Un soir de confinement, Elisabeth II, la Reine d’Angleterre, souveraine du Royaume-Uni de Grande Bretagne et du Commonwealth, a prononcé un discours qui, par sa simplicité et sa brièveté, a porté au-delà des frontières mêmes du pays sur lequel elle règne sans politiquement gouverner. Evidemment, certains n’ont pu s’empêcher de comparer sa courte intervention télévisée avec celles, plus longues, plus dramatisantes et moins consensuelles de l’actuel locataire du palais de l’Elysée : les mêmes ont pu évoquer les différences de réactions à l’égard des deux chefs d’Etat, plus crispées et souvent agressives envers le Régent Présidentiel Français quand elles semblaient pour la plupart plus bienveillantes, voire admiratives, envers la Monarque d’un pays dont les Malouins chantent encore le rejet à la façon du mot de Cambronne…
A quoi cela tient-il ? Tout simplement à la nature institutionnelle du régime respectif des deux nations. La Cinquième République peut être qualifiée régulièrement de Monarchie élective, il lui manque néanmoins la nature Royale des institutions britanniques. C’est d’ailleurs ce qu’avait remarqué celui qui n’était encore qu’un jeune ministre sorti de la manche de François Hollande :
-La démocratie comporte toujours une forme d’incomplétude car elle ne se suffit pas à elle-même. Dans la politique Française, l’absent est la figure du Roi, dont je pense fondamentalement que le peuple Français n’a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif : le roi n’est plus là. On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d’y placer d’autres figures : ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie Française ne remplit pas l’espace (entretien avec Emmanuel Macron publié par Le1, en juillet 2015).
Tout est vrai dans ce qui est dit là, même si, pour le Royaliste conséquent que votre serviteur tente d’être, je mets un visage sur cette « figure » : celle-ci s’inscrit dans une longue lignée de Rois qui ne s’arrête jamais -« le Roi est mort… Vive le Roi ! »- personnage incontournable d’une Royauté qui, en France, forme une trinité constituée par Dieu, le Roi et le Royaume Très Chrétien…
Car la Monarchie Royale, de par sa position au-dessus des débats politiques et des actes gouvernementaux eux-mêmes, et en dehors du Pays légal partisan (sans pour autant méconnaître son existence et nier ses particularités, ce qui ne veut pas forcément dire que le souverain s’en satisfasse…), assume et incarne l’unité de la Nation, une nation Chrétienne, comme une sorte de clé de voûte discrète et trop haute pour qu’on l’aperçoive nettement ou que l’on s’y intéresse vraiment en temps ordinaires. Les temps de grande crise (militaire ou, ici, sanitaire) révèlent la force discrète et tranquille de la Couronne, en offrant aux citoyens un point de repère dans la tempête qui, comme un phare scintillant, rassure et prévient (et prémunit ainsi) du danger.
La Monarchie n’est pas qu’un intermède entre deux élections, elle s’enracine dans une histoire et un temps long dont la dynastie représente le tronc et les racines parfois tourmentées… Quelles que soient les formes qu’elle prend selon les Etats et les histoires, elle veut s’inscrire dans une logique, non de facilité, mais d’éternité de l’espérance :
-Les beaux jours reviendront. Nous reverrons nos amis. Nous reverrons nos familles. Nous serons à nouveau réunis…
Cette éternité qui permet aussi de penser et de voir, d’espérer au-delà de nos propres existences :
-J’espère que ceux nés après nous diront que les Britanniques de cette génération étaient aussi forts que leurs aînés. La fierté de ce que nous sommes n’appartient pas à notre passé. Elle définit notre présent et notre futur !
… aux moeurs dégénérées .
Depuis la funeste tentation , le piège n’a que peu varié , c’est toujours par une bonté feinte , mielleuse , enrobée de sentiments humanistes que le , la , Rusé(e) , engage ses proies …
Chère amie,
je suis un peu étonné , A CONTRARIO, par votre éloge des républiques mais toutes les opinions doivent pouvoir s’exprimer même si le Président Volto a dit trés clairement dans son commentaire supra tout le bien que les monarchies pouvaient apporter à leurs peuples.
Bonjour Monsieur Texier , j’aborde le futur dans l’espérance et la certitude de la délivrance de notre société absolument satanique … par la proche venue du Grand Roi très chrétien fidèle à Jésus-Christ .
La république est fille de Satan , à n’en point douter , Les bandes organisées maffieuses y règnent en MAÏTRE … en costards cravate ou jogging casquette .
Selon la naissance ou le portefeuille …
Le crime , la corruption , la détestation de la Chrétienté sont repai(è)res et vertus du Malin et de ses sbires .
Monsieur de Volto bénéficie de tout mon modeste soutien et son service généreux à la cause providentialiste nous apporte un concours précieux en cette Mission Catholique et Royale ; mais je dis NON pour ce choix d’une reine … barbare !
La monarchie adoptera un plan de carrière plus modeste , les petits aiment la noblesse , la simplicité , les plaisirs simples … PAS LA VAINE GLOIRE !
La Couronne doit être gardée dans la pureté .
Antonella et moi vivons exactement dans ce qui fut le DEPARTEMENT DU TARO (38 sur la carte), c’est à dire la Province de Parme.
