Votre serviteur ne sait pas ce qui est le plus grave dans cette histoire : le fait qu’un voisin fasse envoyer les forces de l’ordre dans une messe tout à fait légale et respectueuse des règles de confinement, le fait que la police intervienne dans un lieu Sacré sans se poser de questions, ou le fait qu’on empêche une messe de se dérouler.
Une trinité d’abomination, voilà bien une moquerie du démon !
Mardi 21 avril 2020, Emmanuel Macron, en compagnie de Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur et des Cultes aurait reçu les différents responsables des religions et… des loges maçonniques représentées en France.
Les responsables de l’épiscopat Français auraient proposé différentes mesures. Une reprise progressive de la célébration de la messe, avec un taux de remplissage des églises de 30 ou 50%. La possibilité de célébrer baptêmes et mariages, célébration aujourd’hui interdite par l’autorité ecclésiastique, en réduisant l’assistance aux proches, géographiquement, des familles. Maintien de l’interdiction de la distribution de la communion directement sur la langue. Enfin les pèlerinages nationaux ne pourraient avoir lieu, n’étant tolérés que des pèlerinages locaux.
Il faut bien avouer que tout cela dégage une impression un peu curieuse. Dans un ouvrage à paraître aux éditions Contretemps, Christus Vincit, Mgr Schneider, évêque auxiliaire d’Astana au Kazakhstan, dénonce le naturalisme dont serait imprégnée une bonne part du corps épiscopal contemporain ayant fait sienne l’attitude que dénonçait saint Grégoire de Nazianze au IVe siècle : « Nous servons le siècle et les exigences de la foule ». Ce constat semble d’une grande actualité. On ne sache pas que les supermarchés soient astreints à ne pas recevoir plus de vingt personnes à la fois. Quant à la question des sacrements ils semblent plus être considérés comme des rites sociaux de la communauté chrétienne que comme les canaux ordinaires de la grâce. La légèreté avec laquelle a été suspendue la célébration de plusieurs sacrements (messe, baptême, et mariage) invite d’ailleurs à se demander si nos évêques pensent vraiment que la réception des sacrements est nécessaire au salut.
Tout ceci fut prophétisé à La Salette. Et quand le Comte de Chambord reçut Maximin Giraud, son secrétaire le Comte de Vansay, était préssnt. Plusieurs annèes après, il fera une confidence à un haut prélat, évqpoue ou rachevêque, ayant ses entrèes au sein d’une grand Famille Française : ce prélat aurait dit à une Duchesse que la Royauté aurait été rétablie un jour en France grace à la Religion et la Société.
Le Religion pourrait faire allusion à un clergé revenu de son modernism et de son libéralisme.
La Société pourrait faire allusoion à la Noblesse Française.
Plaise à Dieu que Sa volonté soit faite rapidement à prèent. Parce que, côté République, il semble ne plus avoir rien à attendre au niveau religieux…
Qui croit encore ce qu’enseignait le catéchisme de Saint Pie X : « Les sacrements les plus nécessaires pour notre salut sont le baptême et la pénitence : le baptême est nécessaire à tous absolument et la pénitence est nécessaire à tous ceux qui ont péché mortellement » ? Que signifient ces enterrements sans messe et sans assistance ? Mais qui croit encore à la valeur de la célébration de la messe pour hâter l’accès des âmes au paradis ? Tout cela est terrifiant. Le simple laïc du bout du banc a la douloureuse impression que les réalités surnaturelles sont escamotées au bénéfice de considération purement naturelles pour ne pas dire naturalistes. Des prêtres sont dénoncés par leur évêque aux autorités civiles lorsqu’ils continuent à recevoir des fidèles dans leur église ou se déplacent de maison en maison pour célébrer la messe. Une messe confinée à saint André de l’Europe, à Paris, est interrompue par des policiers en armes. Des communautés religieuses féminines refusent qu’un prêtre vienne leur célébrer la messe. Des prêtres disent quelques mots de compassion à des familles réduites, esseulées et en larmes dans des églises désertes devant un cercueil, sans fleurs ni couronnes certes mais aussi sans office liturgique digne de ce nom. Rupture civilisationnelle majeure que ces morts et ces enterrements solitaires, sous le gouvernement de la peur.
