Exellante revue qui met d’accord les Légitimistes et les Néo-Légitimistes (Parmistes, Survivantistes et Providentialistes.
A partir de l’exil de Charles X en 1830, le Légitimisme est le mouvement politique Français favorable au rétablissement de la Royauté Très Chrétienne de Droit Divin dans la personne de l’Aîné des Capétiens, donc le chef de la Maison de Bourbon, prévu par les Lois Fondamentales du Royaume de France, et opposé à ce que les Légitimistes voient comme la laïcisation et à un choix humain de l’Orléanisme.
Pour les Légitimistes, le Roi est la seule autorité Légitme éamant de Dieu et ce principe s’incarnait en 1830 à l’époque en la personne du petit Duc de Bordeaux, futur Comte de Chambord. Pour les Orléanistes, le Roi est une impérieuse nécessité nationale, la continuité de La France, le destin national incarné par un Souverain indépendant des capprices du suffrage universle et du diktat des fortune anonymes et vagabondes, et ce principe s’incarnait en le Duc d’Orléans, Louis-Philippe, Monarque de Juillet.
Mais Louis XVII n’avait pas disparu de la scène politique. Les proclamations de Louis XVIII atteignirent sans doute davantage les élites que le peuple. Des Français en étaient restés cependant au fils de Louis XVI, malgré l’annonce de sa mort en 1795. Fin 1813-début 1814, les révoltes de conscrits d’une partie de la Flandre Française, rapidement devenues soulèvement rural anti-napoléonien, se firent au nom de Louis XVII (sobriquet qui resta à leur chef). L’arrivée sur le trône de Louis XVIII n’empêcha même pas la multiplication des faux Louis XVII.
La contestation de Louis XVIII, puis partiellement de Charles X, s’alimente ainsi dans une partie du monde Ultra aux prophéties politiques circulant de manière manuscrite ou en compilations (désormais classificatoires) imprimées, et au dernier prophète Royal qu’est Thomas Martin de Gallardon.
Ce prophétisme se prolonge après 1830 dans le Survivantisme….
Le Comte de Chambord lui-même, qui ne voyait de destin Français que dans le cadre de la Chrétienté, ne concevait de Mission Française que la fidélité de la France à son Baptême et ne désirait de salut national que dans l’esprit de justice, décida de renoncer au Trône -au grand dam de ses contemporains!- après la révélation de Maximin Giraud, le Berger de la Salette, de la Survivance de Louis XVII et de la vraie descendance Royale, et la querelle du Drapeau Blanc ne fut qu’une excuse.
Ou se trouve cette descendance?
Il y a deux hypothèses:
1. Naundorff n’était pas Louis XVII, mais le fils adultérin du dernier Prince de Condé (et donc demi-frère de l’infortuné Duc d’Enghien), dont la cuisinière hollandaise se nommait Emma Naundorff : le futur Grand Monarque est le descendant Salique de Louis XVII mais on ignore complètement où se trouve cette descendance, qui est celle des Lys coupés. C’est l’hypothèse Survivantiste.
2. Le futur Grand Monarque ne descend de Louis XVII que par sa mère, petite-fille du petit-fil de l’Enfant-Roi, et membre de la branche coupée des Lys, et descend par son père de la Branche Aînée de Saint-Louis, qui est celle des Bourbons-Montpensier-de-Valois-et-de-La Croix, lignée oubliée mais Légitime, dont le Masque de Fer fut l’incarnation comme l’instrument Divin du témoignage de la permanance de la Légitimité : on ignore totalement, là aussi, où se trouve cette double descendance, dont on ne connaitrait que le nom, Henri V de la Croix et le caractère Français, et que ce sera la Providence à nous le doner. Selon un message reçut par Martine, ce serait un Bourbon. C’est l’hypothèse Providentialiste.
Confiant en la Divine Providence, gardons la certitude du salut mairaculeux de la France par la restauration de la Royauté Très Chrètienne, en la personne du Grand Monarque, qui qu’il sera, et plaçons en attendant tous nos effoerst Royalistes ous le signe du SACRE COEUR, ou COEUR DE L’AMOUR surmonté de la CROIX DU SACRIFICE, espoir et salut de la France…
Les Providentialistes Légitimisants de l’hypothèse N° 2, qui savent que le Roi Henri V de La Croix, même caché, est l’incarnation comme l’instrument Divin du témoignage de la permanance de la Légitimité Catholique et Royale, se nomment Ultra-Légitmistes. Frank Abed et… plus modestement votre humble serviteur, sont des Ultra-Légtitimistes.
