Voici mon communiqué personnel, en réponse à la déclaration faite aujourd’hui à Nova Gorica par don Luis Alfonso de Bourbon. Ce texte peut être librement cité et publié, à condition d’en indiquer l’auteur. Merci
Philippe DELORME
phidelorme@yahoo.fr
Ce 19 février 2017, Son Excellence don Luis Alfonso de Bourbon a visité le monastère slovène de Kostanjevica, où reposent Charles X, son fils le duc d’Angoulême, sa bru Marie-Thérèse de France, son petit-fils le comte de Chambord, la comtesse de Chambord et sa petite-fille Louise duchesse de Parme.
En cette occasion, il a lu une déclaration critiquant l’initiative de « nostalgiques » militant pour le retour à Saint-Denis des cendres de Charles X, du duc et de la duchesse d’Angoulême. Il pointait ainsi du doigt, sans la nommer, l’Association pour le Retour des Cendres des derniers Bourbons*, présidée par mon ami Nicolas Doyen, et dont je suis président d’honneur.
- http://www.leretourdecharlesx.fr/index.php
Voici un extrait de cette déclaration :
« La restauration de la royauté en France n’étant pas à l’ordre du jour, le retour des cendres ne peut l’être non plus puisque la monarchie est toujours dans une sorte d’exil. La question n’est donc pas actuelle et admettre le retour serait admettre la fin de l’espoir en une Restauration.
« […] Il ne me paraît pas souhaitable d’envisager actuellement un quelconque transfert d’un ou plusieurs cercueils reposant dans le couvent des Franciscains de Novo-Gorica [sic]. »
Je dois dire que j’étais été très surpris – et peiné – de cette prise de position. Surpris et aussi étonné car, il y a quinze ans, le 12 novembre 2002, lors d’un de ses rapides passages à Paris, le même don Luis Alfonso de Bourbon soutenait avec fermeté, et en des termes assez émouvants, une opinion diamétralement inverse :
« Fidèle en cela à mon père qui l’a toujours souhaité, je désire moi aussi le retour du corps de Charles X sur la bonne vieille terre de France. Ce que la France peut faire pour l’un de ses fils, dit De Gaulle, c’est lui offrir un peu de sa belle et bonne terre pour qu’il puisse y reposer. Ce n’est tout de même pas une idée extraordinaire, nous savons depuis Sophocle et Antigone que c’est la moindre des choses d’offrir une sépulture digne aux morts et nous ici nous savons que la place d’un fils de France est parmi ses pairs à Saint-Denis et nulle part ailleurs ».
Alors, la vérité se changerait-elle en erreur en franchissant les Alpes, comme jadis, selon Pascal, elle le faisait en passant les Pyrénées ?
Don Luis Alfonso, qui se présente volontiers comme le « chef » d’une hypothétique maison de Bourbon, se réserve le droit de statuer en dernier ressort sur l’opportunité d’une telle démarche.
En droit français, seuls les descendants directs d’un défunt peuvent décider du transfert de ses restes. Or, don Luis Alfonso, membre d’une branche non dynaste de la maison royale d’Espagne, cousin du roi Philippe VI, ne descend ni en ligne masculine, ni en ligne féminine, de Charles X.
Qui ne souhaiterait pas reposer sur le sol de sa patrie, c’est-à-dire, pour Charles X, sur « cette bonne vieille terre de France » que don Luis Alfonso évoquait justement dans son allocution de 2002 ?
Son père, don Alfonso de Bourbon duc de Cadix, n’a-t-il pas choisi d’être inhumé au monastère de las Descalzas Reales à Madrid ? Son grand-père – don Jaime duc de Séville – au panthéon des Infants de l’Escurial, près de son propre père, le roi Alphonse XIII ? Tous les trois, quoique décédés hors de cette Espagne qu’ils aimaient tant et qu’ils ont servi avec dévouement, ont tenu bien évidemment à revenir y reposer pour l’éternité.
En dehors de l’Etat français – et en premier lieu du Président de la République – c’est donc aux descendants des trois petites-filles du dernier roi de France, aux trois filles du duc de Berry – Charlotte comtesse d’Issoudun, Louise comtesse de Vierzon, et Louise duchesse de Parme – d’entreprendre une telle démarche. Et à eux seuls…
Soulignons que plus d’une cinquantaine de ces descendants soutiennent d’ores et déjà l’idée d’un retour des cendres de leur ancêtre.