Voilà où nous en sommes alors que nos ancêtres risquaient la mort pour assister à la messe de bons prêtres lors de la Révolution et que les supermarchés sont ouverts…
La police intervient armée dans une église : pourquoi ? il y avait des terroristes ? non, c’est dans les mosquées que les terroristes se recrutent, pas dans les églises !
Il me souvient d’autre part que les églises sont des lieux d’ASILES où les policiers n’ont pas le droit d’entrer : autrefois, même un assassin pouvait y avoir accès en criant « Asile » « Asile » et il pouvait y retrouver la paix, mais il n’avait pas le droit d’en sortir sinon, la police pouvait le « cueillir » à la sortie !
Maintenant c’est l’inverse : ce sont les policiers qui ont le droit d’y entrer – en armes s’il vous plait – et les fidèles qui sont priés d’en sortir !!!
Toujours cette INVERSION DIABOLIQUE puisqu’aujourd’hui, le bien est devenu le mal et le mal est devenu le bien ! Là est bel et bien visible, la griffe de Satan !!!
Amitiés à tous.
Il faut savoir qu’une ordonnance royale a abolie la quarantaine, autre nom du confinement, le 18 août 1847 parce que cette méthode était considérée comme inutile ! Vous pourrez lire cette information dans l’extrait du journal d’Hygiène numéro 128 qui est recopié en l’état dans cet article.
Votre serviteur ne sait pas ce qui est le plus grave dans cette histoire : le fait qu’un voisin fasse envoyer les forces de l’ordre dans une messe tout à fait légale et respectueuse des règles de confinement, le fait que la police intervienne dans un lieu Sacré sans se poser de questions, ou le fait qu’on empêche une messe de se dérouler.
Une trinité d’abomination, voilà bien une moquerie du démon !
Mardi 21 avril 2020, Emmanuel Macron, en compagnie de Christophe Castaner, Ministre de l’Intérieur et des Cultes aurait reçu les différents responsables des religions et… des loges maçonniques représentées en France.
Les responsables de l’épiscopat Français auraient proposé différentes mesures. Une reprise progressive de la célébration de la messe, avec un taux de remplissage des églises de 30 ou 50%. La possibilité de célébrer baptêmes et mariages, célébration aujourd’hui interdite par l’autorité ecclésiastique, en réduisant l’assistance aux proches, géographiquement, des familles. Maintien de l’interdiction de la distribution de la communion directement sur la langue. Enfin les pèlerinages nationaux ne pourraient avoir lieu, n’étant tolérés que des pèlerinages locaux.
Il faut bien avouer que tout cela dégage une impression un peu curieuse. Dans un ouvrage à paraître aux éditions Contretemps, Christus Vincit, Mgr Schneider, évêque auxiliaire d’Astana au Kazakhstan, dénonce le naturalisme dont serait imprégnée une bonne part du corps épiscopal contemporain ayant fait sienne l’attitude que dénonçait saint Grégoire de Nazianze au IVe siècle : « Nous servons le siècle et les exigences de la foule ». Ce constat semble d’une grande actualité. On ne sache pas que les supermarchés soient astreints à ne pas recevoir plus de vingt personnes à la fois. Quant à la question des sacrements ils semblent plus être considérés comme des rites sociaux de la communauté chrétienne que comme les canaux ordinaires de la grâce. La légèreté avec laquelle a été suspendue la célébration de plusieurs sacrements (messe, baptême, et mariage) invite d’ailleurs à se demander si nos évêques pensent vraiment que la réception des sacrements est nécessaire au salut.
