Introduction.
Il y a longtemps, Alain Texier, CJA, président fondateur de la Charte de Fontevrault, m’avait demandé un article sur l’histoire des Etats italiques pré unitaires, les Etats qui se trouvaient dans la Péninsule italique avant l’unité de l’Italie en un seul Royaume.
Le Royaume d’Italie, gouverné par la dynastie Royale de la Maison de Savoie, est le nom de l’État italien de 1861 à 1946, Etat issu du Royaume de Piémont-Sardaigne après la période des guerres d’indépendance, dites du Rissorgimento.
La période du règne de Victor-Emmanuel II de Savoie, qui va de 1859 à 1861, est aussi appelée « Victor-Emmanuel II Roi Élu» ce qui désigne bien la manière dont il a accédé au trône d’Italie. En effet, en 1861 le Duché de Parme et de Plaisance est annexé de force, au grand dam de la Duchesse Régente, née Louise Marie de Bourbon-France, et qui est la soeur du Comte de Chambord. Le Duché de Modène et de Reggio et le Grand Duché de Toscane votent des plébiscites pour l’union au Royaume de Piémont-Sardaigne. La même année, le Royaume des Deux-Siciles est conquis grâce à l’Expédition des Mille https://fr.wikipedia.org/wiki/Expédition_des_Mille et les Etats Pontificaux sont envahis par les Piémontais. Tous ces territoires sont annexés officiellement au Royaume de Piémont-Sardaigne qui devient alors le Royaume d’Italie. Il reste à réussir l’intégration de différents États qui pendant des siècles furent séparés. Il y en avait sept https://fr.wikipedia.org/wiki/Risorgimento#/media/Fichier:Italia_1796-fr.svg :
1. Royaume de Lombardie-Vénétie (1815-1866) https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_Lombardie-V%C3%A9n%C3%A9tie
Après le Congrès de Vienne https://fr.wikipedia.org/wiki/Congr%C3%A8s_de_Vienne, les territoires milanais issu du Duc hé de Milan et vénitien issu de la République de Venise sont réunis pour former un Royaume Lombardo-Vénitien, dont l’empereur autrichien Joseph II, qui est le frère de Marie-Antoinette, est le souverain, inclus dans l’Empire Austro-Hongrois mais qui reste hors de la Confédération Germanique.
En 1859, le Milanais est réuni au Royaume de Piémont-Sardaigne (à l’exception du Mantoue).
En 1866, le Mantouan et la Vénétie sont cédés à l’Italie par l’empereur d’Autriche après les guerres d’indépendances italiennes où les armées de Napoléon III viennent au secours de celle de Victor-Emmanuel II de Savoie. Le Royaume de Lombardie-Vénétie a vécu.
Il faut préciser que le Littoral autrichien (1813-1819) était un ensemble territorial comprenant notamment Trieste et Gorizia est annexé par l’Empire d’Autriche en 1813. Ces deux villes et les territoires qui en dépendent sont rendus à l’Italie au lendemain de la Première Guerre Mondiale.
Il faut préciser également que les régions du Trentin et du Tyrol italien, anciennes dépendances du Royaume d’Italie de Napoléon, sont incorporées dans l’Empire austro-Hongrois en 1814. Elles sont réunies au Royaume d’Italie au lendemain de la Première Guerre Mondiale où la France récupère l’Alsace et la Lorraine, et l’Italie, le Trentin et le littoral autrichien : Trento é Trieste, dit-on Outre-Alpes.
2. Royaume de Piémont-Sardaigne (1323-1861) https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_Sardaigne_(1720-1861)
En 1815, le Duché de Savoie et la Principauté de Piémont, États personnels du Roi de Sardaigne, dépendant auparavant du Saint Empire Romain Germanique et distincts de la Sardaigne, sont intégrés dans le Royaume dit de Piémont-Sardaigne. Alors que le Roi de Lombardo-Vénétie est le frère de Marie Antoinette, le Roi de Piémont-Sardaigne Victor-Amédée IV épouse Clotilde de France, soeur de Louis XVI, et donne ses soeurs, Marie-Joséphine de Savoie et Marie Thérèse de Savoie, en mariage respectivement aux Comtes de Provence et d’Artois : Marie-Thérèse de Savoie est ainsi la mère des Ducs d’Angoulême et de Berry, comme l grand-mère du Comte de Chambord.
En 1861, le Roi de Piémont-Sardaigne, Victor-Emmanuel II, cousins et successeur Salique de Victor-Amedé IV, devient le premier Roi d’Italie, d’une Italie unifiée.
