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RIVAROL ne peut pas plaire à tout le monde. – Charte de Fontevrault et Royalisme providentialiste
C’est déjà fait. C’est sans doute pour cela qu’ils se portent si mal ! Alors enfonçons davantage encore le clou dans le cercueil du consumérisme mondialiste.
Dans son éditorial 3529, Jérôme Bourbon revient sur la disparition de trois journaux nationalistes sur les quatre visés par la conspiration de StreetPress. Et de citer l’AF2000, Minute et Présent. Et il en cite d’autres qui ont fondu les plombs avant ceux-là. Mais il ne nous pose pas la question du désintérêt des lecteurs.
Ayant participé un peu à certains numéros de l’AF2000 après l’ère Pujo, je peux affirmer que lorsqu’il suffit de lire le titre d’un article et ses deux premières lignes pour savoir déjà tout le contenu, il y a peu de chances que le lecteur rachète ce journal.
Les articles intéressants étaient écrits par des spécialistes en politique internationale, sinon dans la critique littéraire. Ceux qui labouraient le sillon de la doctrine AF ne se lisaient pas : thèse, antithèse, le roi ! Quel ennui.
S’est rajoutée à la désaffection du lectorat la crise de la presse papier qui a renchéri les coûts de fabrication. Ne parlons pas du prix exorbitant d’un canard de seulement 16 pages au format tabloïd paraissant tous les quinze jours, dont toujours en retard sur l’actualité, sans reportages sur le vif, ni dossier de fond faute d’espace, et qui en plus en mangeait un bon quart en iconographie, faute de rédactionnel.
Dans la presse royaliste, deux titres ont émergé largement au-dessus du niveau “militant de base”, qui sont morts eux-aussi, La Nation Française et Les Epées. Même la qualité ne suffit pas s’il n’y a pas de capital auquel s’adosser.
Donc de l’argent et de la pub ! Une révolution !!!
Je suis abonnée à Rivarol depuis bien longtemps, à peu près une trentaine d’années. J’apprécie beaucoup ce journal parce qu’il contient des articles de fond qu’on ne trouve pas ailleurs ; bien sûr, il faut prendre le temps de le lire : articles souvent sur double page en caractères pas très gros et sur des sujets politiques, historiques ou religieux qui demandent une attention soutenue ! hé quoi ! il faut tout de même se dérouiller les neurones de temps à temps ! ce n’est certes pas un journal pour “midinettes” !
Pas mal de salopards, chantres de la “liberté d’expression” !!! à sens unique bien sûr, font tout et le reste pour le ruiner et le faire disparaître. J’espère que le journal va survivre.
Tenez, quand il y a eu les attentats de Charlie Hebdo, j’ai tout de suite dit: “Si les salopards avaient tué des journalistes de “Minute” (qui existait encore à l’époque) ou de “Rivarol”; les “chers confrères” par anti-phrase s’en seraient réjouis et personne n’aurait défilé au cri de “Je suis Minute” ou “Je suis Rivarol” !
Amitiés à tous.
Le prix à payer pour les Français : un risque de coupures électriques et de rationnement, la perte de l’autosuffisance et la nécessité d’importer, l’explosion de la facture énergétique.
C’est ce que ces bons journaux de droite tentaient de elurs expliquer : çà gène et c’est pour çà qu’ils veulent les fermer.
L’hécatombe des journaux de la droite nationale est bien antérieure aux articles munichois qu’on lit aujourd’hui dans des fanzines qui appuient “l’opération spéciale russe”.
Malgré le nucléaire, nous sommes dépendants de l’énergie étrangère depuis très longtemps sinon toujours. En cas de crise, on rationne comme lors de l’affaire de Suez ou du premier choc pétrolier.
Ce ne sont pas les opinions exprimées dans des feuilles confidentielles qui sont en cause, mais le concept et la structure des entreprises de presse qui sont en défaut ; à moins qu’il ne s’agisse de la loi de l’Evolution qui abat les médiats obsolètes.
Ne tombons pas dans l’illusion que nos publications seraient au centre de l’intérêt de la police de la pensée.
Les tirages sont étiques.
Collaborateur de ce journal, j’appelle au boycott des magasins de la marque Carrefour.