Tout ceci fut prophétisé à La Salette. Et quand le Comte de Chambord reçut Maximin Giraud, son secrétaire le Comte de Vansay, était préssnt. Plusieurs annèes après, il fera une confidence à un haut prélat, évqpoue ou rachevêque, ayant ses entrèes au sein d’une grand Famille Française : ce prélat aurait dit à une Duchesse que la Royauté aurait été rétablie un jour en France grace à la Religion et la Société.
Le Religion pourrait faire allusion à un clergé revenu de son modernism et de son libéralisme.
La Société pourrait faire allusoion à la Noblesse Française.
Plaise à Dieu que Sa volonté soit faite rapidement à prèent. Parce que, côté République, il semble ne plus avoir rien à attendre au niveau religieux…
UN DERNIER POUR LA ROUTE !
Qui croit encore ce qu’enseignait le catéchisme de Saint Pie X : « Les sacrements les plus nécessaires pour notre salut sont le baptême et la pénitence : le baptême est nécessaire à tous absolument et la pénitence est nécessaire à tous ceux qui ont péché mortellement » ? Que signifient ces enterrements sans messe et sans assistance ? Mais qui croit encore à la valeur de la célébration de la messe pour hâter l’accès des âmes au paradis ? Tout cela est terrifiant. Le simple laïc du bout du banc a la douloureuse impression que les réalités surnaturelles sont escamotées au bénéfice de considération purement naturelles pour ne pas dire naturalistes. Des prêtres sont dénoncés par leur évêque aux autorités civiles lorsqu’ils continuent à recevoir des fidèles dans leur église ou se déplacent de maison en maison pour célébrer la messe. Une messe confinée à saint André de l’Europe, à Paris, est interrompue par des policiers en armes. Des communautés religieuses féminines refusent qu’un prêtre vienne leur célébrer la messe. Des prêtres disent quelques mots de compassion à des familles réduites, esseulées et en larmes dans des églises désertes devant un cercueil, sans fleurs ni couronnes certes mais aussi sans office liturgique digne de ce nom. Rupture civilisationnelle majeure que ces morts et ces enterrements solitaires, sous le gouvernement de la peur.
Voilà où nous en sommes alors que nos ancêtres risquaient la mort pour assister à la messe de bons prêtres lors de la Révolution et que les supermarchés sont ouverts…
LE ROI… VITE !
La police intervient armée dans une église : pourquoi ? il y avait des terroristes ? non, c’est dans les mosquées que les terroristes se recrutent, pas dans les églises !
Il me souvient d’autre part que les églises sont des lieux d’ASILES où les policiers n’ont pas le droit d’entrer : autrefois, même un assassin pouvait y avoir accès en criant « Asile » « Asile » et il pouvait y retrouver la paix, mais il n’avait pas le droit d’en sortir sinon, la police pouvait le « cueillir » à la sortie !
Maintenant c’est l’inverse : ce sont les policiers qui ont le droit d’y entrer – en armes s’il vous plait – et les fidèles qui sont priés d’en sortir !!!
Toujours cette INVERSION DIABOLIQUE puisqu’aujourd’hui, le bien est devenu le mal et le mal est devenu le bien ! Là est bel et bien visible, la griffe de Satan !!!
Amitiés à tous.
Pour que vous preniez tous la mesure de l’imposture macronienne (Castaner n’étant que « La Voix de son Maître ») en la matière, nous vous conseillons la lecture de ceci : https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2020/04/25/christophe-castaner-et-laurent-nunez-se-couchent/
Bonjour chers amis,
Il faut savoir qu’une ordonnance royale a abolie la quarantaine, autre nom du confinement, le 18 août 1847 parce que cette méthode était considérée comme inutile ! Vous pourrez lire cette information dans l’extrait du journal d’Hygiène numéro 128 qui est recopié en l’état dans cet article.
Dieu vous garde !