2 thoughts on “Parlement. Parler et Mentir. les apparentements terribles.”
Chouandecoeur
Les Parlementaires ou les Parlementeurs ?
J’avais il y a quelques temps écrit un petit commentaire là-dessus. Le voici :
Les noms ont un sens !
Vous faites confiance aux parlementaires ?
Hélas, hélas, c’est peine perdue…
Rien que le nom de cet organisme d’état, PARLEMENT, est dans son essence formé de L’IMPERATIF des deux verbes parler et mentir !
C’est subliminal, et très efficace : Dès qu’une personne aussi honnête soit-elle, pénètre cette assemblée, la transformation est immédiate et irrémédiable. Il existe dans cette enceinte des ondes qui détraquent l’âme, l’esprit et les meilleures intentions.
Ne dit-on pas que l’Enfer est pavé de bonnes intentions ?
Le Parlement, lui, en est pavé des meilleures !
Marie-Julie Jahenny n’appelle-t-elle pas (encore un nom) le Parlement : la Salle d’Enfer … ?
Si vous regardez le Catéchisme illustré par Gustave Doré, à la page de l’Enfer, vous verrez au-dessus de Lucifer une horloge dont les deux aiguilles sont arrêtées sur le nombre 12, avec les deux mots TOUJOURS / JAMAIS.
A l’horloge de l’Enfer, chaque tic-tac des « instants de l’éternité » de la peine des damnés, leur est rappelé par les deux mots : « Toujours, Jamais ! » (Toujours y sera ; Jamais n’en sortira !).
A l’horloge de la ci-devant Assemblé Nationale, les valeurs démocratiques sont rappelées à chaque instant aux députés par les deux impératifs : Parle, Ment ! Parle, Ment ! …
Y a-t-il un agenda caché du G7 dans l’affaire d’Ukraine ? Quand en 1975 Valéry Giscard d’Estaing a inventé ce format convivial (alors G6) en dehors des chancelleries diplomatiques, c’était pour que les chefs d’Etat se disent des choses sans abonder aux conclusions documentées obtenues des rapports officiels. Ils pouvaient dériver de la ligne officielle, nuancer des positions par leurs sentiments intimes et se dire l’indicible au coin du feu. Les causeries de Rambouillet furent le lieu propice à des consensus qui n’apparurent pas dans les communiqués finaux. Toutes les réunions, sauf peut-être celle de Taormina avec le Grand Eructateur Trump, permirent de caler une position commune sur les soucis du temps. Mais cela, seuls les participants au premier cercle pouvaient le confirmer. Si l’agenda caché existe, le seul vrai problème pour le G7 est d’avoir des interlocuteurs crédibles à Moscou : Poutine, Medvedev et Lavrov sont-ils prêts à négocier raisonnablement ou comprendront-ils que cette proposition d’arrangement est une faiblesse occidentale dont il faut profiter en faisant monter les enchères. Et on aimerait savoir ce que nos parlementaires en pensent…
Les Parlementaires ou les Parlementeurs ?
J’avais il y a quelques temps écrit un petit commentaire là-dessus. Le voici :
Les noms ont un sens !
Vous faites confiance aux parlementaires ?
Hélas, hélas, c’est peine perdue…
Rien que le nom de cet organisme d’état, PARLEMENT, est dans son essence formé de L’IMPERATIF des deux verbes parler et mentir !
C’est subliminal, et très efficace : Dès qu’une personne aussi honnête soit-elle, pénètre cette assemblée, la transformation est immédiate et irrémédiable. Il existe dans cette enceinte des ondes qui détraquent l’âme, l’esprit et les meilleures intentions.
Ne dit-on pas que l’Enfer est pavé de bonnes intentions ?
Le Parlement, lui, en est pavé des meilleures !
Marie-Julie Jahenny n’appelle-t-elle pas (encore un nom) le Parlement : la Salle d’Enfer … ?
Si vous regardez le Catéchisme illustré par Gustave Doré, à la page de l’Enfer, vous verrez au-dessus de Lucifer une horloge dont les deux aiguilles sont arrêtées sur le nombre 12, avec les deux mots TOUJOURS / JAMAIS.
A l’horloge de l’Enfer, chaque tic-tac des « instants de l’éternité » de la peine des damnés, leur est rappelé par les deux mots : « Toujours, Jamais ! » (Toujours y sera ; Jamais n’en sortira !).
A l’horloge de la ci-devant Assemblé Nationale, les valeurs démocratiques sont rappelées à chaque instant aux députés par les deux impératifs : Parle, Ment ! Parle, Ment ! …
Chouandecoeur
Y a-t-il un agenda caché du G7 dans l’affaire d’Ukraine ? Quand en 1975 Valéry Giscard d’Estaing a inventé ce format convivial (alors G6) en dehors des chancelleries diplomatiques, c’était pour que les chefs d’Etat se disent des choses sans abonder aux conclusions documentées obtenues des rapports officiels. Ils pouvaient dériver de la ligne officielle, nuancer des positions par leurs sentiments intimes et se dire l’indicible au coin du feu. Les causeries de Rambouillet furent le lieu propice à des consensus qui n’apparurent pas dans les communiqués finaux. Toutes les réunions, sauf peut-être celle de Taormina avec le Grand Eructateur Trump, permirent de caler une position commune sur les soucis du temps. Mais cela, seuls les participants au premier cercle pouvaient le confirmer. Si l’agenda caché existe, le seul vrai problème pour le G7 est d’avoir des interlocuteurs crédibles à Moscou : Poutine, Medvedev et Lavrov sont-ils prêts à négocier raisonnablement ou comprendront-ils que cette proposition d’arrangement est une faiblesse occidentale dont il faut profiter en faisant monter les enchères. Et on aimerait savoir ce que nos parlementaires en pensent…