3. Duché de Parme, Plaisance et Guastalla et Etats Annexés (Royaume d’Etrurie et Duché de Lucques), dit Duché de Parme (1545-1861)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Duch%C3%A9_de_Parme_et_Plaisance
Le Duché de Parme (en italien : Ducato di Parma) est un ancien Etat italique, créé en 1545 par le pape Paul III Farnèse au profit de son fils Pierre-Louis. Il a le statut de fief pontifical, dit fief latin. De 1748 à 1802, puis de 1815 à 1847, le Duché de Parme et Plaisance est augmenté du Duché de Guastalla (d’où la dénomination italienne : Ducato di Parma, Piacenza e Guastalla).
Les Farnèse restent à la tête du duché jusqu’en 1731, lorsque Elisabeth Farnèse, ultime héritière du Duché devenu entretemps souverain, épouse Philippe de Bourbon, second petit-fils de Louis XIV, devenu Philippe V d’Espagne. Les Bourbon-Parme parviennent à préserver leur autonomie et leur intégrité territoriale malgré les prétentions de l’Espagne et de l’Autriche. Le Pacte des Familles établi en 1765 entre les Bourbons de France, d’Espagne, de Naples et de Parme, et le mariage du jeune Philippe de Bourbon-Parme avec Mme Isabelle, fille de Louis XV, renforce la position du Duché de Parme. La soeur du Comte de Chambord, Louis Marie d’Artois épousera le dernier Duc régent de parme : Charles III. Charles III et Louise-Marie sont les arrière-grands parents directs du prince Sixte-Henri de Bourbon-Parme.
Le Duché souverain de Parme dispose donc de son administration, de sa justice, d’un hôtel des monnaies et de son armée jusqu’à son annexion forcé au Royaume de Piémont-Sardaigne en 1860, prélude à l’intégration au Royaume d’Italie en 1861.
4. Duché de Modène et Reggio, dit Duché de Modène (1815-1860) https://fr.wikipedia.org/wiki/Duch%C3%A9_de_Mod%C3%A8ne_et_Reggio
Modène redevient un Duché souverain en 1815.
En 1847, à la suite de la mort de la Duchesse de Massa et Carrare et de la réorganisation politique dans la région, le Duché de Modène reçoit Guastalla du Duché de Parme et l’enclave de Fivizzano du Grand-Duché de Toscane.
En 1848, une révolution chasse le Duc François V, dont la soeur Marie-Thérèse, avait épousé le Comte de Chambord en 1846. Modène se donne au Royaume de Sardaigne, mais le Duc est rétabli en mai 1849, soutenu par l’Autriche.
En 1859, le Duc s’enfuit de Modène et un gouvernement provisoire est institué. Le 12 mars 1860 un plébiscite décide le rattachement de Modène au Royaume de Piémont-Sardaigne, effectif le 19.
5. Le Grand Duché de Toscane (1569-1859) https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand-duch%C3%A9_de_Toscane
Le grand-duché de Toscane est un ancien État italique, qui a existé entre 1569 et 1801 puis entre 1815 et 1859 sur un territoire correspondant approximativement à l’actuelle région italienne du même nom : la Toscane.
Le Grand-Duché est fondé en 1569/1570 par le Duc de Florence, Cosme I° de Médicis, créé Grand-Duc de Toscane par le Pape Pie V le 27 aout 1569 puis couronné par celui le 5 mars 1560.
Catherine de Médicis et sa petit-cousine Marie de Médicis sont issues de la dynastie régnante sur le Grand-Duché de Toscane. Marie de Médicis, épouse d’Henri IV, est la mère de Louis XIII et la grand-mère de Louis XIV : elle est l’ancêtre des actuels Bourbons d’Espagne, de Naples et de Parme…
Passé au Bourbon-parme de 1801à 1815, où il prit le nom de Royaume d’Etrurie https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_d%27%C3%89trurie , le Grand-Duché est rétabli avant d’être rattaché au Royaume de Piémont Sardaigne en 1860.
6. Le Royaume de Naples et des Deux Siciles (1130-1861) https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_des_Deux-Siciles
Le royaume des Deux-Siciles (en italien : Regno di Napoli e delle Due Sicilie) est un Etat souverain de l’Europe du Sud qui a existé dans l péninsule italique de 1816, année de l’unification du Royaume de Sicile https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_Sicile et du Royaume de Naples https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_Naples , jusqu’en 1861, année de l’annexion des Deux-Siciles au jeune Royaume d’Italie. Gouverné par quatre Rois de la dynastie des Bourbon-Sicile, qui descendent par les femmes de tous Rois napolitains et siciliens -hauteville, Anjou, Aragonnais et Bourbons- il s’étendait sur l’Italie du Sud et la Sicile.
