« On en sourit mais, en réalité, ce sont les prémices de la guerre civile « , écrivions-nous il y a un an, après le démantèlement d’un groupe activiste préparant des attentats anti-musulmans ( https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2018/09/10/on-en-sourit-mais-en-realite-ce-sont-les-premices-de-la-guerre-civile/ ). Nous vous proposons de relire notre conclusion. Elle était, comme souvent, prémonitoire :
« En vérité, n’en croyez rien tant ces peines, ces douleurs même, ces souffrances humaines, sociales, culturelles voire politiques sont déjà ou vont devenir le pain quotidien d’un nombre croissant de nos compatriotes. Chacun y répondra à sa façon ou avec ses moyens. Mais il n’y a aucune illusion à se faire, la révolte couve. Aujourd’hui bien plus qu’hier et bien moins que demain.
Le » Grand Remplacement « , c’est la guerre civile qui vient mais qui, d’une certaine façon, est déjà là. Qui sont les responsables ? Qui seront les coupables ? «
Depuis, d’autres « signaux faibles » de la révolte des peuples face à la stratégie de « Grand Remplacement » de nos dirigeants politiques et de nos élites médiatico-culturelles sont apparus sans susciter la moindre réflexion. Le dernier en date s’avérant davantage ancré dans la violence puisqu’il s’agit de l’attaque de la mosquée de Bayonne par un ancien candidat du Front national, un peu âgé certes (84 ans), ce qui permet aux autorités de placer l’argument psychiatrique (démence sénile) sur le devant de la scène, selon la désormais classique méthode allemande ( https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2017/08/07/terrorisme-la-methode-allemande-desormais-employee-par-les-pouvoirs-publics-francais/ ).
C’est ainsi que nous avons appris de la bouche du procureur de la République de Bayonne, Marc Mariée, mardi 29 octobre, que le tireur placé en garde à vue pour « tentative d’assassinat », avait fait des aveux partiels. Claude Sinké, 84 ans, a ainsi reconnu «l’incendie de la porte d’entrée de la mosquée et également de l’incendie du véhicule entièrement détruit », a déclaré le procureur. « Le gardé à vue conteste avoir eu la volonté de tuer quiconque », poursuit-il. L’octogénaire, a précisé lors de son audition qu’il avait pris soin de faire du repérage afin de mener son action à un moment où la mosquée serait « très peu occupée ». Confirmant ainsi sa volonté initiale d’alerter l’opinion sur l’islamisation de notre pays et ses dangers plus que d’éventuelles velléités criminelles.
- Sinké a par ailleurs déclaré lors de son audition qu’il avait souhaité « venger la destruction de la cathédrale de Paris, affirmant que l’incendie de cet édifice a été provoqué par des membres de la communauté musulmane », précise M. Mariée. « Le mis en cause apparaît totalement inconnu des services de police et des services de la justice », a dit le procureur, ajoutant que « l’ensemble de son audition interroge sur son état de santé psychique de sorte qu’il est actuellement présenté devant un psychiatre afin d’être éclairé sur sa responsabilité pénale».
« Nous sommes en contact permanent avec le procureur national antiterroriste », afin de savoir si ce dernier doit se saisir, a-t-il conclu.
Il n’a suffit que de dix-neuf minutes pour interpeller le suspect. « A 15 h 11, ce lundi 28, les effectifs de police de Bayonne sont appelés par un individu en panique qui se trouve à l’intérieur de la mosquée située rue Latxague », a détaillé le procureur. Alors que les policiers se rendent sur place, un second individu signale à la police que l’auteur présumé des coups de feu a pris la fuite à bord de son véhicule, une Ford Fiesta blanche. Une première équipe de policiers se rend à la mosquée, tandis qu’une seconde équipe prend le fuyard en chasse.
Grâce à l’identification de la plaque d’immatriculation relevée par un témoin et la description très précise du véhicule, les policiers remontent très rapidement jusqu’à Claude Sinké, son propriétaire, qui vit à une dizaine de kilomètres de là, dans la commune de Saint-Martin-de-Seignanx, dans le sud des Landes.