UN DERNIER POUR LA ROUTE !
Et puisqu’on évoque le Roi de France…
Un soir de confinement, Elisabeth II, la Reine d’Angleterre, souveraine du Royaume-Uni de Grande Bretagne et du Commonwealth, a prononcé un discours qui, par sa simplicité et sa brièveté, a porté au-delà des frontières mêmes du pays sur lequel elle règne sans politiquement gouverner. Evidemment, certains n’ont pu s’empêcher de comparer sa courte intervention télévisée avec celles, plus longues, plus dramatisantes et moins consensuelles de l’actuel locataire du palais de l’Elysée : les mêmes ont pu évoquer les différences de réactions à l’égard des deux chefs d’Etat, plus crispées et souvent agressives envers le Régent Présidentiel Français quand elles semblaient pour la plupart plus bienveillantes, voire admiratives, envers la Monarque d’un pays dont les Malouins chantent encore le rejet à la façon du mot de Cambronne…
A quoi cela tient-il ? Tout simplement à la nature institutionnelle du régime respectif des deux nations. La Cinquième République peut être qualifiée régulièrement de Monarchie élective, il lui manque néanmoins la nature Royale des institutions britanniques. C’est d’ailleurs ce qu’avait remarqué celui qui n’était encore qu’un jeune ministre sorti de la manche de François Hollande :
-La démocratie comporte toujours une forme d’incomplétude car elle ne se suffit pas à elle-même. Dans la politique Française, l’absent est la figure du Roi, dont je pense fondamentalement que le peuple Français n’a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif : le roi n’est plus là. On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d’y placer d’autres figures : ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie Française ne remplit pas l’espace (entretien avec Emmanuel Macron publié par Le1, en juillet 2015).
Tout est vrai dans ce qui est dit là, même si, pour le Royaliste conséquent que votre serviteur tente d’être, je mets un visage sur cette « figure » : celle-ci s’inscrit dans une longue lignée de Rois qui ne s’arrête jamais -« le Roi est mort… Vive le Roi ! »- personnage incontournable d’une Royauté qui, en France, forme une trinité constituée par Dieu, le Roi et le Royaume Très Chrétien…
Car la Monarchie Royale, de par sa position au-dessus des débats politiques et des actes gouvernementaux eux-mêmes, et en dehors du Pays légal partisan (sans pour autant méconnaître son existence et nier ses particularités, ce qui ne veut pas forcément dire que le souverain s’en satisfasse…), assume et incarne l’unité de la Nation, une nation Chrétienne, comme une sorte de clé de voûte discrète et trop haute pour qu’on l’aperçoive nettement ou que l’on s’y intéresse vraiment en temps ordinaires. Les temps de grande crise (militaire ou, ici, sanitaire) révèlent la force discrète et tranquille de la Couronne, en offrant aux citoyens un point de repère dans la tempête qui, comme un phare scintillant, rassure et prévient (et prémunit ainsi) du danger.
La Monarchie n’est pas qu’un intermède entre deux élections, elle s’enracine dans une histoire et un temps long dont la dynastie représente le tronc et les racines parfois tourmentées… Quelles que soient les formes qu’elle prend selon les Etats et les histoires, elle veut s’inscrire dans une logique, non de facilité, mais d’éternité de l’espérance :
-Les beaux jours reviendront. Nous reverrons nos amis. Nous reverrons nos familles. Nous serons à nouveau réunis…
Cette éternité qui permet aussi de penser et de voir, d’espérer au-delà de nos propres existences :
-J’espère que ceux nés après nous diront que les Britanniques de cette génération étaient aussi forts que leurs aînés. La fierté de ce que nous sommes n’appartient pas à notre passé. Elle définit notre présent et notre futur !
Le discours d’une Reine…
… aux moeurs dégénérées .
Depuis la funeste tentation , le piège n’a que peu varié , c’est toujours par une bonté feinte , mielleuse , enrobée de sentiments humanistes que le , la , Rusé(e) , engage ses proies …
Chère amie,
je suis un peu étonné , A CONTRARIO, par votre éloge des républiques mais toutes les opinions doivent pouvoir s’exprimer même si le Président Volto a dit trés clairement dans son commentaire supra tout le bien que les monarchies pouvaient apporter à leurs peuples.
Bonjour Monsieur Texier , j’aborde le futur dans l’espérance et la certitude de la délivrance de notre société absolument satanique … par la proche venue du Grand Roi très chrétien fidèle à Jésus-Christ .
La république est fille de Satan , à n’en point douter , Les bandes organisées maffieuses y règnent en MAÏTRE … en costards cravate ou jogging casquette .
Selon la naissance ou le portefeuille …
Le crime , la corruption , la détestation de la Chrétienté sont repai(è)res et vertus du Malin et de ses sbires .
Monsieur de Volto bénéficie de tout mon modeste soutien et son service généreux à la cause providentialiste nous apporte un concours précieux en cette Mission Catholique et Royale ; mais je dis NON pour ce choix d’une reine … barbare !
La monarchie adoptera un plan de carrière plus modeste , les petits aiment la noblesse , la simplicité , les plaisirs simples … PAS LA VAINE GLOIRE !
La Couronne doit être gardée dans la pureté .