Cher Alain, pour s’en convaincre il suffit de fréquenter quelques officines aristocratiques telles l’Institut de la Maison de Bourbon ou quelques ordres chevaleresques bien connus qui gravitent autour…
Ce que le général Vendéen Joly pensait de l’aristocratie :
On raconte que le général Vendéen Jean-Baptiste Joly n’avait qu’un seul défaut : c’était de n’aimer ni les nobles, ni les prêtres :
« Ils avaient, disait-il, par la dépravation de leurs mœurs et leur indifférence pour la chose publique, amené la Révolution. »
Etait-ce un défaut ? Je dirais que c’était un homme clairvoyant et de ce fait, il détestait Charette et ses « amazones ».
Quant aux prêtres, il suffit de consulter les procès-verbaux établis par la police du Roi Louis XV constatant leur présence dans les lieux de débauches Parisiens.
Une infime partie de ces procès-verbaux nous est parvenue. Sans compter les religieux qui ne se sont pas fait prendre dans les filets du Roy, la débauche du clergé ne date pas de Vatican II.
Nous découvrons des prêtres du diocèse d’Angers, le chanoine de Saint Denis de Doué-La-Fontaine, François Cotelle, Monsieur l’abbé Louis Barré chapelain de Nantilly à Saumur etc…
On ne lit pas sans risque ces procès verbaux, je le déconseille aux âmes sensibles et non préparées.
Cher Alain, pour s’en convaincre il suffit de fréquenter quelques officines aristocratiques telles l’Institut de la Maison de Bourbon ou quelques ordres chevaleresques bien connus qui gravitent autour…
Ce que le général Vendéen Joly pensait de l’aristocratie :
On raconte que le général Vendéen Jean-Baptiste Joly n’avait qu’un seul défaut : c’était de n’aimer ni les nobles, ni les prêtres :
« Ils avaient, disait-il, par la dépravation de leurs mœurs et leur indifférence pour la chose publique, amené la Révolution. »
Etait-ce un défaut ? Je dirais que c’était un homme clairvoyant et de ce fait, il détestait Charette et ses « amazones ».
Quant aux prêtres, il suffit de consulter les procès-verbaux établis par la police du Roi Louis XV constatant leur présence dans les lieux de débauches Parisiens.
Une infime partie de ces procès-verbaux nous est parvenue. Sans compter les religieux qui ne se sont pas fait prendre dans les filets du Roy, la débauche du clergé ne date pas de Vatican II.
Nous découvrons des prêtres du diocèse d’Angers, le chanoine de Saint Denis de Doué-La-Fontaine, François Cotelle, Monsieur l’abbé Louis Barré chapelain de Nantilly à Saumur etc…
On ne lit pas sans risque ces procès verbaux, je le déconseille aux âmes sensibles et non préparées.
La Bergère de la Salette a prophérisé que le Grand Monarque relèvera la France par la Religion et la Société.
Que celui qui a des oreilles, entende…