Franck Peyrot
C’est déjà fait. C’est sans doute pour cela qu’ils se portent si mal ! Alors enfonçons davantage encore le clou dans le cercueil du consumérisme mondialiste.
D’accord avec la couverture.
Il va y avoir du sport à la rentrée.
Dans son éditorial 3529, Jérôme Bourbon revient sur la disparition de trois journaux nationalistes sur les quatre visés par la conspiration de StreetPress. Et de citer l’AF2000, Minute et Présent. Et il en cite d’autres qui ont fondu les plombs avant ceux-là. Mais il ne nous pose pas la question du désintérêt des lecteurs.
Ayant participé un peu à certains numéros de l’AF2000 après l’ère Pujo, je peux affirmer que lorsqu’il suffit de lire le titre d’un article et ses deux premières lignes pour savoir déjà tout le contenu, il y a peu de chances que le lecteur rachète ce journal.
Les articles intéressants étaient écrits par des spécialistes en politique internationale, sinon dans la critique littéraire. Ceux qui labouraient le sillon de la doctrine AF ne se lisaient pas : thèse, antithèse, le roi ! Quel ennui.
S’est rajoutée à la désaffection du lectorat la crise de la presse papier qui a renchéri les coûts de fabrication. Ne parlons pas du prix exorbitant d’un canard de seulement 16 pages au format tabloïd paraissant tous les quinze jours, dont toujours en retard sur l’actualité, sans reportages sur le vif, ni dossier de fond faute d’espace, et qui en plus en mangeait un bon quart en iconographie, faute de rédactionnel.
Dans la presse royaliste, deux titres ont émergé largement au-dessus du niveau “militant de base”, qui sont morts eux-aussi, La Nation Française et Les Epées. Même la qualité ne suffit pas s’il n’y a pas de capital auquel s’adosser.
Donc de l’argent et de la pub ! Une révolution !!!
Merci à Carrefour
Je suis abonnée à Rivarol depuis bien longtemps, à peu près une trentaine d’années. J’apprécie beaucoup ce journal parce qu’il contient des articles de fond qu’on ne trouve pas ailleurs ; bien sûr, il faut prendre le temps de le lire : articles souvent sur double page en caractères pas très gros et sur des sujets politiques, historiques ou religieux qui demandent une attention soutenue ! hé quoi ! il faut tout de même se dérouiller les neurones de temps à temps ! ce n’est certes pas un journal pour “midinettes” !
Pas mal de salopards, chantres de la “liberté d’expression” !!! à sens unique bien sûr, font tout et le reste pour le ruiner et le faire disparaître. J’espère que le journal va survivre.
Tenez, quand il y a eu les attentats de Charlie Hebdo, j’ai tout de suite dit: “Si les salopards avaient tué des journalistes de “Minute” (qui existait encore à l’époque) ou de “Rivarol”; les “chers confrères” par anti-phrase s’en seraient réjouis et personne n’aurait défilé au cri de “Je suis Minute” ou “Je suis Rivarol” !
Amitiés à tous.
Le prix à payer pour les Français : un risque de coupures électriques et de rationnement, la perte de l’autosuffisance et la nécessité d’importer, l’explosion de la facture énergétique.
C’est ce que ces bons journaux de droite tentaient de elurs expliquer : çà gène et c’est pour çà qu’ils veulent les fermer.
L’hécatombe des journaux de la droite nationale est bien antérieure aux articles munichois qu’on lit aujourd’hui dans des fanzines qui appuient “l’opération spéciale russe”.
Malgré le nucléaire, nous sommes dépendants de l’énergie étrangère depuis très longtemps sinon toujours. En cas de crise, on rationne comme lors de l’affaire de Suez ou du premier choc pétrolier.
Ce ne sont pas les opinions exprimées dans des feuilles confidentielles qui sont en cause, mais le concept et la structure des entreprises de presse qui sont en défaut ; à moins qu’il ne s’agisse de la loi de l’Evolution qui abat les médiats obsolètes.
Ne tombons pas dans l’illusion que nos publications seraient au centre de l’intérêt de la police de la pensée.
Les tirages sont étiques.