Chacun des deux ouvrages écrits par Alain Texier , et présentés ci-dessous, peut vous être expédié conte la somme de 12 € adressé par chêque à l’ordre et à l’adresse d’Alain Texier ; 64 rue du Mas-Loubier ; 87100 LIMOGES
Si commande des deux ouvrages , le prix est ramené à 20 €
Précisions si nécessaire auprès d‘altexier1@orange.fr.
Il se trouve que je suis diplomé en desssin publicitaire. Nous avions des cours d’Héraldique (Pensons aux aux étiquettes de bouteilles de vin !). j’ai été publicitaire en France avant de devenir officier de sècurité en Italie. Mais c’était avant d’avoir un ordinateur. BREF, Un des grands spécialistes de graphisme publicitaire SUR ORDINATEUR et… d’héraldique est bien Gérard de Villèle, membre de la Cahrte de Fontevraut, de l’Alliance Royal et du Conseil dans l’Espérence du Roi
En général l’Héraldique est ensiegné dans les matières d’histoire de l’art.
Comme l’a dit Conseil dans l’espérence du Roi dans un autre article
la maison de La Rochefoucauld comporte effectivement de nombreuses branches mais l’enrichissement des blasons ne correspond qu’à autant de BRISURES de cadets. Les aînés portent et ont toujours porté les armoiries originelles
https://europeanheraldry.org/france/families/maison-de-la-rochefoucauld/
Les Larochefoucaud d’Estissac actuels portent le blason de Louis François Armand de La Rochefoucauld de Roye (1695-1783)
Écartelé : aux 1 et 4, de gueules à la bande d’argent (de Roye) ; au 2, d’or au lion d’azur armé et lampassé de gueules (de Roucy) ; sur le tout, burelé d’argent et d’azur à trois chevrons de gueules brochant, le premier écimé (La Rochefoucauld).
https://it.m.wikipedia.org/wiki/File:Blason_Louis_Fran%C3%A7ois_Armand_de_La_Rochefoucauld_de_Roye_%281695-1783%29.svg
Il n’y a aucune confusion entre :
Le site de noblesse et royauté pour ce qui concerne l’héraldique est très interessant
http://www.heraldique.org/
le lien internet de l’Héraldique européenne (http://www.heraldique.org/)
Et c’est vrai que nous trouverons facilement mieux ne serait-ce que sur “La Charte de Fontevrault” !!!
Quand à Alain Texier, il est l’un des spécialistes de droit patrimonial (outre que d’être spécilaiste de droit constitonnel) et le droit nobiliare fait parti du droit patrimonial.
Ce livre ets dodn à lire, pour tout ceux qui s’interesse aux questions de Noblesse, de titres de Noblesse, et de Chevalerie.
Le second m’était inconnu.
Méfiez-vous pourtant de l’artiste évoqué dans l’article du Figaro. S’il ne jouissait pas de son entregent au sein de quelques familles aristocratiques qui n’ont « rien appris et tout oublié », ce n’est pas son talent ni ses connaissances historiques ou même héraldiques qui nous feraient changer d’avis. Souvenez-vous, par exemple, de cette erreur grossière que nous avions relevée en 2017 dans les pages du blogue du CER et de sa correction :
Puisque nous en sommes à parler d’héraldique, peut-être pourriez-vous tous m’éclairer sur un point : dans ses conjectures sur la généalogie du Grand Monarque, M. Volto parle souvent d’un duché d’Albon de la Croix qui ferait partie – entre autres – de sa titulature, duché qui proviendrait du mariage en 1371 de Louis II de Bourbon et d’Anne de Forez, dauphine d’Auvergne (hypothèse selon laquelle le futur Roi descendrait de Robert de Clermont fils de Saint Louis, de Louis II de Bourbon son arrière-petit-fils, et du Connétable de Bourbon, leur descendant direct). Il parle également d’un blason – de sable à une croix d’or -, d’une devise – A cruce victoria – qui sont effectivement de la famille lyonnaise d’Albon, anoblie en 1288 et dont le dernier descendant masculin, le marquis d’Albon, est mort en 2015.
Mais il semble qu’il y ait confusion entre cette famille et la Maison d’Albon, ou Guigonides, grande famille féodale du comté de Vienne, dont les armes sont un dauphin et qui passèrent à la monarchie française en 1349 lors de la vente du Dauphiné par le dernier des Guigonides, Humbert II. Cette confusion me semble provenir de deux éléments :
-D’une part, le mariage de 1371 entre Louis II de Bourbon et Anne d’Auvergne, fille de Béraud II d’Auvergne et petite-fille (par sa mère Jeanne de Forez) de Guigues VII d’Albon (qui n’a rien à voir avec la famille lyonnaise). Elle a transmis à son époux le comté de Forez mais n’a certainement pas pu transmettre un blason et une devise qui ne lui appartenaient pas.
-D’autre part, l’écartèlement de ce blason à la croix d’or avec le dauphin des Guigonides (devenu donc celui de l’héritier du trône de France), très tardif, par les lettres patentes du 11 juillet 1820 qui firent marquis le chef de la famille d’Albon lyonnaise.
Il semble donc qu’on ait rattaché un peu hâtivement la famille d’Albon lyonnaise à la maison d’Albon guigonide qui, aux XIVe-XVe siècle, s’agrégea par mariage successifs aux Bourbon, aux Beaujeu, etc… Peut-être fallait-il s’assurer de la fidélité d’une famille qui avait obtenu la baronnie d’Empire en 1814.
Or rien ne prouve une quelconque filiation entre les deux, hormis un acte passé à Lyon en 1297, qui, semble-t-il, ne prouve pas grand-chose (voir dans l’article Wikipédia « Maison d’Albon », qui vaut ce qu’il vaut…). Par la suite les deux généalogies ne se croisent plus. Gustave Rivoire de la Bâtie rejette cette filiation dans son Armorial du Dauphiné en 1867, Gustave Chaix d’Est-Ange la défend en 1903 dans son Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables, mais avec un « Tout laisse à penser que… » tellement vague qu’on se dit qu’il n’a pas dû chercher beaucoup… Du reste, peut-on se fier à lui, qui a repris les armes d’une famille Chaix sisteronaise sans trop se préoccuper de la véracité de sa propre filiation ?
Bien à vous tous,
Voici un intervenant qui porte bien son pseudonyme! (NNDLR. « Dubitatif ») Quoi qu’il en soit, pour répondre avec prudence à ses questions, je dirai :
1/ que je ne m’aventurerai certainement pas sur le terrain glissant largement emprunté par notre ami Volto à propos d’un prétendu « Grand Monarque »;
2/ il est en tout cas probable qu’il y a dans tout cela une confusion entre deux lignages d’origines différentes (confusion parfois même entretenue sous couvert de la similitude des patronymes – d’autres exemples existent -). Du reste, les capétiens, jusqu’au XVIII ème siècle, n’ont jamais admis le lien supposé entre les deux familles;
3/ l’aspect héraldique des choses en est d’ailleurs sans doute la preuve.
Sachant que les d’Albon du Lyonnais sont désormais éteints dans les mâles (jusqu’à ce que l’on nous ressorte un rejeton caché comme pour les Bourbon !), laissons aux descendants éventuels des Guigonides tous leurs mystères en matière prophétique !