La légendaire épée « médiévale », plantée dans la roche à Rocamadour (Lot) depuis plusieurs siècles à une dizaine de mètres de haut, aurait été subtilisée ces derniers jours. Une enquête est en cours.
Quelqu’un a cru être un preux chevalier, (NDLRB. Sic) mais ce vol attriste toute une population. Le célèbre sanctuaire marial de Rocamadour (Lot) a été la victime du vol d’un de ses plus précieux joyau : la mythique épée du chevalier Roland, baptisée Durandal. Ce méfait aurait eu lieu dans la nuit du 21 au 22 juin, 2024 selon les premières constations.
A QUI PROFITE LE CRIME ? En d’autres termes, ce vol est particulièrement symbolique alors que la France se dresse une fois encore contre les envahisseurs musulmans, comme le firent Charlemagne et ses preux en 778 face à l’émirat de Cordoue. Roland, préfet de la marche de Bretagne y perdit la vie mais son épée, Durandal, aurait été miraculeusement sauvée. C’est d’elle dont il s’agit ici. A qui donc peut profiter ce crime ? Il ne faut certainement pas chercher bien loin…
Echo récupéré chez Linkedin.
Charles-Emmanuel de Bourbon-ParmeCharles-Emmanuel de Bourbon-Parme
Prince de France
Durandal, l’épée du chevalier Roland, le neveu de Charlemagne, encastrée dans un rocher depuis des centaines d’années et attachée à une chaîne a disparu de Rocamadour, la cité médiévale du Lot. Pourtant inaccessible, les malfaisants se sont chargés de la faire disparaître enlevant ce témoignage concret de l’affrontement guerrier livré contre les sarrasins à Roncevaux.
Si cette bataille s’avère une défaite avec la destruction de l’arrière-garde de l’armée des Francs, le 15 août 778, en revanche, elle entraînera la suivante qui entame le début de la reconquête de l’Espagne, à l’exception de Saragosse, qui commencera par Barcelone et Gérone.
La légende attribuerait l’épée à Hector de Troie, une autre lui attribue l’invulnérabilité qui l’empêche de se briser, une autre encore stipule qu’elle a été donnée à Charlemagne par un ange…
Cette triste disparition marque une fois de plus la déculturation de la France dans sa dimension historique de traditions et légendes qui ne sont plus enseignées dans les écoles d’une république partisane inféodée aux haineux de la France et des Français ou à ceux qui ne l’aiment pas. Cette indifférence à la suppression d’un témoignage vivant de notre histoire nous démontre que ces nuisibles malsains veulent nous ôter toute référence à notre héritage commun.
La chanson de geste de Roland de Roncevaux, un des plus vieux poèmes des héros Français du moyen-âge qui est attesté au moment de la conquête de l’Angleterre en 1066, raconte une épopée médiévale qui enracine notre identité, notre culture et narre nos fières coutumes épiques. Cette disparition est plus qu’un vol, c’est une atteinte à la France éternelle, à nos valeurs, à notre histoire. Notre patrimoine inestimable par sa célèbre valeur historique ou légendaire, doit être protégé et sauvegardé… Une fois encore, nous pouvons constater la désinvolture offensante des autorités incompétentes et des médias partisans qui ont caché cette disparition.
HEUREUX DE PARTAGER CETTE ANALYSE AVEC LE PRINCE CHARLES EMMANUEL DE BOURBON PARME.
Un vol aux yeux enténébrés du monde… à moins que, dans une symbolique et une dynamique heureusement propitiatoire, ne se soit emparé de l’épée Durandal – tel le jeune Arthur du mythe de la table ronde(1) – celui qui mérite d’être ce dernier roi de France annoncé par tant de prophéties au cours de notre histoire ; celui qui marche avec le Seigneur et dont le Seigneur prépare et jalonne le prochain avènement, ayant même pour cela récemment dépêché l’un de ses anges pour aveugler « le double inversé »(2) de ce Grand Monarque, actuellement à la tête de l’État (cf. ce que notre Gouverneur a naguère écrit au sujet de cette inversion) et provoquer cette dissolution qui occupe l’actualité, préfiguration d’autres dissolutions à venir, à commencer par celle de la république, le paravent institutionnel de cet abominable ordre impie, matérialiste et idolâtre, aussi bien ennemi de l’Homme qu’ennemi de Dieu.
Mais, qui donc est encore capable de voir là l’expression de la sagesse et de l’humour de notre Dieu, à qui Il a donc plu de confier cette épée d’un combattant de l’arrière garde (Roland) à cet héritier de la couronne de France que quasiment plus personne n’attend, pour le porter, au contraire, aux avant-postes, dans une symbolique et une dynamique lui promettant une victoire aussi improbable que celle du jeune David contre le géant Goliath – lui l’héritier de la royauté davidique – grâce à des moyens précisément non conventionnels, dont ce commentaire est aussi une illustration…
Semblablement, qui s’il avait les yeux dessillés serait-il étonné que cet exploit ait été accompli sous la bénédiction de la Vierge noire de Rocamadour, celle là même justement préposée aux enfantements d’une autre nature, en un jour « culminant », celui du solstice d’été… au point d’annoncer l’irrésistible et prochain avènement de ce dernier roi de France…
En effet, le calendrier lui-même témoigne précisément avec éclat de « l’enlèvement mystique de l’épée Durandal » au terme d’une lecture symbolique, puisque du martyr du roi Louis XVI, le 21 janvier 1793 à l’enlèvement mystique de cette épée, le 21 juin 2024 il s’est écoulé très exactement 2777 mois(3), soit une trinité de 7 – marque de perfection de notre Dieu (pour faire simple) – venue faire advenir ce 2, placé en tête – auquel Il offre ainsi Son adossement – pour signifier « jour de mort mis en Nativité », et annoncer la renaissance de cette royauté française, incarnée en la personne de ce dernier roi de France, qui « arrivera comme par miracle »(4).
