’une des religions des pays où ils vivent.
Toutes ces confessions sont présentes à Vienne, capitale de l’Empire Austro-Hongrois, où se produit un mélange culturel propice au développement de la vie intellectuelle et artistique, que d’aucuns trouvent admirable. Dans une moindre mesure, on retrouve le même melting-pot dans les principales villes de l’Empire, comme en témoignent la littérature, le théâtre, les arts et l’architecture.
Le dualisme austro-hongrois, issu du compromis de 1867, a singulièrement tendu la situation en donnant aux Aristocrates hongrois le pouvoir de bloquer toute modification constitutionnelle et toute évolution politique de l’Empire. Les Aristocrates hongrois craignent de voir voter des réformes (notamment foncières et linguistiques) qui ébrécheraient leur pouvoir absolu. François-Joseph reconnaît qu’il est souhaitable de créer une troisième force, slave, et de rendre au grand-duché de Transylvanie sa Diète. En 1908, l’Autriche-Hongrie annexe la Bosnie-Herzégovine, qu’elle occupait et administrait depuis 1878. mais qui était restée nominalement sous souveraineté ottomane. Les Tchèques sont mécontents du compromis de 1867 car ils s’estiment oubliés.
L’Autriche-Hongrie finit par apparaître agressive. À la suite de l’attentat de Sarajevo (assassinat par un serbe de Bosnie de l’archiduc François-Ferdinand, héritier de l’Empire), et bien que la Serbie ait accepté presque toutes les exigences de l’ultimatum austro-hongrois, l’empire décide d’éradiquer la Serbie par la force. Lors de la défaite à l’issue de la Première Guerre mondiale et au nom du « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », les décisions majoritaires des assemblées représentatives de ces peuples constituées , remplacent en décembre 1918 la « Double-Monarchie » par sept « États-nations ». Certains sont nouvellement indépendants : la Tchécoslovaquie ou le royaume des Serbes, Croates et Slovènes -future Yougoslavie- formé par la réunion des Slaves du Sud d’Autriche-Hongrie, de Serbie et du Monténégro. Un autre, la Pologne, est ressuscité après plus de 120 ans de disparition. Deux pays latins déjà existants sont simplement agrandis aux dépens de l’empire : l’Italie et la Roumanie.
Ces profonds changements sont officialisés durant les deux années suivantes par la signature des traités de Saint-Germain et du Trianon qui consacrent le 8 Mai 1918 la fin de l’Empire, l’interdiction pour les Habsbourg de résider en Autriche, mais aussi l’interdiction pour les Allemands d’Autriche, ainsi exclus du fameux « droit des peuples », de s’unir à la république de Weimar. L’Autriche elle-même devient une république, tandis que la Hongrie reste officiellement un Royaume, à la tête duquel est instaurée une régence. Le territoire de la Hongrie est réduit au tiers central de la Grande Hongrie (où les Magyars sont très majoritaires) et laisse une partie des populations hongroises hors de ses nouvelles frontières…
Qui a lu, comme votre serviteur, le livre d’Otto de Habsbourg, MEMOIRES D’EUROPE (Criterion), comprendra le danger extrèmement important que fait peser encore aujourd’hui la pensée Hasbourg sur les intérets supérieurs de la France. SUR LE PLAN PUREMENT PROVIDENTILAISTE, le fait que l’Empire Austro-Homngrois fut dissou LE 8 MAI 1918 pourrait être du au fait que cet Empire aurait pu devenir, dans l’avenir, UN DANGER pour une France empétrée dans une infinie Régence Républicaines : LA FRANCE DE DIEU, LE ROYAUME DE MARIE NE PEUT PAS MOURIR… IL FAUT QU’IL VIENNE !
Contrebalancer la protestante allemande en croissance continuelle, dangereuse héritière de la Prusse protestante qui n’était pas moins dangereuse, ne peut se faire QUE par une Europe Monarchique et Chrétienne construite autour d’une France redevenue Capétienne -CATHOLIQUE ET ROYALE- et fédérant autour de SA MONARCHIE LEGITIME une Union Latine des pays Catholiques, unie, oui, à une Autriche Habsbourgienne, à des Pays de Vidsegrad INDEPENDANTS de la tutelle autrichienne, à l’Irlande et à certains Pays Baltes qui concervent la religion Catholique, la renonciation d’Otto de Habsbourg en 1963 et de ses fils en 2009, laisse Providentiellement AU ROI DE FRANCE A VENIR,UNE VOCATION IMPERIALE que lui donne déjà implicitement le Sacre de Reims. GRAND MONARQUE FUTUR qui ne que prendre modèle sur LE MODE DE GOUVERNEMENT de l’Empire Austro-Hongrois pour la construction de L’EMPIRE DU SAINT-ESPRIT…
UN BOURBON, SINON RIEN !