https://data.bnf.fr/fr/12548992/achille_de_vaulabelle/
https://data.bnf.fr/fr/12548992
https://www.persee.fr/authority/417598
L’extrait de la Comédie humaine, à la lecture certes un peu difficile, reproduit ci-dessus est particulièrement instructif dans le dramatique tableau qu’il dresse , au delà de l’épopée impériale, de l’état de la France, hors les réformes administratives sur lesquelles nous vivons encore en grande partie, une fois les pompes impériales en grande partie réduites à néant.
Quant au texte ci-dessous il éclaire d’une lumière crue l’incapacité de la république à commémorer autre chose qu’elle et ses « valeurs » telle que la révolution dite Française https://www.sylmpedia.fr/index.php?title=La_révolution_dite_Française a entendu les fonder Terreur à l’appui.
Il y a 250 ans, le 15 août, naissait à Ajaccio celui qui allait changer le destin de l’europe.
(1) L’héritier de Napoléon à Ajaccio, Jean Christophe Napoiléon Bonaparte -Nopléon VII de Jure- était présent pour fêter les 250 ans de la naissance de l’Empereur.
Le fils de la Princess Bétarice de Bourbon-Siciles était venu féter les 250 ans de la naissance de son illustre ancêtre Napoléon Ier dont il a salué l’héritage.
L’héritier, qui mesure près de 2 mètres, -loin du 1m59 de son ascendant- Chef de la Maison impériale de France depuis le décès le 3 mai 1997 de son grand-père, le prince Louis Napoléon, était accompagné de la Comtesse Olympia d’Arco Zinneberg, arrière-petite-fille du dernier empereur d’Autriche Charles Ier, qu’il doit épouser en octobre à Paris.
Il s’est entretenu avec le président de l’Assemblée de Corse Jean-Guy Talamoni sur un projet « Pascal Paoli – Napoléon » qui vise à développer un tourisme culturel et mémoriel autour des liens entre ces deux personnages emblématiques en Corse.
Ces Journées napoléoniennes sont « une opportunité pour rendre hommage à Napoléon Bonaparte, à ce qu’il a fait pour la France, un héritage toujours présent aujourd’hui parmi nous à travers des créations comme le code civil, le baccalauréat, la banque de France, la Cour des comptes », a-t-il ajouté après un discours à la collectivité de Corse.
Pour lui, Napoléon est avant tout « un destin fabuleux », le destin d’un homme qui « devient à 34 ans empereur et maître du monde :
-Il montre que finalement tout est possible pour tout le monde, c’est un peu l’image du self-made-man à l’américaine, c’est pour ça qu’il inspire beaucoup de gens !
Après avoir assasiné le Duc d’Henghien, pillé les Chateaux de la Loire et les musés italiens, ce anant mis l’Europe à feux et à sang…
Depuis la chute de la Monarchie Légitime en 1830, à la suite de Bossuet, Bonald, Maîstre, les vrais Royalistes maintienent et manifestent LE PRINCIPE ROYAL qui est que LE ROI EST LA SEULE AUTORITE LEGITIME EMANANT DE DIEU. Car l’un d’eux, Maurice d’Andigné, a dit :
-C’est à la Légitimité Catholique et Royale que nous devons revenir… ce ne sont pas les hommes, si éminants soient-ils, qui sauvent un pays, ce sont les insitutions.
Qu’est-ce que la Légitimité ?
-La Légitimité est l’application du droit Royal Français tel qu’il est définit dans la théorie statutaire et les Lois Fondamentales du Royaume de France, écrit l’historien du droit Guy Auger (Guy Auger, Du Légitimisme à la Légitimité, in La Légitimité, N° 2, Janvier 1975).
C’est la Légitmité qui inspire les Légitimistes Français et ces néo-Légitimistes que sont les Survivantistes, les Parmistes et les Providentialistes : le principe est le même, seul change le Prétendant.
L’intéret pour la Monarchie augmente à mesure que la République éloigne la France du Bien Commun. Dans ce combat doctrinal de défense du principe en attendant le Prince, une étape revient toujours : connaître et faire connaître les LOIS FONDAMENTALES DU ROYAUME DE FRANCE, qui désignent pour Roi Légitime l’Aîné Salique et CATHOLIQUE des Bourbons NE FRANCAIS et de naissance Légitime.
