NDLRB. Mise en ligne de ce texte déjà ancien ( Voeux 2022) mais qui me parait n’avoir rien perdu de son acuité.
J’en profite pour ajouter ce « trois fois rien » au sujet de cet « l’Haut-micron » de l’Élysée, ce grand qui est aussi petit, cet élevé qui est bas aussi, selon la lecture « décomposée » de pleine actualité qui est à faire de son patronyme.
Qui ne peut voir qu’on a là, ainsi décomposé, un oxymore qui fait penser à la prophétie de Daniel 2 (celle de la statue représentant la succession temporelle des royaumes de la terre) où, fort logiquement, au sommet de cette ripou-blique collaborationniste avec l’occupant matérialiste et idolâtre du monde qui va bientôt vaciller, son chef porte lui-même « en modèle réduit » les caractéristiques à la fois « fortes et faibles » de ce paradigme mondialisé et mondialiste, fondée sur le déni de la généreuse présence de Dieu aussi bien dans le monde que dans chacune de nos vies. cf Daniel 2.-42 : « Et comme les doigts des pieds étaient en partie de fer et en partie d’argile, ce royaume sera en partie fort et en partie fragile.
Justement, au sujet de « la pierre détachée sans aucune main d’homme » qui va briser ce paradigme et toute la statue évoquée en Daniel 2 au verset 34, il devient d’actualité de savoir que le mot pierre, en hébreux « éven », est formé des lettres qui servent à écrire respectivement le mot père « av » et le mot fils « ben ».
Cette pierre là qui va balayer cet abominable paradigme matérialiste et idolâtre correspondra donc à une « union du père et du fils »… A comprendre évidemment à plusieurs niveaux de lecture…
Certes, au sens chrétien évidemment mais pas seulement…
Ainsi, cette pierre peut-elle être identifiée à partir des initiales des deux mots dont elle est l’union, soit AB, avec le A de « père » et le B de « fils », car il faut bien que le plan de Dieu s’incarne dans un être de chair et de sang.
Nous savons cela, nous royalistes providentialistes qui attendons le retour du roi, qui attendons l’avènement de ce dernier roi de France que Dieu a choisi parmi la branche cachée…
D’ailleurs, pour avoir la confirmation qu’il est permis de voir dans cette pierre des initiales AB à associer à la personne de ce dernier roi, il n’est que de constater que ces deux premières lettres de l’alphabet latin dans le bon ordre symbolisent parfaitement la tâche de « remise en ordre » que vient accomplir ce dernier roi de France en réaction à tout ce qui a été mis à l’envers et inversé par ce paradigme societal où l’homme est structurellement sacrifié, débilité, exploité, asservi, fait esclave sur l’autel de dévorantes idoles dont l’argent est la plus impitoyable et la plus destructrice d’entre elles, au point de constater – pour achever la démonstration – qu’en France la personne qui, à ce titre, est l’inverse absolu du dernier roi de France a, très significativement, pour initiales inversées B A, en la personne de Bernard Arnaud, 1ere fortune de France et parmi les toutes premières mondiales, une fortune en outre très significativement construite sur l’apparence, le luxe, tout ce qui sert précisément à éblouir et à masquer l’œuvre du malin !
J’ose encore cet autre « trois fois rien » au sujet de l’importance de cette année 2022 au regard de clefs de lecture juives, si précieuses pour comprendre « la geste » du roi.
Il me faut donc signaler que cette année 2022 doit être appréhendée en guématrie – où le zéro n’est pas pris en compte – comme équivalant à 222. Or, au terme de cette approche traditionnellement utilisée dans le judaïsme pour accéder au sens le plus profond des textes, des occurrences rencontrées… – une approche basée sur le fait qu’à chaque lettre de l’alphabet hébreux correspond une valeur numérique – 222 correspond, pour ce qui nous intéresse ici, à la valeur numérique du mot « béror » qui signifie premier né, tel que l’était Esav avant que cette qualité, aussi appelé droit d’aînesse, ne lui soit rachetée par son frère Jacob contre un plat de lentilles (mot formé des trois lettres : beth, Kaf et Resh qui valent respectivement 2, 20 et 200 et totalisent donc 222).
Or, dans la foi juive tout béror, tout premier né, est nécessairement consacré à Dieu ; il lui appartient, il est consacré « à l’Un »…
Cette année 2022 est donc l’année du béror :
– l’année de ce « consacré à Dieu », tel que nous le dit donc son prénom en français où l’on retrouve (tiens-donc) la première des initiales à associer à ce dernier roi de France, évoquée plus haut,
l’année de ce « premier né » entre tous qu’est le roi aux yeux de Dieu pour guider le peuple vers son Salut,
l’année de ce premier né, par opposition à cet « Haut-micron » de l’Élysée » dont notre gouverneur nous a montré(1) à quel point sa présence au sommet de l’État annonçait en filigrane l’avènement prochain de ce dernier roi de France dont le locataire de l’Élysée n’est que le double/la doublure, de sorte que grâce à cette nouvelle clef de lecture, on peut comprendre que le roi est son aîné en tant que premier né de ce « duo ».