Le royaume des Deux-Siciles est très avancé dans les domaines technologique, scientifique et industriel (plus grande industrie navale, ferroviaire et métallurgique d’Italie, un des premiers ponts suspendus d’Europe continentale, premier observatoire volcanologique et sismologique du monde). Il possède la 3° marine militaire d’Europe sous le Roi Ferdinand I° -dont l’épouse, Marie-Caroline, était la soeur de Marie-Antoinette et de Joseph II- et la première marine commerciale d’Europe continentale.
L’économie du Royaume est également florissante. En Sicile, l’extraction du soufre, à l’origine d’une crise politique entre l’Empire britannique et les Deux-Siciles à la fin des années 1830, représente près de 80 % du marché mondial. Lors de l’annexion en 1861, les Deux-Siciles représentent 66 % des finances publiques de la péninsule italique.
Pourtant, il est très peu développé sur le plan social : près de 90 % de sa population est rurale, elle sera facilement soulevée contre les Bourbons par les agents savoyards en 1820 et 1848.
La mère du Comte de Chambord et de sa soeur l’ultime Duchesse souveraine de Parme, et la mère du Roi Juan Carlos, furent toutes deux des Princesses Bourbon-Siciles…
7. Les Etats Pontificaux (An 754-1870) https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tats_pontificaux
Les États pontificaux, ou États de l’Église, ou États du Pape (en italien : Stati della Chiesa/Etats de l’Eglise) sont les Etats qui furent entre l’An 754 et 1870 sous l’autorité temporelle du pape. Le premier noyau de ces États était baptisé Patrimoine de Saint-Pierre, assis sur la fausse donation de Constantin mais le vrai don de Pépin le Bref. Les Accords du Latran en 1929 ayant réglé la question romaine sans toutefois se prononcer sur l’abolition des États Pontificaux proclamée par Victor-Emmanuel II en 1870 mais non acceptée par le pape, on considère que leur continuité se retrouve aujourd’hui dans l’Etat de la Cité du Vatican.
Conclusion.
Ces sept Etats pré-unitaires, alliés du Royaume de France, seront annexés par le Royaume d’Italie, gouverné par la dynastie de la Maison Royale de Savoie qui a fourni plusieurs Rois de France http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-des-liens-de-sang-entre-la-maison-de-france-et-la-maison-de-savoie-115253203.html , et qui est le nom de l’Etat italien unifié de 1861 à 1946, Etat issu du Royaume de Piémont-Sardaigne après la période des Guerres d’Indépendance du Rissogimento. Durant la période allant de 1922 à 1943, le Royaume d’Italie, dirigé par le gouvernement fasciste de Benito Mussolini, sera couramment désigné sous le terme d’Italie fasciste, sans que le régime Monarchique ne soit interrompu.
En 1946, le Royaume d’Italie deviendra ce que Gianni Agnelli se refusera à appellera une “ République Bananière” face aux attaques de The Economist http://blogs.lesechos.fr/echos-d-hier/24-janvier-2003-giovanni-agnelli-a8665.html même si huit mois plus tard, ulcéré par le limogeage du ministre des Affaires étrangères pro-européen Renato Ruggiero (considéré comme un « homme de Fiat »), il lâche d’un air pincé que l’Italie est encore « un pays de figues de Barbarie »
Hervé J. VOLTO, CJA, Président Honoraire de la Charte de Fontevrault (Président 1991-1994), chroniqueur et mémorialiste, membre du Chapitre Général et Délégué Officiel pour l’Italie
NOTES
Contrairement à la noblesse d‘autre pays européens, la noblesse italienne est très hétérogène. Avant l’unification de la pininsule italique en 1865, les 7 différants souverains qui y exerçaient leur pouvoir y concédait tous des titres de noblesse: l’Empereur Austro-Hongrois pour toute la grande région lombardo-vénitienne, le Roi de Piémont-Sardeigne, le Roi de Naples-et-Des-Siciles, le Grand-Duc de Tosacane, le Duc souverain de Parme, celui de Modène, et même… le Pape, souverain des Etats de l’Eglise!
