« Ces décisions-là ne sont pas soumises à des votes populaires, ni même à des ratifications parlementaires, sauf exception. Elles ne se prennent pas en une fois, mais au fil d’une succession de circonstances où il s’agit de créer un comité, d’accepter ses conclusions, de demander un rapport, de fixer un calendrier et des échéances lointaines à confirmer entre-temps, etc., etc. Faut-il s’en offusquer, déplorer le « déficit démocratique » – expression qui enrichira, si l’on peut dire, la langue de bois au moment de Maastricht ? Il n’y a pas de réponse univoque à cette question.
Mais n’ayons pas peur des mots : depuis l’origine (le Pool Charbon-Acier de 1951), la construction européenne a été une démarche volontariste et élitiste par excellence. Certes, le traité de Rome a été présenté à l’Assemblée nationale française et adopté le 24 juillet 1957 par 340 voix contre 236 ; en mai 1972 Georges Pompidou a consulté les Français par référendum sur l’élargissement à la Grande-Bretagne, avec succès, malgré 40 % d’abstentions; en 1979 et 1984, les élections au Parlement européen au suffrage universel ont été plutôt dominées par la politique intérieure. Mais toutes les décisions majeures ont été prises par de petits groupes de dirigeants, voire d’hommes et de femmes d’influence. L’Europe des années 1980 est le pur produit d’une forme moderne de despotisme éclairé ».
(Hubert Védrine, Les Mondes de François Mitterrand. À l’Elysée 1981-1995. Fayard, 1996, p. 298).
Toute ressemblance avec un récent plan de relance européen violant allègrement tous les traités ne serait bien entendu pas fortuite.
Le Schtroumpf du roi in forum de discussion royaliste Vexilla regis
À chaque génération d’inventer son combat. Je suis d’une génération qui, au début des années 80, avait 20 ans et fut confrontée aux luttes de libération nationale par rapport au communisme. J’ai fait partie de l’une des dernières classes qui ont été engagées dans les évènements du Bicentenaire. Je me suis marié en 1993 alors que Didier Barbelivien chantait Les mariés de Vendée https://www.youtube.com/watch?v=z8HJKrvzpsg . Puis, j’ai inventé mon combat. On m’a recruté à la Charte de Fontevrault en 1991 et parachuté Président sans aucun mérite : c’est le moment de rendre ce qui m’a été donné gartuitement. Et pour moi, aujourd’hui, le combat digne d’être mené, c’est celui qui vise à maintenir le modèle Royaliste, un modèle Catholique et Français, à l’échelle nationale, mais aussi européenne et mondiale. La démocratie ne trouve guère son compte dans le fonctionnement des institutions européennes actuelles.
J’ai fait partie de l’une des dernières classes qui ont été engagées dans les évènements du Bicentenaire. J’étai avec Jean Raspail Place de la Concorde. Je me suis marié en 1993 alors que Didier Barbelivien chantait Les mariés de Vendée https://www.youtube.com/watch?v=z8HJKrvzpsg . Puis, j’ai inventé mon combat. On m’a recruté dans une associaition Royaliste de poremier ordre et parachuté Président sans aucun mérite : c’est le moment de rendre ce qui m’a été donné gartuitement. Et pour moi, aujourd’hui, le combat digne d’être mené, c’est celui qui vise à maintenir le modèle Royaliste, un modèle Catholique et Français, à l’échelle nationale, mais aussi européenne et mondiale. La démocratie ne trouve guère son compte dans le fonctionnement des institutions européennes actuelles. Il est temps de sortir d’une gouvernance par opinion pour retrouver un mode de gouvernement par autorité.
Aussi, le Royalisme, pour ses partisans, consiste avant tout en une ambition pour la France : la volonté de redonner au pays la position hégémonique qu’elle a eue jusqu’au début du siècle passé comme Fille Aîde l’Eglise et Educatrice des Peuples, de retrouver un Monarque apte à enclencher de grands projets, celle aussi de sortir du jeu des partis et de la politique à court terme qui caractérise, pour les Royalistes, l’exercice du pouvoir des hommes politiques de la république. Le royalisme se pose pour certains comme une opposition au nouvel ordre mondial par le renforcement de l’État face aux institutions supranationales qui empiètent sur les libertés fondamentales des peuples. Ainsi la Monarchie qwui apporte continuité, rassemlement et rabitrage est à leurs yeux plus « démocratique » que la république dans le sens où elle défend l’indépendance et l’autordétermination des peuples.
Dieu vous garde Monsieur Volto
Combien tout ce que vous dites est juste . On sent que cela part du coeur et pour moi le coeur est au dessus de tout au dessus le la science au dessus de la culture . Il n’y a pas d’énergie plus forte que l’Amour seul capable de faire bouger les montagnes . Le Royalisme c’est pour le bien de tous sans distinction aucune comme notre Père veut le bien de tous . Et c’est bien ce qu’il nous demande l’Amour
Merci pour vos compliments, Mme Lacour. C’est bien que vous soyez Déléguée de la Charte de Fontevrault pour l’Anjou : il fallait une personnes ur place, à deux pas de l’abbaye Royale !
Il est temps de sortir d’une gouvernance par opinion pour retrouver un mode de gouvernement par autorité. Et on ne peut le faire que dans l’Amour. Comme vous dite, chère Mme Lacour, la Royauté part de l’Amour : l’Amour d’un Monarque pour son peuple et l’Amour d’un peuple pour son Monarque, ce qu’on voit bien dans les pays d’Europe encore en Monarchie !
A mon tour de vous remercier. Mais Monsieur Texier m’a peut-être vue avec des lunettes grossissantes sur mes capacités . Je ferai en tout cas tout ce que je pourrai pour la Charte et le message qu’elle véhicule qui me tient à coeur
Quant à ce que vous dites sur les monarchies actuelles aimées de leur peuple c’est vrai surtout dans les pays du nord . j’ai un ami Hollandais qui est subjugué par sa reine . Il achète tous les journaux où on parle d’elle
Dommage que l’Italie n’en veuille pas encore que je ne suis pas sûre que la famille actuelle de Savoie fasse l’unanimité . Il faudra que je pose la question à mon ex mari qui vit là-bas