J’avais déjà dit à certains d’entre vous qu’en considérant qu’Emmanuel Macron – né un 50ème jour de son année juive, le 11 tevet 5738 – n’est que le double/la doublure de ce dernier roi de France choisi par Dieu, on pouvait aisément comprendre, au regard de clefs de lecture juives, que le roi – dont on vérifie donc cette année qu’il est bien son aîné en tant que « béror », premier né (réparant en quelque sorte le fait que Jacob ne soit pas né beror) – est nécessairement né quant à lui le 100ème jour de son année juive de naissance (le double de 50), soit un 20 heshvan (qui est toujours le 50ème jour de l’année juive).
Je vous avais alors expliqué que, passant en revue les années antérieures à 1977, on tombait 10 ans plus tôt « disant ! » sur une date effectivement très parlante celle du 23 novembre 1967, 20 heshvan 5728, 50ème jour de cette année juive ayant commencé cette année là le 4 octobre 1967 au soir.
Or, comment ne pas voir que cette date ne peut que correspondre à la date de naissance de ce dernier roi de France choisi par Dieu, nous révélant par là que la branche cachée dont il descend est issue de la lignée des rois Valois, bien qu’elle soit officiellement éteinte avec la mort du roi Henri III en 1589, assassiné en pleine guerres de religions par le moine ultra catholique Clément.
On peut en effet l’affirmer avec certitude sur la base de cette loi spirituelle qui veut que toute faute ait à être réparée, une loi magnifiquement illustrée dans notre foi chrétienne par la sainte Vierge Marie dont il est dit qu’en enfantant le Christ, elle a réparé le péché d’Ève.
C’est pourquoi, pour que soit perpétuée la dynastie Valois en ce dernier roi de France, il fallait nécessairement que soit réparé l’assassinat de celui qui est l’origine de ses dernières ramifications, que soit donc réparé l’assassinat du duc Louis d’Orléans, le frère du roi fou Charles VII (1368-1422), un assassinat sans lequel il est vraisemblable que le honteux traité de Troyes du 21 mai 1420 qui organisait la disparation programmée de la royauté française n’aurait jamais vu le jour et qui, pour être contrecarré fut à l’origine de l’épopée de Jeanne d’Arc (en qui, comme vous le savez, certains auteurs ont vu la fille adultérine du dudit duc d’Orléans et de la reine de France, Isabeau de Bavière, l’épouse de son frère (cf. les articles à ce titre de notre gouverneur dans le blog de la triple donation https://jeannetripledonation.forumactif.com)
Le duc Louis d’Orléans d’où sont issus les six derniers rois des deux dernières ramifications Valois ayant été assassiné le 23 novembre 1407, il fallait donc que son descendant appelé à être le dernier roi de France soit quant à lui né un 23 novembre, de sorte qui ce qui avait été voué à la mort renaisse ce jour là !
Nous avons une autre preuve de la pertinence de cette date du 23 novembre pour date de naissance du dernier roi de France. En effet, cette date est au calendrier celle de la saint Clément (elle l’était déjà sous l’ancien régime) et il fallait donc semblablement, au terme de cette logique réparatrice illustrée par la sainte vierge, que ce nom de Clément sous lequel la mort était venue frapper Henri III, le dernier roi Valois à avoir régné, se soit trouvé réparé au point d’être à l’origine de la vie de ce dernier roi de France, expliquant sa naissance, le 23 novembre 1967, ce qui le fait âgé de 54 ans en cette année 2022.
On voit donc que cette date de naissance du dernier roi de France ne doit rien au hasard mais qu’elle est en profonde résonance avec sa lignée et sa mission. Dans l’ouvrage du marquis de la Franquerie consacré à Marie Julie Jahenny, on trouve page 58 cet extrait d’une extase des 12 mai et 29 novembre 1881 où elle parle du « Sauveur de la France […] choisi dés sa naissance pour ramener en France le Lys et le drapeau blanc »
En réalité, en dépit de l’apparente omerta sur le sujet, c’est enfoncer une porte ouverte que d’affirmer que ce dernier roi de France, annoncé par tant de prophéties constamment réitérées au fil de l’histoire de France, est un Valois !
En effet, son illustre ancêtre, François 1er qui savait évidemment que sortirait de son sang le Grand Monarque, venant en précurseur au retour du Christ en Roi de Gloire s’était, délibérément fait représenter en peinture en saint Jean Baptiste, le précurseur historique du Christ (sans qu’existe aucun précédent de ce type), non sans, en outre, prendre bien soin de faire figurer au premier plan de ce tableau, et en hauteur un perroquet dont on sait la propension à répéter… cf copie jointe.
