0 thoughts on “Urgence. Cela recommence. Un incendie à la cathédrale de Nantes.

  1. Charte de Fontevrault

    L’incendie ne « semble pas pouvoir être comparé » à celui de 1972
    Pour la maire de Nantes Johanna Rolland, l’incendie de la cathédrale « ne semble pas pouvoir être comparé » à celui de 1972. « Je voudrais souligner que suite à l’incendie de 1972 la toiture a été refaite en armature béton », a précisé de son côté le directeur départemental des pompiers, le général Laurent Ferlay lors d’un point presse. Le 28 janvier 1972, le toit de la cathédrale gothique avait été ravagé par les flammes. Cette fois-ci, aucun des trois départs de feu ne concerne la toiture.

    https://www.bfmtv.com/societe/en-direct-incendie-a-la-cathedrale-de-nantes_LN-202007180039.html

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  2. Charte de Fontevrault

    Selon Laurent Delpire, conservateur des Antiquités et objets d’art de Loire-Atlantique, les objets suivants ont été touchés : l’orgue et le buffet d’orgue du XVIIe siècle, un tableau d’Hippolyte Flandrin du XIXe, une partie des stalles du chœur qui étaient récentes et les vitraux de la façade, dont une partie était des vestiges de vitraux du XVIe siècle, le reste étant moderne.

    https://www.lindependant.fr/2020/07/18/incendie-de-la-cathedrale-de-nantes-le-grand-orgue-du-xviie-siecle-entierement-detruit-8984850.php

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    1. Louis Chiren

      LA VIERGE A L’ENFANT

      Cette œuvre inspirée par une statue gothique admirée dans la cathédrale primatiale Saint-Étienne de Sens, est un hommage à cette période remarquable que fut celle des bâtisseurs qui à la suite des abbayes, édifieront ces vaisseaux de prière à la gloire de Dieu que nous pouvons encore admirer.

      Elle a été réalisée sur deux jours les 18 et 19 juillet 2020. Le dix-huit juillet, nous apprenions qu’au même moment un incendie était en cours à la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Nantes.

      Le 18 juillet 962 avait lieu l’inauguration de la chapelle dédiée à Saint-Michel archange sur le rocher d’Aiguilhe au Puy-en-Velay. Le 19 juillet 64 avait lieu le grand incendie de Rome sous le règne de Néron. La ville brûlera six jours et sept nuits faisant des milliers de victimes.

      Dans la nuit du 18 au 19 juillet 1830, à la veille de la fête de Saint Vincent de Paul, sœur Catherine Labouré ayant exprimé le désir de voir la Sainte Vierge, sera exaucée. Un enfant d’une grande beauté tout de blanc vêtu, lumineux, la mènera à la chapelle d’où la Mère du Ciel la préparera à sa grande mission. La médaille miraculeuse est une apparition toujours d’actualité pour notre temps. Il est dit du roi caché, qu’il la porte à son cou. Les lettres de la Très Sainte Vierge Marie ainsi que les siennes, sont inscrites sur le revers de la médaille. Qu’en ces temps de grandes souffrances, la miséricorde divine nous accompagne vers le salut de la France.

      Hommage aux bâtisseurs
      Amoureux de leur temps
      Que guident les heures
      Aux lueurs du printemps

      Les moines à la prière
      Veillant au couvent
      Aux tailleurs de pierre
      Le souffle du vent

      S’élèvent les murs de taille
      Livre saint illustré
      Des chevaliers en mailles
      S’y trouvent représentés

      Des scènes bibliques
      Aux formes extraordinaires
      Habillent les triptyques
      Et jubés ordinaires

      Retables florissants
      Poutre en gloire chêne vert
      Le calme des gisants
      Vous n’êtes que poussière

      Au loin le chant du coq
      S’activent les charpentiers
      Les corbeaux d’un seul bloc
      Visage de l’argentier

      À la croisée d’ogives
      Dort la clé de voûte
      À l’âme contemplative
      Une note qu’elle goûte

      Mais la belle des lieux
      Est bien notre Sainte Mère
      Beauté digne des Cieux
      Pour l’âme qui espère

      https://louischiren6.wixsite.com/peintreetpoete/la-vierge-%C3%A0-l-enfant

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  3. Pingback: Louis Chiren offre aux royalistes : “La Vierge à l’enfant” | La Charte de Fontevrault

  4. Louis Chiren

    AFP, publié le dimanche 26 juillet 2020 à 07h03

    « Une semaine après l’incendie dans la cathédrale de Nantes, un bénévole du diocèse est passé aux aveux et a été placé en détention provisoire dans la nuit de samedi à dimanche pour « destructions et dégradations par incendie ».

    « Mon client a coopéré », a affirmé au quotidien Presse-Océan l’avocat du mis en examen, Me Quentin Chabert. « Il regrette amèrement les faits et évoquer cela a été pour lui une libération. Mon client est aujourd’hui rongé par le remords et dépassé par l’ampleur qu’ont pris les événements », assure-t-il.

    L »homme « a reconnu, lors de l’interrogatoire de première comparution devant le juge d’instruction, avoir allumé les trois feux dans la cathédrale: sur le grand orgue, le petit orgue et dans un panneau électrique », a précisé le procureur de la République de Nantes Pierre Sennès au quotidien.

    Cet homme de 39 ans, qui était chargé de fermer la cathédrale la veille de l’incendie, a été mis en examen « des chefs de destructions et dégradations par incendie et placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention », a indiqué dans un communiqué le procureur.

    Le recteur de la cathédrale de Nantes, le père Hubert Champenois, avait expliqué la semaine dernière que le bénévole était un « Rwandais, venu se réfugier en France il y a quelques années ».

    Selon le recteur, le bénévole est « servant d’autel » et il le connaissait « depuis quatre ou cinq ans ». « J’ai confiance en lui comme en tous les collaborateurs », avait-il expliqué à l’AFP.

    Le bénévole avait été placé en garde à vue le 18 juillet quelques heures après l’incendie et l’ouverture de l’enquête, puis remis en liberté le lendemain soir. Les enquêteurs souhaitaient l’interroger car après l’incendie aucune trace d’effraction n’avait été constatée sur les accès à l’édifice dans lequel trois points de départ de feu avaient été constatés.

    Dans le cadre de cette enquête, « plus de trente personnes » ont été entendues et une vingtaine d’enquêteurs de la police judiciaire ont été mobilisés, avec notamment le renfort du laboratoire central de la préfecture de police de Paris, afin de déterminer la cause de l’incendie, selon le procureur.

    Le bénévole a été de nouveau interpellé et placé en garde à vue samedi matin, puis présenté dans la soirée au parquet de Nantes, qui a ouvert une information judiciaire, avant d’être mis en examen et placé en détention provisoire.

    Il encourt pour cette infraction « une peine de 10 ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende », a précisé Pierre Sennés dans un courriel envoyé dans la nuit ».

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