Les Français ne savent peut-être pas d’avoir un Roi, mais leur héritier actuel n’est pas identifié définitivement : LE ROI DE FRANCE EST CACHE. Ce qui permet à d’autres héritiers de s’avancer… Ne cessons pas DANS L’ATTENTE DU PRINCE Royal, de SERVIR LE PRINCIPE.
(2) Être prétendant, c’est assumer un fait de naissance qui vous désigne Roi de Jure d’un pays, d’un peuple et, de toutes façons, continuateur réel d’une lignée éminente. La prétendance est plus ou moins virtuelle selon le degré de probabilité de la résurgence de la Royauté, mais pas seulement. La renommée de la lignée, principal héritage social, donne matière, plus ou moins dense, à cette prétendance. La densité exceptionnelle de l’histoire de la Royauté en France, exceptionnelle au point que la désinformation systématique, scolaire et médiatique, n’est pas parvenue à la réduire complètement, confère à l’héritage virtuel un poids réel. Ainsi donc, lorsqu’elle est fondée sur l’impressionnante histoire d’une dynastie millénaire dite “Très Chrétienne” et – phénomène plus exceptionnel encore– continûment nationale, lorsqu’elle est peu ou prou soutenue par un inconscient collectif encore vivace, la prétendance est une fonction fort singulière certes, mais inéluctable, inépuisable, qui coule de source.
Comment la définir ? D’abord par ce qu’elle n’est pas. Elle n’est ni un métier, ni un emploi professionnel reconnu. Ce serait plutôt une activité libérale, non rémunérée, de représentation patrimoniale et de communication politique non institutionnelle, assurée par une sorte de droit coutumier. C’est une fonction de représentation patrimoniale en ce que son détenteur incarne la richesse d’un immense passé et une part de l’imaginaire français. À l’heure du devoir de mémoire et de la quête fervente des ascendants familiaux, c’est une fonction généalogique et invocatrice. Le piège serait de la confiner à celle de gardien de musée, alors que son objectif est de rendre ce passé présent, vivant, attractif et porteur d’avenir. Concrètement, cette fonction consiste, entre autres, à participer à des cérémonies, à honorer des manifestations internationales, nationales, régionales. Relieuses aussi, le Roi de France étant PAR LA GRACE DE DIEU ROI DE FRANCE ET DE NAVARRE, DU SIEGE APOSTOLIQUE LE BIENFAITEUR HEREDITAIRE, DE L’EGLISE DE ROME LE PROTECTEUR PERPETUEL, DE LA LIBERTE DES LIEUX SAINTS LE DEFENSEUR SOUVERAIN DU DROIT.C’est aussi une fonction de communication politique, originale de par la position de celui qui l’exerce, à la fois à l’écart des jeux politiciens et intimement concerné par la vie et le destin d’un pays auquel peu de dirigeants peuvent s’identifier autant que lui.
Oui, mais… comment en terme de communication politique, concevoir un Roi inconnu, pouvant agir… tout en restant anonyme? un homme seul peut-il défier une nation entière? Cela exigerait que le ROI CACHE agisse selon les préceptes indiqués par le Colonel Pierre Chateau-Jobert dans son livre DOCTRINE D’ACTION CONTREREVOLUTIONNAIRE(Editions de Chiré).
Identité: Inconnue.
Activité: Inconnue.
Il n’y a pas de risque qu’on le confonde avec cette éblouissante ronde d’héritiers Royaux dépossédés et accompagnés de toute leur parentèle, de Princes sans Principauté, théâtre ambulant à la Pirandello sur fond de bals caritatifs, de réceptions sponsorisées et de mariages merveilleusement Royaux comme de Baptêmes merveilleusement Princiers, renforcés d’un casting d’enfer, coiffeurs, couturiers top model, histrions de télé, publicitaires! On ne compte plus en France les magazines people (prononcer pipole) faisant le miel de ce rêve là…
Peut-être notre Roi inconnu a-t-il fréquenté un temps tout ce beau monde AVANT DE SE CONVERTIR. u-LYS-se déguisé en mandiant. On peut l’imaginer Catholique d’une grande hauteur de sentiments, tel un Chevalier de Malte au service des indigents, incollable sur les Ordres de Chevalerie antiques ou encore existants comme sur tous les lieux d’apparitions Mariales dans le monde, suivant les déplacement de la Jet Set, possédant un passeport de l’Ordre Souverain de Malte, ayant ses entrées à la Cour Royale d’Angleterre et usant un bolide de rêve -une Corvette Stingray modèle 1965 de couleur noire- résultant enregistré au parc automobile de la Maison Blanche, où personne ne semble rien savoir… mais peut-être nous laissons-nous seulement emporter par notre imagination.