Enfin, contrairement à ce qu’écrit don Luis Alfonso, des obsèques solennelles pour Charles X à Saint-Denis ne seraient en rien une cérémonie à connotation royaliste ou passéiste – encore moins un prélude à une fantasmatique Restauration ! –, mais un acte de piété familiale pour ses descendants, et de mémoire nationale pour tous les Français, quelle que soit leur sensibilité politique.
Philippe Delorme
Ces deux textes importants méritent deux observations :
- 1) Quand SAR Louis XX déclare que « La restauration de la royauté en France n’étant pas à l’ordre du jour » notre coeur saigne car si l’aîné visible des Bourbons ne croit pas en la restauration monarchique, pourquoi nous battons nous , nous ?
- 2) La photo ci-dessus à été légendée par Philippe Delorme lui-même « Grand Congrès International du mouvement Survivalo-providentialo-dinguiste… Les congressistes à l’écoute des consignes du Ciel ». L’on sait que Philippe Delorme n’a jamais fait mystère qu’il ne croyait pas à la thèse de la survivance s’agissant de Louis XVII et c’est d’ailleurs là un des poins d’encrage de ses recherches.
- https://www.youtube.com/watch?v=w8RGwpX_ahg
- http://louis17.chez.com
- http://phidelorme.wix.com/phd Dés lors, on comprend mal l’aura dont il dispose en tant que chercheur-spécialiste de l’affaire louis XVII car il affirme via la photo- qu’il a lui même mise en ligne reproduite ci-dessus- que les dés sont pipés et que Louis XVII n’a pas survécu à sa captivité. Et comme il le dit avec une une ironie méchante et bien peu scientifique que les royalistes survivantistes et les royalistes providentialistes apprécieront, certains se demanderont peut-être s’ils ne conviendrait pas, pour étudier les questions scientifiques afférent à l’éventuelle survie de Louis XVII, de faire appel à d’autres experts . Des experts qui n’auraient pas proclamé par avance ( voir la légende de la photo ci-dessus) que la survivance de Louis XVII était une plaisanterie émanant de « Survivalo-providentialo-dinguiste … « . Et voila comment ce malheureux Charles X, 187 ans après son renversement par qui vous savez , est toujours un instrument de chute pour certains.
Alain TEXIER. Président fondateur de la Charte de Fontevrault.
En réponse à l’observation n°1 présentée dans le post ci-dessus. Message de Stéphanie de Tournon reçue sur une page Facebook . Les arguments de Monseigneur sont simples . Monsieur Delorme n’a sans doute pas su ou voulu savoir lire la réponse de Louis de Bourbon à son initiative . Je remets là les arguments de Monseigneur Déclaration de Monseigneur le Prince Louis de Bourbon,
de jure Sa Majesté le Roi Louis XX,
au sujet de la sépulture du Roi Charles X.
J’ai souhaité solenniser le 180e anniversaire de la mort du Roi Charles X, mort à Gorizia, le 6 novembre 1836, en venant me recueillir sur son tombeau.
Le dernier roi légitime de France est mort en exil et il repose dans le Couvent des Franciscains de la Castagnavizza en Slovénie dans lequel une crypte a été aménagée pour recevoir la dépouille des Bourbons accueillis dans ce qui était alors un territoire de l’Empire Austro-Hongrois.
A plusieurs reprises a été soulevée la question d’un éventuel transfert de la royale dépouille en France pour être placée dans la nécropole de Saint-Denis où reposent presque tous les rois.
Mon Père, lui-même, le Prince Alphonse duc d’Anjou et de Cadix, en venant à Gorizia Nova-Gorica en 1986, avait pu l’évoquer et il s’était rapproché des différentes autorités religieuses et politiques. Le contexte était alors très différent puisque le rideau de fer d’alors faisait qu’à l’exil s’ajoutaient des difficultés de déplacement dans ce qui était la Yougoslavie.
