Grande pitié au Royaume de France – Situation financière de la république
La situation décrite mérite que l’on s’interroge sur le mot dette et que ceci nous conduise à une réflexion qui guide nos actions. Je vous propose donc quelques articles sur ce thème de la dette.
Alain GUILLON. Gouverneur en exercice de la Charte de Fontevrault.
Pour commencer voici un tableau à la date du 3 avril 2025
Quand j’ai des dettes, je sais à qui je dois de l’argent.
Pour la fRance, c’est différent : on annonce le montant sans jamais dire d’auprès de QUI il est dû. Ici comme à TF1. Cette attitude est ridicule, lâche, désolante.
Dette fait partie des mots forgés pour empêcher le quidam tout aussi bien que le royaliste de réfléchir. Jeune, cité, démocratie, crise, liberté, religion, expression, marché, santé, appartiennent aussi à cette catégorie.
Ce commentaire est fort juste. Quand on ne connait pas le nom du prêteur, il est impossible de le rembourser. C’est alors que ce dernier risque de se manifester et donc de se réveler.
Dans le cas présent il n’est question que du service de la dette donc des seuls intérêts. Le capital n’est jamais remboursé, c’est un prêt in fine. « In fine » et dont la date d’échéance n’éxiste pas. Dette à perpétuité que personne ne voudra ou ne pourra rembourser, ce qui représente un facheux risque pour le prêteur.. A moins que le dit prêteur ne disparaisse lui même, car un système financier quel qu’il soit est aussi potentiellement mortel, surtout à l’avénement de l’intelligence virtuelle.
Fâcheux pour le préteur ?
C’est au contraire avantageux.
Que je rembourse du capital, ou des intérêts, je connais toujours le bénéficiaire. En fRance, cette connaissance est interdite au bougnat. Une spoliation de plus.
Allez savoir, si on lui disait en faveur de qui la rép. le dépossède, ça ferait peut-être augmenter le risque de haine anti-je-sais-pas-quoi !