JO 2024 de Paris: ce champ clos de la servitude volontaire.

    Merci de  son  envoi  au Délégué de la Charte à la rédaction des billets d’humeur
et d’actualité, MARTEL ( Christian Boineau)   
——–
         La représentation archétypale que constitue le sport sert de prisme
amplificateur permettant de révéler indirectement l’état d’acceptation de la société
civile qui sustente le dit sport promoteur de valeurs parfois inattendues. Grosso
mode et en plus clair, si les valeurs n’étaient pas partagées entre le sport et le
public , le sport    serait sans intérêt et n’aurait sans doute pas droit de cité. 
.
        L’absence de réaction et l’acceptation sociales traduisent la servitude
volontaire , conséquence directe du confortable renoncement occidental qui a
remplacé l’instinct vital traduit par la formule de Pierre de Coubertin : Citius, Altius,
Fortius. Vous rajouterez ‘Turpius’ ( Pire)  pour les JO 2024 de Paris.

 

Il est ici temps de rappeler que l’olympisme promeut l’égalité des chances et c’est pour la préserver qu’il existe des catégories de compétiteurs et la lutte anti-dopage. 

       Devant les situations affligeantes, profondément choquantes et hors de propos,  délivrées par ces JO de Paris, doit-on en déduire que le grand remplacement culturel, à force de narratifs incessants et de propagande, a globalement fonctionné ?

     Ce triste constat est pour le moins préoccupant. Il est vrai que les barricades dressées dans tout Paris, ont rendu absolument impossible à un spectateur présent d’avoir une réelle vue d’ensemble du spectacle, sauf à  regarder  les images des médias mainstream subventionnés. Les propriétaires de ces mêmes médias ont évidemment donné les habituelles consignes quant à l’orientation stricte  des prises de vue de manière à tromper le public.

     La Caste hégémonique s’est imposée dans toute sa laideur, affichant une propagande évidente, dont le but ultime est bien le grand remplacement de la culture, du mode de vie traditionnel et à terme des populations. Espérons que les français conservent encore, malgré les manipulations de masse, un libre esprit critique ! 

      Pour l’instauration de ce nouveau monde, paroxysme de la décadence, des femmes vont perdre le titre qu’elles mériteraient, si elles n’étaient pas confrontées à des hommes ayant changé opportunément de genre qui n’ont rien à faire dans une compétition féminine s’ils avaient un brin d’honneur et de respect, mais cela c’était le temps « d’avant » , celui de l’égalité des chances.

  Elles sont donc contraintes de prendre le risque de se voir massacrées, ou de perdre la vie, lors d’épreuves de sports de combats devenues totalement inégalitaires. 

    Avec ce pavé dans la marre, des élus oseront -ils encore parler de lutter contre le sexisme ? Sûrement si aucune réaction ne vient perturber leur imperméable indifférence. 

      Faudra-t-il que l’une d’elle meure en direct ( comme Tom SIMPSON dans le Ventoux qui libéra la lutte anti-dopage) à l’instar d’un scénario d’émission de télé réalité, pour qu’enfin quelques responsables s’insurgent contre ces ignominies dont on bourre le crâne de la jeunesse à son insu, le tout dans un climat de normalité béate savamment entretenu par les médias muselés par les subventions !

     L’esprit occidental est-il suffisamment accablé pour promouvoir sans opposition des populations exogènes , leurs valeurs , leurs mœurs , et pour tout dire l’impudente domination d’une minorité au genre déclaratif infiniment variable?
.
     Le redressement d’un homme, d’un pays, d’une civilisation est sans doute au prix de son épuisement, mais, il trouvera aussi sa source dans notre capacité de réaction ,d’inacceptation et dans notre besoin d’exister.

      Ces jeux par leurs outrances multiples auront-ils  le mérite de réveiller nombre de consciences avachies?  Voilà une douloureuse question. 

 

 

 

1 thought on “JO 2024 de Paris: ce champ clos de la servitude volontaire.

  1. Conseil dans l'Espérance du Roi

    Une douloureuse mais très subtile question qui vient hélas bien tard dans la spirale des oublis, des abandons et des lâchetés aboutissant, comme vous le dites justement, à la servitude volontaire de notre pays et de ses habitants. Mais une servitude “heureuse”, comme l’a décrite en son temps l’irremplaçable Philippe Muray au travers de son “Homo Festivus”. C’est l’antidote tant recherché par nos tyrans au réveil des peuples.

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