Avec 1989 un double changement est intervenu. Tout d’abord par le décès de mon père, je me trouvais nouveau Chef de la Maison de Bourbon étant âgé à peine de 15 ans. La question Charles X ne pouvait pas être dans les premières que j’avais à résoudre. Ensuite la chute du mur de Berlin puis l’indépendance de la Slovénie, précédant son entrée dans la Communauté européenne, étaient autant d’événements qui modifiaient la donne politique. Il n’était dès lors plus question de transfert des dépouilles des Bourbons puisqu’elles étaient accessibles par tous ceux qui voulaient venir s’y recueillir.
Il y a quelques temps des initiatives privées, associatives, animées sans doute par de louables sentiments, ont ré-ouvert le débat. Initiatives extérieures à la famille de Bourbon même si certains membres ont été approchés et ont parfois montré leur intérêt individuel.
Sollicité, comme aîné et chef de la Maison de Bourbon, et donc premier à pouvoir m’engager, j’étais resté sur une prudente réserve. Il me semblait, en effet, que l’ensemble des questions que pouvait soulever un tel transfert n’était pas vraiment étudié. Il y avait notamment deux grands absents : le Couvent des Franciscains qui depuis cent quatre-vingt ans garde et protège les dépouilles des Bourbons, et d’autre part les Villes de Nova-Gorica et de Gorizia qui, depuis la même époque, sont fidèles à cette page où leur histoire et celle de la France ont été confondues.
La moindre des choses est toujours de rencontrer toutes les parties. Mon voyage est l’occasion de telles rencontres.
Ainsi, bien évidemment, sans préjuger de l‘avenir qui ne nous appartient pas et de circonstances extérieures, actuellement trois arguments vont à l’encontre d’un retour des cendres de Charles X en France :
– Un argument historique. Charles X est mort en exil en 1836 et le Gouvernement alors en place n’a pas cherché à faire revenir sa dépouille, préférant faire revenir celle de l’empereur Napoléon 1er, en décembre 1840…
Ce transfert ne pourrait, en effet, avoir qu’un objectif de réconciliation. Un retour sans ce mobile n’a pas vraiment de sens.
Le rapatriement du corps d’un souverain est un acte national, non celui de quelques nostalgiques. Ajoutons que le retour d’un souverain est, par nature, un acte public qui doit engager le pays au plus haut niveau. La dépouille doit être accompagnée par les armées, le gouvernement en place doit être présent, etc… Seul l’État peut en décider.
– Un argument factuel : la crypte des Bourbons telle qu’elle existe actuellement dans le Couvent de la Castagnavizza n’est pas une sépulture du hasard, même si à l’origine il n’y avait pas de plan clairement défini et si le roi a été déposé dans un caveau déjà existant mis à disposition par une famille princière locale. La volonté d’avoir un lieu de sépulture spécifique et surtout pérenne a été manifestée par le comte de Chambord, Chef de la Maison de Bourbon. Il a souhaité organiser les sépultures de ses proches déjà décédés ainsi que de lui-même et de son épouse. Une crypte a été aménagée à sa demande expresse au début des années 1880 pour recevoir les cercueils. L’emplacement a été spécialement choisi sous le choeur de la chapelle. Cela traduit le souhait d’avoir un second lieu de sépulture officiel autre que Saint-Denis pour marquer l’exil.
La restauration de la royauté en France n’étant pas à l’ordre du jour, le retour des cendres ne peut pas l’être non plus puisque la monarchie est toujours dans une sorte d’exil.
La question n’est donc pas actuelle et admettre le retour serait admettre la fin de l’espoir en une Restauration. Mais elle demeure une question familiale qui est du ressort du Chef de Maison.
– Un argument d’opportunité. À une époque où l’Europe cherche un second souffle, il faut maintenir les symboles forts qui forgent son unité et son identité. Les nécropoles royales en font partie et, en ce sens, la Castagnavizza a toute sa place dans le « réseau » constitué de Westminster, l’Escorial, les Capucins à Wien, et bien évidemment Saint-Denis. À cela s’ajoute le rôle culturel d’une telle nécropole qui renforce les liens entre la France et la Slovénie.