L’incognito, c’est comme l’exil : une attitude qui rétablit les distances entre le spirituel et le profane, entre le Sacré et le politique, recul dont le Roi caché serait privé en cédant trop vite aux sirènes de la PIPOLITIQUE. C’est un acte de vrai Prétendant, une affirmation qui nous rend à nous, Royalistes, l’espérence: comme un phare qu’on découvre au bout de la nuit !
(3) Ce Roi incognito, qui agit dans l’anonymat, U-LYS-sse déguisé en mandiant AU BAL DES PRETENDANTS, s’emploie à tromper ses concitoyens sur son identité afin de surprendre, espion bienveillant, leurs conversations quotidiennes et connaître leurs aspirations: loin d’être discrédité par ces procédés, il n’en est que plus apprécié, les personnes pensant pouvoir rencontrer le Roi et le détourner, par leurs avis éclairés, de ses mauvais conseillers !
Lorsque la justice l’exigera, Dieu appellera ce Roi avisé qui reviendra rétablir le bon droit…
Stéphane Rials, dans son livre Le légitimisme (Que sais-je?, P.U.F., 1983), observe:
–La résurgence du vieux mythe, qui n’est pas propre à la France, du “ Roi caché ”, du “ Roi perdu”, du “ Grand Monarque ”, est alors très nette sur fond d’un total “ inséparatisme ” EN FRANCE du politique et du religieux dont La Salette est l’un des hauts lieux.
Jean Raspail a écrit dans son livre LE ROI AU-DELA DE LA MER (Albin Michel), http://www.chire.fr/A-150492-le-roi-au-dela-de-la-mer.aspx qu’en attendant l’heure de Dieu, il est tout a fait concevable qu’un Roi caché, masqué aux yeux du monde comme l’est Benoit XVI depuis sa démission, ait déjà commencé à consulter, batir, organiser –et même conspirer!- à tisser sa toile, comme une Chouannerie moderne et, d’allégeance en allégeance, instituer ce Royaume parallèle invisible aux yeux d’Yves-Marie Adeline mais pas à ceux de Jean Raspail, et dont la trame irriguerait le corps encore sain de la Nation.
En certaines circonstances, l’Eglise s’est revivifiée de cette manière là…
(4) La Restauration méritera bien son nom. Ayant trouvé le Pays vaincu et ruiné en 1815, elle restaure la France en quelques années, elle relève les finances, et dès 1823, grâce à la sage administration du Baron Louis, le franc est au pair et la rente le dépassait à 104 francs or. En dix ans, notre commerce extérieur doublera presque. La prospérité deviend générale. On établit les caisses d’épargne.
Successivement sont fondées l’Ecole des Mines, l’Ecole des Chartes, l’Ecole Forestière, l’Ecole Centrale, etc…
La Restauration inverse en fait ce que la Révolution dite Française a voulu faire par son laïcisme d’état, REFAISANT DE LA DEFEBSE DE LA FOI CATHOLIQUE UN PRINCIPE DE GOUVERNEMENT.
Aussi Renan a-t-il pu dire :
-La Restauration a fondé le vrai développement intellectuel de la France au XIX° siècle.
LES VRAIS ROYALISTES s’inscriront ainsi dans la successsion des Croisés du temps des Capétiens, des membres de la Ligue Catholique du temps d’Henri IV, des Mousquetaires du Roi, des Chouans de Vendée et de Bretagne, des Chevaliers de la Foi, des Zouaves Pontificaux du Général de Sonis et des Camelots du Roi…
UN DERNIER POUR LA ROUTE !
Pourquoi nous ne sommes pas Bonapartistes
5-https://www.youtube.com/watch?v=Se2RQDB0_lw