La ligne politique de l’Ultra-Légtimisme s’axera autour de deux fidélités :
En premier lieu, une fidélité à la tradition politique Capétienne de la France qui s’inscrit dans l’espérance Royale et porte deux projets essentiels pour l’avenir :
-L’attachement à la Souveraineté de la France, aussi bien contre l’Union européenne technocratique que les grandes puissances et organismes financiers et économiques qui agissent à l’international,
-La défense de l’identité gréco-romaine et celto-Chrétienne de la France et de l’intérêt général contre l’œuvre des lobbies, groupes de pression et partis politiques républicains.
En second lieu, une fidélité à l’héritage Chrétien de la France, lui-même incarné dans deux dimensions :
-La promotion des valeurs fondamentales de la civilisation, notamment la défense de la famille ou la défense de la Vie,
-La filiation à un modèle socio-politique porté notamment par les Catholiques Sociaux, contre le capitalisme sauvage planétaire.
La conviction Monarchiste de l’Ultra-Légitimisme, enfin, s’enracine autour d’une fidélité absolue envers le Divin Christ-Roi et en son Lieutenant SMTC Henri V de la Croix, qui qu’il soit, Aîné invible des Bourbons et Roi légitime de France, Fils aîné des Coeurs Unis de Jésus et de Marie promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque.
C’est autour de cette ligne poilitique Ulytra-Légitimiste qu’il est posssible de rassembler Légitmistes et Néo-Légitimistes -Parmistes, Survivantistes et Providentailistes- et construire un Régentisme solide cher au Conseil dans l’Espérence du Roi…
Exellante revue qui met d’accord les Légitimistes et les Néo-Légitimistes (Parmistes, Survivantistes et Providentialistes.
A partir de l’exil de Charles X en 1830, le Légitimisme est le mouvement politique Français favorable au rétablissement de la Royauté Très Chrétienne de Droit Divin dans la personne de l’Aîné des Capétiens, donc le chef de la Maison de Bourbon, prévu par les Lois Fondamentales du Royaume de France, et opposé à ce que les Légitimistes voient comme la laïcisation et à un choix humain de l’Orléanisme.
Pour les Légitimistes, le Roi est la seule autorité Légitme éamant de Dieu et ce principe s’incarnait en 1830 à l’époque en la personne du petit Duc de Bordeaux, futur Comte de Chambord. Pour les Orléanistes, le Roi est une impérieuse nécessité nationale, la continuité de La France, le destin national incarné par un Souverain indépendant des capprices du suffrage universle et du diktat des fortune anonymes et vagabondes, et ce principe s’incarnait en le Duc d’Orléans, Louis-Philippe, Monarque de Juillet.
Mais Louis XVII n’avait pas disparu de la scène politique. Les proclamations de Louis XVIII atteignirent sans doute davantage les élites que le peuple. Des Français en étaient restés cependant au fils de Louis XVI, malgré l’annonce de sa mort en 1795. Fin 1813-début 1814, les révoltes de conscrits d’une partie de la Flandre Française, rapidement devenues soulèvement rural anti-napoléonien, se firent au nom de Louis XVII (sobriquet qui resta à leur chef). L’arrivée sur le trône de Louis XVIII n’empêcha même pas la multiplication des faux Louis XVII.
La contestation de Louis XVIII, puis partiellement de Charles X, s’alimente ainsi dans une partie du monde Ultra aux prophéties politiques circulant de manière manuscrite ou en compilations (désormais classificatoires) imprimées, et au dernier prophète Royal qu’est Thomas Martin de Gallardon.
Ce prophétisme se prolonge après 1830 dans le Survivantisme….
Qui sont les Survivantistes?