Ainsi compte tenu de tous ces éléments, il ne parait pas souhaitable d’envisager actuellement un quelconque transfert d’un ou plusieurs cercueils reposant dans le couvent des Franciscains de Nova-Gorica.
Que saint Louis et saint François veillent sur les Bourbons.
Fait à Nova-Gorica-Gorizia, le 19 février 2017
Prince Louis de Bourbon, duc d’Louis de Bourbon, duc d’Anjou
Cette explication est acceptable et compréhensible pour nous royalistes car elle permet d appréhender, sous un nouvel angle, ce refus de transporter à St Denis, les restes de Charles X . En effet, je retiens les mots cléfs d exil et de restauration non accomplie , deux faits tangibles, justifiant le report de ce transfert. Pour Louis XX , je crois deviner qu il serait heureux que ce transfert se fasse avec l assentiment du peuple français, les corps constitués de la société civile et l armée, au cours d une cérémonie pleine de magnificence, qui rejaillirait sur tout le pays. L argument est plus que recevable ; il est légitime même si , à première vue , on peut être déçu .
Le Prince Louis a raison de na pas tomber dans le piège tendu. Le retour des cendres du dernier roi de France ne peut se faire, à mon sens, qu’avec le retour de la royauté en France.
»Le rapatriement du corps d’un souverain est un acte national, non celui de quelques nostalgiques. Ajoutons que le retour d’un souverain est, par nature, un acte public qui doit engager le pays au plus haut niveau. La dépouille doit être accompagnée par les armées, le gouvernement en place doit être présent, etc… Seul l’État peut en décider ».
la Charte de Fontevrault a, dans cette affaire comme dans d’autres, joué pleinement son rôle qui est de donner la parole à tous et ce commentaire dont je vous remercie complète le tableau que nous avons voulu offrir à nos lecteurs.
Hier 21 février, le Conseil dans l’Espérance du Roi s’était félicité de voir que le prince Louis de Bourbon n’était pas tombé dans le piège que lui avait tendu quelques manipulateurs prétendument royalistes. Nous avions d’ailleurs soulevé cette probable hypothèse dès septembre 2016 en étudiant de près la composition de l’Association pour le retour à Saint-Denis des cendres de Charles X et des derniers Bourbons ainsi que le manifeste qu’elle avait publié à cet effet. La réaction violente de Philippe Delorme aux propos du prince Louis est aujourd’hui la démonstration du bien fondé de notre réflexion.
De jure Louis XX compte-t-il , lui ou un de ses descendants , accéder au pouvoir et surtout dans quelles conditions car il y a un flou complet à ce sujet . Seront-elles démocratiques, accidentelles , provoquées ? Personne n en sait rien . Maintenant , sachant que le ripoublique se défend comme nulle autre pareille, il est vrai qu il ne peut dévoiler ses plans. Mais en a t-il seulement l envie et la volonté. Donc attendons car la réponse risque bien de venir d en Haut ; comme le dit Pierre Hillard , humainement, tout est perdu , ne comptons que sur la Providence Divine. Encore un point marqué pour la Charte de Fontevrault.
Si vous voulez bien nous créditer d’action au service de Dieu et du roi , je suis persuadé que nous ne pouvons le faire que parce que vous nous lisez et vous nous soutenez … Merci.
C est le moins que je puisse faire , avec en sus quelques bonnes prières à votre intention, car avant de vous connaître, j étais deja providentialiste, mais me sentant un peu seul; or, Dieu m a mis sur votre chemin et je ne peux que L en louer. Vous êtes pour moi un sacré bon point d ancrage sur cette bonne terre. Merci.
Je ne sais pas pourquoi Dieu m’a permis de fonder la Charte de Fontevrault le 25 août 1988 mais puisqu’Il l’a fait, autant que j’essaye de me monter digne de la Grâce que j’ai reçue et je vous remercie de m’aider à tenter de l’être.
Bien fidèlement vôtre.