Quand se réalisa l’unité italienne, avec l’occupation de Rome par les troupes piémontaises, la Maison de Savoie, souveraine de l’Italie unifiée, tenta légitimement d’amalgamer toutes ces différentes noblesse. Ce fut un échec juridique et politique : de nombreuses familles Nobles restèrent fidèles aux dynasties déposées dont elles avaient reçus leur dignité.
En particulier, une partie considérable de la Noblesse Romaine, fidèle au Souverain Pontife, ferma ses salons, exibant un drap noir à la porte de leur palais : cette Noblesse en deuil prit le nom de NOBLESSE NOIRE.
Les Accords du Latran, dans leur Article 42, assurait pourtant à la Noblesse Romaine une situation à part, car ils reconnaissaient au Pape le droit de continuer à attribuer des titres de noblesse et acceptait ceux qui avaient été octroyés antérieurement par le Saint-Siège. La Constitution Républicaine de 1947 mit d’accord toutes ces Noblesses divisées qui ne survivaient qu’à l’état de tradition prestigieuse en supprimant tous les titres non-pontificaux ! C’est à ce résidu social que la république porta le cout de grâce.
Un dégout pour ce que feu Giovanni Agnelli nommait de son vivant une « république bananière » comme pour une classe politique « ripoublicaine », et des Valeurs communes ont favorisé des alliances entre Familles de ces diverses noblesses pré-unitaires. Et puis l’Ordre Souverain de Malte, qui possède un Concordat officiel avec le Vatican, enrôle des aristos transalpins pouvant démontrer 4 quartiers de noblesse issus de toutes ces noblesses diverses et désirant servir, qui tendent ainsi à s’amalgamer enfin en une seule.
De sorte que la Noblesse Italienne consittue aujourd’hui un ensemble encore présent Outre-Alpes sur le plan social. Quel peut-être le rôle de la noblesse italienne aujoudhui? Le pape Pie XII s’est prononcé sur ce sujet dans ses célèbres 14 allocutions au Patriarcat et à la Noblesse Romaine: On peut à travers cet ensemble réflexions étudier le rôle actuel de la noblesse: favoriser dans la société la difusion des Valeurs dont elle est détentrice, incarner une harmonie nécessaire entre tradition et progrès authentique, être un modèle de vertu et d’exellance Chevaleresque, constituer un élan d’élévation et de perfection par la Charité, former un noyau autour duquel s‘articuleront et s‘ordonneront les divers élites sociales, promouvoir dans l’opinion publique les valeurs fondamentales de la civilisation Chrétienne, et de combattre – par tous moyens pacifiques et légaux – la révolution culturelle athée, immorale et socialiste qui vise à les saper, et veut combattre l’expansion du mouvement révolutionnaire dont le socialo-communisme et l’anarchisme.
Observations reçues directement (à mon adresse mail perso) de la part de M° POSSOCO Yannick que je remercie de son amical envoi.
1 Le Royaume d’ ITALIE n’est pas issu du Royaume de SARDAIGNE mais c’est simplement un changement de nom : la constitution est le statut de 1849 accordé par le roi Charles-Abert et le roi est Victor-Emmanuel II qui conserve ce nom et le numéro. C’est donc pour un juriste le même état qui a simplement annexé ses voisins (on parlait à l ‘ époque d’un acte de brigandage)
2 le Royaume Lombard- Vénitien n’ a jamais appartenu à l’ empire Austro-Hongrois qui n’existe qu’ en 1867 aprés l’ annexion par l’ ITALIE mais il dépendait de l ‘Empire d’ Autriche, nom pris pas les Etats de la Maison d’ Autriche
3. En 1866 la Vénétie est rattachée à l’ ITALIE qui vient de participer à la guerre austro-prussienne et la France n’est intervenue que sur le plan diplomatique. Ce n’est donc pas l’ armée française qui est venue soutenir le roi Victor-Emmanuel
4 le Trentin et le Tyrol ont été des territoires autrichiens et le royaume de HONGRIE n’ a jamais été concerné par cette affaire qui remonte aux siècles précédant le XIXeme siècle
5 Louise d’ ARTOIS est aussi une aieule de l’impératrice Zita qui est la dernière impératrice d’ Autriche et des princes Sixte et Xavier qui sont les acteurs de l’ affaire Sixte et donc aussi des princes actuels Charles- Hugo et Sixte-Henri et la famille actuelle
6 En ce qui concerne le grand-duché de Toscane il y a surement une erreur puisque Côme de Médicis n’ a certainement pas été couronné avant la création du grand-duché (voir les dates)
On peut aussi ajouter que Marie de Médicis est aussi l’ aïeule des Bourbons d’ Orléans
7 On peut dire que le royaume des DEUX SICILES était un pionnier en ce qui concerne le réseau ferroviaire
La reine des Français Marie-Amélie épouse de Louis-Philippe était aussi une princesse de cette Maison et était la tante de la duchesse de Berry
(je viens d’apprendre qu’elle était légitimiste mais elle était aussi la mère des enfants de Louis-Philippe)
Yanick POSOCCO
1. Le Royaume d’Italie bien est issu du Royaume de PIEMONT-SARDEIGNE ayant annexé les 6 Etats voisins, ce qu’à Parme et à ERome on apapellé un act de brigandage, et ayant conservé les Statuts Albertin, charte constituitonelle du Royaume de PIEMONT SARDEIGNE.