De même, François 1er avait demandé au même peintre de grand talent, François Clouet, de le représenter dans l’un de ses plus célèbres portraits avec à sa gauche, le visage stylisé de son descendant, ce dernier roi de France et Grand Monarque qui transparait aisément dans le motif de la draperie qui sert de fond à ce tableau.
La dernière fois que j’ai vu ces deux tableaux au musée du Louvre, juste avant le confinement, ils étaient réunis d’une manière très singulière mais de toute évidence remarquablement signifiante, dans une sorte de soucca, de cabane au toit surbaissé qui ne manquait pas de faire penser à ces cabanes sous lesquelles les juifs ont l’obligation de vivre lors de la fête de Souccot, en début d’année !
Ainsi peut-on constater avec ces quelques illustrations à quel point ce dernier roi de France choisi par Dieu est par lui-même – par les caractéristiques qui le constitue intimement tenant à sa lignée, à son identité, à sa date de naissance, à ses initiales et à tout se qui sera ultérieurement dévoilé, n’en doutons pas… – le porteur d’un choc disruptif majeur en capacité d’ébranler les fondements matérialistes de ce paradigme idolâtre dont le ripou-blique est en France le zélé relais collaborationniste.
Rendons ainsi grâce à Dieu qui « s’abaisse » de la sorte, par miséricorde – au travers la personne même de ce dernier roi de France – à parler le langage si dramatiquement réduit par lequel ce monde matérialiste répute n’avoir d’existence que ce qui est mesurable, calculable vérifiable.
Ainsi, Dieu offre t’il aux hommes de bonne volonté la possibilité de passer au crible d’une analyse probabiliste ces données parfaitement cohérentes, convergentes et faisant remarquablement sens tenant à la personne du roi (et qui seront largement complétées lorsque le roi se dévoilera) car ces données établiront ainsi scientifiquement qu’est infinitésimale la probabilité que soit due au hasard leur agrégation si remarquablement signifiante sur la personne de ce dernier roi de France.
Ainsi, tout en satisfaisant aux critères scientifiques contemporains de la vérité pour désigner Son roi aux yeux de nos contemporains, Dieu respectera également le libre arbitre de ceux qui préféreront demeurer dans le déni aussi bien de Sa présence au monde que de la présence au monde de ce dernier roi de France et Grand Monarque dont l’avènement est proche.
Je me pose une question : sera-t-il écrit qu’au service de l’avènement du roi, il ne se sera pas trouvé au sein de la charte de Fontevrault assez de dévoués serviteurs à la cause du roi, assez de bonnes volontés – ne serait-ce que par leur entregent – pour faire en sorte que de tels calculs de probabilités commencent à être effectués afin de confondre avec ses propres outils ce monde matérialiste et idolâtre, ennemi de l’homme et ennemi de Dieu.
C’est le sens de l’appel que j’adresse, si tu le veux bien, chère Marie Agnès à notre président et à notre gouverneur à qui j’adresse copie de ce mail.
Quant à ceux – y compris parmi nous – qui verraient d’un mauvais œil le recours à ces clefs de lecture juives, je réponds d’une part qu’ils ont oublié que ce dernier roi de France est le continuateur de la royauté Davidique au point pour certains qu’il est même le descendant du roi David (cf. le Marquis de la franquerie sur l’ascendance davidique de la royauté française).
D’autre part, « l’erreur » providentielle contenue dans ces vœux au regard du calendrier juif me permet judicieusement de souligner qu’en cette année 2022, il pourrait être tout spécialement opportun de conjuguer clefs de lectures chrétiennes et clefs de lecture juives pour faire progresser notre cause au service du roi, au service de la France et du monde.
En effet, le 1er janvier de cette année, a eu lieu le 28 tevet 5782 du calendrier juif, soit le 117éme jour de cette année là. Or, c’est un quantum dont j’observe qu’il est semblable à celui de la 117éme et dernière supplique en date pour le retour du roi qui a eu lieu à Pontmain le 17 décembre dernier, organisée par notre gouverneur Chouandecoeur (hommage lui soit rendu). Or, n’est ce pas là avec l’entrée dans cette année 2022 la promesse propitiatoire, opérative, d’une heureuse synchronisation des approches juives et chrétiennes au sujet de l’avènement de ce dernier roi de France choisi par Dieu et donné au monde pour le Salut de toutes et de tous…?
Qu’ajouter si ce n’est rappeler cet extrait du livre des Proverbes : « La gloire de Dieu, c’est d’agir de façon cachée. La gloire des rois, c’est de découvrir ce que Dieu a caché. » Proverbes 25:2
Alain Beauregard, délégué de la charte à l’interprétation des temps et des lieux à venir
(1) https://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/2017/06/19/les-etranges-rapports-entre-le-president-macron-et-le-grand-monarque-reflexions-de-francois-xavier-pachot/?wref=tp