Les princes de Bourbon-Parme descendants de Louise d’Artois sont plus proche que son excellence Luis Alfonso Borbon y Martinez Bordiu « duc d’Anjou » qui est un titre de courtoisie, reconnu par la république française et le nom de Bourbon et prince du point de vue légitimiste reconnu officiellement; S.A.R. Monseigneur le comte de Paris et duc de france , Henri vii de jure « roi des français »decendant de philippe , duc d’orléans frère du roi très chrestien Louis XIV.
le comte de Chambord de jure S.M. le roi Henri V ,roi de France et de Navarre, avait désigné comme successeur , Louis- Philippe II comme heritier : Philippe VII, Comte de Paris.les Orléans ne sont pas appréciés par les légitimistes car descendants du régicide Philippe-Egalité.le temps pardonne,il faut passer à autre chose et se réconcilier.
Les princes de Bourbon-Parme et les Orléans, peuvent demander le retour des cendres royales et princières.
Merci de votre contribution.
»Louis- Philippe II comme heritier : Philippe VII, Comte de Paris.les Orléans ne sont pas appréciés par les légitimistes car descendants du régicide Philippe-Egalité »
S’il n’y avait que cela !…….. et vous le savez bien….. ce serait trop long à exposer et ce n’est pas le but de la Charte de Fontevrault.
Nous aurons un Roi, mais le Bon Dieu va mettre tout le monde d’accord, il n’y aura pas de jaloux.
Mais il est normal présentement, que chacun défende »son » Prince.
je suis plutot pour le Comte de Paris et les Orléans et un bon roi, roi de France et de Navarre ou roi des Francais. Les Légitimistes veulent un roi couronné et une monarchie de droit divin; le duc d’Anjou qui est l’ainé des capétiens pour eux et les autre une monarchie constitutionnelle avec les Orléans.
il faut regarder le traité d’Utrecht en 1713 où le roi Louis XIV a renoncé au trone espagnol pour lui et sa descendance et les Bourbons espagnols ont renoncé a leurs droits au trône de France. Les royaumes de France et d’Espagne ne peuvent etre réunis. Donc les Bourbons d’Espagne ne peuvent prétendre au Trône de France.
C’est une des cause de mésentente et que les Orléans sont les descendant de Philippe-égalité.
Bien cordialement
Cher ami,
Vous savez bien qu’aucun des arguments que vous avez habilement présentés n’a jamais réussi à faire revenir le roi de France sur son trône pas plus d’ailleurs qu’aucun des arguments présentés par la partie adverse.
Si les hommes avaient pu seuls remettre le roi de France sur son trône , cela serait fait … Pensez depuis 1793 ou 1830.il n’y que Dieu qui le puisse… Encore faudrait-il qu’on le lui demande … et certains le font: http://www.pontmain-pourleretourduroi.com/wp-content/uploads/2013/04/Livret-de-pri%C3%A8re-version-5.2.2.pdf
Oui, nous le demandons chaque mois, à Pontmain, depuis maintenant 5 ans.
Nous le demandons au Vrai et Unique Roi de France (préséance oblige – ce n’est pas une image ni un symbole mais une réalité très concrète et, pour cela, se rapporter à la Triple Donation de Jeanne) par Sa Très Sainte Mère Notre-Dame de Pontmain dont Monseigneur Richaud, évêque de Laval, dans sa lettre pastorale du 2 janvier 1940, disait : » Si toutes les Madones ont une spécificité, Notre-Dame de Pontmain est la Madone de la France en Péril « .
Le péril est là… Pourquoi ne courrons-nous pas à Pontmain ???
Là est le diagnostique, et là est le remède !
A tous les royaliste, je tiens aussi à rappeler que le comte de Chambord a refusé le trône par son refus du drapeau tricolore APRES la visite de Maximin, le voyant de La Salette, en 1873 à Frohsdorf, qui lui dit :
« Je suis venu vous dire qu’il ne fallait pas entreprendre de devenir Roi de France, que cela ne se peut pas et vous savez pourquoi « .
A la fin de cet entretien, le comte de Chambord confia à son secrétaire le comte Henri de Vanssay : » Maintenant, j’ai la certitude que mon cousin Louis XVII existe. Je ne monterai donc pas sur le Trône de France. Mais Dieu veut que nous gardions le secret. C’est Lui Seul qui se réserve de rétablir la Royauté « .
Chouandecoeur
Cher Chouan de Coeur,
la Charte de Fontevrault a été heureuse de vous permettre ce rappel.
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