Le Comte de Chambord lui-même, qui ne voyait de destin Français que dans le cadre de la Chrétienté, ne concevait de Mission Française que la fidélité de la France à son Baptême et ne désirait de salut national que dans l’esprit de justice, décida de renoncer au Trône -au grand dam de ses contemporains!- après la révélation de Maximin Giraud, le Berger de la Salette, de la Survivance de Louis XVII et de la vraie descendance Royale, et la querelle du Drapeau Blanc ne fut qu’une excuse.
Ou se trouve cette descendance?
Il y a deux hypothèses:
1. Naundorff n’était pas Louis XVII, mais le fils adultérin du dernier Prince de Condé (et donc demi-frère de l’infortuné Duc d’Enghien), dont la cuisinière hollandaise se nommait Emma Naundorff : le futur Grand Monarque est le descendant Salique de Louis XVII mais on ignore complètement où se trouve cette descendance, qui est celle des Lys coupés. C’est l’hypothèse Survivantiste.
2. Le futur Grand Monarque ne descend de Louis XVII que par sa mère, petite-fille du petit-fil de l’Enfant-Roi, et membre de la branche coupée des Lys, et descend par son père de la Branche Aînée de Saint-Louis, qui est celle des Bourbons-Montpensier-de-Valois-et-de-La Croix, lignée oubliée mais Légitime, dont le Masque de Fer fut l’incarnation comme l’instrument Divin du témoignage de la permanance de la Légitimité : on ignore totalement, là aussi, où se trouve cette double descendance, dont on ne connaitrait que le nom, Henri V de la Croix et le caractère Français, et que ce sera la Providence à nous le doner. Selon un message reçut par Martine, ce serait un Bourbon. C’est l’hypothèse Providentialiste.
Confiant en la Divine Providence, gardons la certitude du salut mairaculeux de la France par la restauration de la Royauté Très Chrètienne, en la personne du Grand Monarque, qui qu’il sera, et plaçons en attendant tous nos effoerst Royalistes ous le signe du SACRE COEUR, ou COEUR DE L’AMOUR surmonté de la CROIX DU SACRIFICE, espoir et salut de la France…
UN DERNIER POUR LA ROUTE !
Les Providentialistes Légitimisants de l’hypothèse N° 2, qui savent que le Roi Henri V de La Croix, même caché, est l’incarnation comme l’instrument Divin du témoignage de la permanance de la Légitimité Catholique et Royale, se nomment Ultra-Légitmistes. Frank Abed et… plus modestement votre humble serviteur, sont des Ultra-Légtitimistes.
La ligne politique de l’Ultra-Légtimisme s’axera autour de deux fidélités :
En premier lieu, une fidélité à la tradition politique Capétienne de la France qui s’inscrit dans l’espérance Royale et porte deux projets essentiels pour l’avenir :
-L’attachement à la Souveraineté de la France, aussi bien contre l’Union européenne technocratique que les grandes puissances et organismes financiers et économiques qui agissent à l’international,
-La défense de l’identité gréco-romaine et celto-Chrétienne de la France et de l’intérêt général contre l’œuvre des lobbies, groupes de pression et partis politiques républicains.
En second lieu, une fidélité à l’héritage Chrétien de la France, lui-même incarné dans deux dimensions :
-La promotion des valeurs fondamentales de la civilisation, notamment la défense de la famille ou la défense de la Vie,
-La filiation à un modèle socio-politique porté notamment par les Catholiques Sociaux, contre le capitalisme sauvage planétaire.
La conviction Monarchiste de l’Ultra-Légitimisme, enfin, s’enracine autour d’une fidélité absolue envers le Divin Christ-Roi et en son Lieutenant SMTC Henri V de la Croix, qui qu’il soit, Aîné invible des Bourbons et Roi légitime de France, Fils aîné des Coeurs Unis de Jésus et de Marie promis et annoncé dans les prophéties du Grand Monarque.
C’est autour de cette ligne poilitique Ulytra-Légitimiste qu’il est posssible de rassembler Légitmistes et Néo-Légitimistes -Parmistes, Survivantistes et Providentailistes- et construire un Régentisme solide cher au Conseil dans l’Espérence du Roi…
PS
Un grand Merci à Alain Texier pour son travail de bénédictin, dans la recherche d’anciennes revues Royalistes Surviantanistes ou Providentialistes !