Ne l’avions nous pas dit ? https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2023/04/14/14-avril-2023-conseil-constitutionnel-et-reforme-des-retraites-peux-til-sortir-quelque-chose-de-bon-dune-institution-republicaine/
Alain TEXIER. Diplômé d’Etudes Approfondies de Systémes et Sructures Politiques.
Oui, les Français l’ont encore eu -je vous passe la chute un peu crue- et l’affaire de la réforme n’est pas terminée : la belle syndicaliste au coeur de pierre a promis « un I° Mai de feu ».
On aurait pourtant pu éviter que la réforme passa :
1. L’ACTION FRANCAISE s’était prononcée CONTRE cette réforme
https://www.actionfrancaise.net/2023/01/18/non-a-la-loi-sur-lallongement-du-temps-de-travail/
2. Florian Philipoet François Asselineau avaient demandé le recour à l’article 68 pour destituer Emmanuel Macron.
Nous Royalistes, nous aurion pu demander
A. Le recour à l’article 68 pour destituer Emmanuel Macron, comme demnadé par Philippo et Asselineau.
B. Un référendum sur les institutions -République ou Marchie- sur le modèle de l’Alliance Royale qui prévoit une Monarchie sur le modèle de la V° République, le Roi Très Chrétien ayant les pouvoirs de l’actuel Président de la République.
Si la République fut maintenue, nous aurions demandé de nouvelles élections présidentielles : nous soutiendrons le ou la Régent(e) qui se rapprochera le plus de nos Dix axes Royalistes : identitaires, SOUVERAINSITES, concervateurs, ruraux…
C. La dissolution de l’Assemblée dite nationale après les nouvelles élections présidentielles.
D. Un référendum sur l’immigration et un sur le FREXIT.
E. L’usage de l’Article 16 pour légiférer sur l’abolition de la Loi de Séparation de l’Eglise et de l’Etat, l’immigration, la crise énergétique, le conflit en Ukraine et la renégociations des traités européens.
NOUS N’AVONS PAS ETE ECOUTE : le CER avait avertit depuis longtemmps qu’avec Emmaneul Macron, c’était 5 ans de foutu mais la NUPES, de peur de perdre ses sièges au Parlement -il ne serait resté que le dernier carré mélanchoniste- a refusé l’empèchement d’Emmanuel Macron par l’article 68. La droite molle, de peut de voir le RN doubler ses parlemantaires à la Chambre Basse et Reconquète y entrer en force, ont hésité… même si les Fillonistes auraient rejoint le RN et Reconquète sur l’idée de l’Empèchement présidentiel.
Même en aditionant l’aile droite des LR, le RN, Reconquète, le mouvement concervateur, le parti de France, le Centre National des Indépendants et Paysants, Via – la Voix du Peuple, le mouvement pour la ruralité, Debout la France et les patriotes, le recours à l’Article 68 auarit été limitite.
3. Mélanchon, traitre à sa famille et à sa patrie, savait que le Président réélu aurait porté aen avant sona genda et aurait fait passé une réforme des retraites car elle faisait parti de son programme : pourquoi avoir travaillé à ce qu’il soit réélu ? pour éviter de prendre des bombes de Vladimir et des boutons avec Marine ? d’accord… mais alors pourquoi faire semblant de découvrir que Macron aurait fait passé sa réforme et vouloir bloquer le Pays ?! Paris est deveneu une décharge publique à ciel ouvert ! Mélanchon et la cohalition NUPES nous prennent-ils pour ce que les Corses appelleraient -avec raison- des cons-tinantaux ?!
Les beaufs qui ne sont préoccuppés que par leur verre de pastis, leurs RTT et les 4 sous qui leur reste quand l’Etat proxénète leur tout ponctionné, qui ont réélu Emmanuel Macron « pour faire barrage à l’Etrême Droâââte » ont-ils senti la douleur ?
Je le reperais ici : le départ de Macron satisferait bien sûr l’immense majorité des Français. Mais ce ne serait qu’un pis-aller. C’est avec la Régence Républicaine qu’il faut en finir. ET LE PLUS TOT POSSIBLE. C’est une exigence de salut public.
On verra le I° mai s’ils ont sentit la douleur et qu’ils se ressaisirons ou si, remplit d’amertume -cette fois-ci ce n’est plus la faute à Marie-Antoinette !- ils vont s’entéter comme des bourrins.
Que l’oligarchie ait vu, très tôt, en Emmanuel Macron, petit bourgeois de province arriviste, TRADER d’une banque d’agffaire ambitieux, égocentré mais sans colonne vertébrale, l’homme de paille idéal pour appliquer son agenda et sa politique indifférente, voire hostile aux peuples n’explique pas tout : il fallait que le Régent Présidentiel eu l’énergie du dsepoir ou la folie furieuse de porter en avant de façon déterminé un agenda assumé.
Ceux qui croient qu’ils vont le plier -après l’avoir réélu démocratiquement !- se mettent le doigt dans l’oeil.
En attendant, c’est Emmanuel Macron qui plie le Conseil Constitutionnel et le peuple bruyant.
Ai Ai Ai : çà fait mal !
Hérvé,
je ne comprends pas trop le sens de ton commentaire.
Pourquoi « plie le Conseil constitutionnel »
On peut voir dans la décision du Conseil constitutionnel un acte de soumission de son président envers le président de la République. Certains disent même que la loi aurait été publiée nuitamment, à la va-vite. Je crois hélas que la réalité est bien plus prosaïque et qu’il s’agit d’un travail de bonne collaboration entre membres de la haute fonction publique à savoir :
Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée
Jean Maïa, conseiller d’État secrétaire général du Conseil constitutionnel
Claire Landais, conseillère d’État, secrétaire générale du Gouvernement
Le texte de la décision a dû à mon avis faire quelques navettes bien avant la publication et être validé à tous les niveaux avant sa publication OFFICIELLE le 14 avril. La loi purgée des modifications souhaitées par le Conseil et approuvées par l’Élysée devait être prête à la publication au SGG sans doute plusieurs jours avant la date du 14 avril. En clair, M. Macron ne s’est pas levé la nuit pour promulguer cette loi puisque le dossier a été tiré au cordeau par des technocrates qui se connaissent très bien…
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000035445369
https://www.conseil-constitutionnel.fr/decision/2017/2017139ORGA.htm
https://www.conseil-constitutionnel.fr/publications/titre-vii/auteur-jean-maia
https://lannuaire.service-public.fr/gouvernement/070f6bea-c361-48c5-9a9a-e8e6b8eacd4d
Merci, Cher Monsieur,
de cette analyse nourrie des meilleures sources constitutionnelles qui ne nous empêchera peut être pas de penser que cette promulgation expresse était une nouvelle provocation du Président qui aurait pût être évitée.