A 15 h 30, les policiers de la brigade anticriminalité de Bayonne interpellent l’auteur des coups de feu devant son domicile, au moment où il s’apprête à descendre de son véhicule. L’homme de 84 ans est maîtrisé sans que les policiers ne fassent usage de leur arme. « Je tiens à saluer le sang-froid dont ces fonctionnaires de police ont fait preuve » lors de l’interpellation, a noté le procureur.
L’assaillant était surtout connu dans la région pour s’être présenté avec l’étiquette du Front national lors des élections départementales des 22 et 29 mars 2015. Sur Facebook, où il était inscrit, Claude Sinké ne cachait pas non plus il y a quelques années son admiration pour le polémiste Eric Zemmour et sa détestation des musulmans.
Selon le quotidien régional Sud Ouest, il avait adressé le 25 octobre une lettre rageuse au bâtonnier de Bayonne et au procureur de la République de Dax, avec copie à la rédaction du journal. Dans ce courrier, remplis de propos « discriminatoires et xénophobes », selon Sud Ouest, il annonçait sa volonté de porter plainte contre Emmanuel Macron.
Dans son véhicule ont été par ailleurs découverts une bouteille de gaz ainsi qu’un chargeur d’arme semi-automatique. Le retraité, tireur sportif, était également détenteur de trois armes déclarées de catégorie B et de grenades d’exercice à plâtre.
Aussitôt après cette attaque, les pleureuses patentées de la République comme les plus hautes autorités du pays se sont précipitées dans les médias pour dénoncer « la haine antimisulmane » de l’ « extrême droî-î-îte« . Le chef de l’Etat lui-même ajoutant : « La République fait bloc autour » des victimes « comme elle fait bloc autour de chacun de ses enfants, lorsque l’obscurantisme et l’intolérance réapparaissent », à l’occasion d’une allocution lors de l’inauguration du Centre européen du judaïsme à Paris. Le président de la République a également ciblé ceux qui « voulant semer la haine et la division » se servent du principe de laïcité « pour mener le combat contre telle ou telle religion ».
De son côté, Edouard Philippe, jamais en retard d’une compromission avec la dhimmitude, a exprimé son « émotion », ses « vœux de prompt rétablissement »et « une vraie pensée amicale et républicaine » (sic) aux victimes de l’attaque ! Ajoutant un commentaire délirant montrant qu’il n’a encore rien compris au drame culturel que vivent un nombre de plus en plus grand de nos compatriotes face à l’islamisation de la France : « Dans une démocratie mûre comme la nôtre, dans une République sûre de ses principes, nous pourrions tous ensemble considérer qu’il n’y a qu’une seule communauté, la communauté nationale ».
En réalité, qu’il ne s’y trompe pas l’ami Edouard, notre pays connaîtra nécessairement un nombre croissant de manifestations de rejet de ce type, jusqu’à un embrasement final dont le nom est déjà annoncé depuis longtemps :la guerre civile. Le prix de tant d’aveuglement sera fatalement terrible.
Reposons donc la question qui nous taraudait déjà il y a un an : « Qui sont les responsables ? Qui seront les coupables ? »
Le 31 octobre 2019.
Pour le CER, Jean-Yves Pons, CJA.
Ce pauvre hommes est un imbécile : action totalement contre-productive !
…
Il est donc certain que des Français commencent à « péter les plombs » et ça risque de s’accentuer jusqu’à l’explosion finale !…
Amitiés à vous tous.
La France vit une crise anti-Islam sans précédent : la vraie droite s’exprime sans complexe sur les plateaux télé, les musulans doivent raser les murs dans les lieux publics, attentat contre une mosquée…
Beaucoup de Français ont payé de leur vie les attentats islamistes survenues de Charlie Hebdo, du Bataclan, du Marché de Noel à Starsbourg !
Il est donc certain que des Français commencent à « péter les plombs »…