Attention toutefois à ne pas y voir un lien de sang entre Louis XVI et ce dernier roi de France (comme cela fut malencontreusement fait avec l’interprétation de la tache de sang présente sur le suaire de Turin, issu de la 5ème plaie de la Passion du Christ, reçue à Son côté).
Car, ce n’est pas en vain que tant de prophéties ont parlé d’un dernier roi de France issu d’une branche cachée de la royauté française que Dieu révélera le moment venu ! Il s’agit, en effet, d’un roi qui – parce qu’il est digne de clore la lignée de tant de ses pères qui ont régné sur la France (« le plus grand et le dernier de tous les rois »(5)) – vient conjointement, en précurseur, introduire à un profond renouvellement aussi bien des temps à l’échelle de l’histoire du Salut que de notre représentation de la réalité, en vue de son ré-enchantement, tel que l’esquissent ces quelques lignes, tellement éloignées du culte effréné de l’idole hasard, ennemi de toute transcendance, défendu par tant de commissaires politiques – aussi bien affidés, qu’improvisés – de cette ripou-blique dont les jours sont désormais comptés.
C’est donc une très bonne et très grande nouvelle, survenant au moment exactement opportun, que cet « enlèvement mystique de l’épée Durandal » du roc où elle était fichée à Rocamadour, au regard de la lecture symbolique qu’elle autorise ; une très bonne et très grande nouvelle, a fortiori pour nous autres, royalistes providentialistes ; une très bonne et très grande nouvelle annonciatrice de l’adoubement conférée par le Seigneur à ce dernier roi de France auquel, en tout premier lieu, cette épée est très certainement destinée car un dernier roi de France dont la « Présence au monde » sera bientôt manifestée à la faveur de la lecture symbolique qu’autorise cette propitiatoire terre d’exploits pour le Seigneur que sera prochainement le sol de France avec l’accueil des jeux olympiques…
Car, c’est un athlète de Dieu(6) ce dernier roi de France, porteur de l’esprit de saint Louis, son 23ème descendant en ligne directe par primogéniture mâle, issu de cette branche cachée de la royauté française, ainsi qu’il a également plu à Dieu de le révéler, par avance, au moyen du décompte précité (2+7+7+7=23), ainsi que tout cela sera bientôt mieux connu et compris…
Alain Beauregard
Délégué de la Charte à l’interprétation des temps et des lieux
(1) « À la mort d’Uther Pendragon, les chevaliers de la Table Ronde, furent incapables de désigner un successeur et résolurent de demander conseil à Merlin. Le magicien leur répondit que leur prochain roi serait celui qui parviendrait à tirer l’épée magique enfoncée dans le roc. De nombreux chevaliers s’y essayèrent en vain.
Des années plus tard, Arthur vint assister à son premier tournoi. Un chevalier désigné par Merlin pour veiller sur le jeune garçon y participait mais s’apercevant qu’il n’avait pas son épée, il chargea Arthur de lui en trouver une. Sans connaître la signification de l’épée dans le roc, Arthur s’en saisit et la remit au chevalier ébahi. C’est ainsi que fut désigné l’héritier d’Uther Pendragon ». Arthur Cotterell
(2) Qu’il prenne garde à ce que, semblablement à cette épée, retirée pour le mieux, du roc du sanctuaire marial de Rocamadour (Lot, département 46), au jour de solstice d’été, il ne soit pas – quant à lui qui est né au jour du solstice d’hiver – retiré de sa 46ème année, qu’il atteindrait 6 mois plus tard, « si moi… »
(3) Sur tableur : 231 ans et 5 mois = (231×12)+5 = 2777 mois
(4) Extrait de la prophétie dite de saint Rémi, rapportée au IXe siècle par Raban Maur (780-856), archevêque de Mayence : « Vers la fin des temps, un descendant des Rois de France régnera sur tout l’antique Empire romain. Il sera le plus grand des Rois de France et le dernier de sa Race. Il arrivera comme par miracle. Il sera de la vieille cape. Après un règne des plus glorieux, il ira à Jérusalem, sur le mont des Oliviers, déposer sa couronne et son sceptre, et c’est ainsi que finira le saint empire romain et chrétien. ».
(5) Rapporté au IVème siècle par saint Augustin (354-430) : « Quelques uns de nos docteurs disent qu’un roi franc possédera un jour l’empire romain dans toute son étendue. Ce roi viendra dans les derniers temps du monde ; il sera le plus grand et le dernier de tous les rois. Il rendra l’âme à Jérusalem, sur le mont des oliviers et immédiatement après l’Antechrist viendra. »
(6) Expression couramment utilisée, servant à désigner un saint dans l’Église chrétienne orthodoxe
Ce commentaire mérite bien de devenir un article sut le blog dela Charte, dans peu de temps. Merci de nous l’avoir fait parvenir.
Addendum : en note de bas de page 2, il fallait lire : (2) Qu’il prenne garde à ce que, semblablement à cette épée, retirée pour le mieux, du roc du sanctuaire marial de Rocamadour (Lot, département 46), au jour de solstice d’été, il ne soit pas – quant à lui, qui est né au jour du solstice d’hiver – retiré sans atteindre sa 47ème année, soit dans 6 mois, « si moi… »