2. Le Royaume Lombard-Vénitien a bien appartenu à l’ empire autrichien : le Roi était un membre de l Maison de Habsbourg, Jopeh II, frère de Marie Antoinette, qui ira cosneiller Louis XVI sur ses devoirs onjugaux.
3. La Vénitie, qui apparetenait au Royaume d’Italie de Napoléon I°, sera vendu aux autrichien par ce dernier: Puis elle sera réannexé par le Royaume de Piémont-Sardeigne au moment de l’unité de l’Italie.
4. Le Trentin et le Tyrol ont été des territoires autrichiens, tout comme la Hongrie, le Nord du Tyrol étant ENCORE autrichien aujourd’hui, et le sud du Tyrol formant la région italienne du Haut-Adige, arrattachée au Trentin : on dit Regione Trentono-Alto Adige (proconcer Adidgé) ou Région Trenrin-Haut Adige. Dans le cas du Trentin, ce fut une Principauté : il Principato di Trento/la Principauté de Trente, dont le Princes étaient des Princes-Evèques nommés à vie par l’Empereur autrichien : les Périnces-Evêques de Trente avaient comme Vidame les Comte de la Valteline, Comte impérieux héréditaires et gouverneurs du Comté de la Valteline, voisine de la Principauté de Trente. La principauté fut sécularisée par Napoléon I° (Traité de Lunéville de 1801) qui la donna aux Comtes de la Valteline : ces derniers, pour ne pas accepter de servir le parvenu botté, s’enfuirent dans le Roayum des Dexu-Sicoles et se mirrnt aux services des Bourbon. Une erreur, les Comte de la valteline, devenus Prince de Trente, devinrent pauvres ET emmigrèrent en algérie, où ils deviemnrnt expolitants agroicoles. Leur ultime descendant, Jospeh VOLTO, des Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA et des Princes VOLTOLINA DE TRENTE, est un artisan-maçon à la retraite né en 1936. il a un héritier né en 1962 : Hervé-Jopeh VOLTO, des Comtes VOLTOLINI DE VALTELINA et des princes VOLTOLINA DE TRENTE, spécialiste en communication politique en sécurité, votre serviteur… Napoléon n’enleva pas le titre aux VOLTO, mai quand les Habbourg, si, quand ils reprirent la Principauté de Trente à Napoléon en 1914, après qu’il l’ai vendu à la Bavière en 1805, puis de nouveau à Napoléon 1810 : l’Empereur austro-Hongrois mis parmi ses titres celui de Prince de Trente… de 1831 à 1962, nous sommes devenus les VOLTO DE GUYOTVILLE…
5. Louise d’ ARTOIS, sour du comte de Chambord, est bien également la grand-mère de l’impératrice Zita qui est la dernière impératrice d’ Autriche, elle-même soeur des Princes Sixte et François-Xavier qui sont les acteurs de l’ affaire de la Paix séparèe et donc aussi tante du Prince Sixte-Henri et grande tante du Prince Charles-Xavier, fils du défunt Prince chareles-Hugues.
6. En ce qui concerne le grand-duché de Toscane, Côme de Médicis est l’ancêtre de catherine et de Marie de Médicis, qui est l’ aïeule des Bourbons de France (Grand Monarque), d’Espagne (Philippe VI),, de Naples, de Parme, de Luxembourg (Grand Duc henri), et, c’est vari, d’ Orléans (le Comte de Paris).
7. L’épouse de Louis-Philippe, Marie-Amélie de Bourbon-Siciles, Reine « des Français » , était bien la tante de la Duchesse de Berry…
merci…
Hé bien nous n’avons plus qu’à attendre des réactions aux réactions et nous finirons par y voir beaucoup plus clair. A vos souris.
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