Art 49-3 de Constitution de 1958. La marche à l’abîme est enclenchée.

4 thoughts on “Art 49-3 de Constitution de 1958. La marche à l’abîme est enclenchée.”

1. Hervé J. VOLTO 18 mars 2023 at 18h11

   Pour François Asselineau, il faut : la censure pour Borne (Art.49.3) et la destitution pour Macron (Art.68)
   

   Pour votre serviteur, il faut diretement mettre fin à la Régence Républicaine…

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2. Hervé J. VOLTO 18 mars 2023 at 18h19

   Que la Motion de Censure soit ou votée, Emmanuel Macron restera

   Inutile de destituer, de renverser ou au pire d’assassiner la personne du Régent Présidentiel QUI A ETE REELU DEMOCRATIQUEMENT : il faut DEFINITIVEMENT mettre fin à la Régence Républicaine…
   
   (quand à nous, nous sommes les ultras de cette hypothèse de travail…)

   C’EST CA OU LA GUERRE CIVILE !

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3. Conseil dans l'Espérance du Roi 19 mars 2023 at 11h24

   Nous avons eu maintes fois l’occasion de dire ce que nous pensions de l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, en 2017 puis en 2022 : « SI MACRON EST ELU… C’EST CINQ ANS (DIX ANS MAINTENANT) DE FOUTUS. » Mais c’était sans compter avec les béquilles que Les Républicains offrent désormais à la démarche chaotique de celui-ci ainsi qu’ils l’ont montré au cours des discussions parlementaires sur la réforme des retraites.
   Pourtant, ne vous y trompez pas, il n’y a là aucun intérêt porté au sort de nos compatriotes mais, comme ils en ont l’habitude, la seule recherche de la satisfaction de leurs intérêts : éviter une dissolution de l’Assemblée nationale qui leur serait fatale et, en prime, quelques maroquins bien cirés !
   Heureusement, toutes ces petites magouilles finiront très mal pour eux… et c’est tant mieux si nous voulons mettre un terme à l’effondrement de notre pays.

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4. Conseil dans l'Espérance du Roi 22 mars 2023 at 10h04

   Comme beaucoup de ses contemporains, Emmanuel Macron ne sait rien de notre histoire. Car, après les conséquences de la désastreuse gestion de la réforme des retraites au Parlement, il a osé ceci devant les députés de son camp :  » La foule qui manifeste n’a pas de légitimité face au peuple qui s’exprime à travers ses élus ». Ajoutant que « L’émeute ne l’emporte pas sur les représentants du peuple » ! Que dire alors des Tricoteuses et autres Enragés ?
   Mais que dire aussi de 1789 et de ce qui suivit contre la légitimité du roi sacré à Reims ? Et que dire enfin de l’exécution de celui-ci décidée par des hordes révolutionnaires aujourd’hui vénérées ?

   Autres temps, autres moeurs sans doute…

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