Jean-Yves Pons. Quelques nouvelles encourageantes du front migratoire.

              Une fois n’étant pas coutume dans le contexte actuel des nouvelles grandes invasions, voulues et organisées par nos élites mais ratifiées par la mollesse de nos compatriotes, voici quelques informations qui nous permettent de reprendre espoir. Nous ne devons évidemment pas ce rayon de soleil à Emmanuel Macron et à ses complices et, moins encore, aux instances dirigeantes de l’Union européenne mais, après quelques inquiétudes que nous énoncions ici ( https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2022/12/29/italie-giorgia-meloni-matteo-salvini-silvio-berlusconi-e-tutti-quanti-parole-parole-parole/)… au gouvernement italien de Giorgia Meloni.

     Que les pleureuses habituelles ne se méprennent pas, nous ne voulons pas évoquer ici le naufrage du dernier rafiot vermoulu mais surchargé qui s’est fracassé sur la côte calabraise, au large de Crotone, dimanche 26 février à l’aube (hONG Médecins sans frontières (MSF/monde/europe/migrants/migrants-ce-que-l-on-sait-du-naufrage-en-mediterranee-qui-a-coute-la-vie-a-une-soixantaine-de-personnes_5682371.html), après avoir transporté sa marchandise humaine depuis la Turquie. Après tout, ce sont les risques du taf ( Taf  Immigration, Travel and Tourism) https://www.facebook.com/Tafimmigration.co.za/)  , de migrant et le prix à payer en a, depuis la nuit des temps, toujours été élevé.

*https://www.facebook.com/Tafimmigration.co.za/     Non, ce qui nous intéresse aujourd’hui ce sont les efforts de Giorgia Meloni et de ses alliés du gouvernement de Rome pour appliquer ce que nous réclamons depuis la fondation du CER : rendre intenable l’activité des officines immigrationnistes et, en premier lieu, des ONG prétendument humanitaires mais authentiquement négrières.

       Cette démarche, rendue extrêmement difficile par l’acharnement des instances dirigeantes européennes à promouvoir l’accueil de ces hordes migrantes, commence cependant à porter ses fruits. Elle s’appuie sur un certain nombre de mesures qui sont progressivement mises en oeuvre par l’Italie depuis l’arrivée de la droite au pouvoir en septembre dernier, même si elles se heurtent aux innombrables obstacles semés par la Commission européenne et qui démontrent qu’il s’agit bien d’une association de malfaiteurs agissant en bande organisée. Malheureusement, le stade ultime de cette résistance au « Grand Remplacement » ne pourrait être que le modèle britannique du Brexit que l’Italie n’a pas encore les moyens d’assumer…

      La première marche de la lutte des dirigeants italiens contre cette situation a été de développer les collaborations avec les Etats d’origine de ces migrants économiques, y compris et surtout avec ceux qui en sont les exportateurs maritimes. La Libye est au premier rang de ceux-ci est reçoit de l’Italie une aide substantielle en matériel naval pour ses gardes-côtes, permettant ainsi de retenir ou de ramener un nombre croissant de ces envahisseurs sur la rive sud de la Méditerranée.

       La deuxième marche de cette lutte est, depuis quelques semaines, la désignation comme lieux d’accueil des navires négriers et de leur chargement humain, les installations portuaires les plus éloignées possibles des zones de récupération des migrants. C’est ainsi que les ports de La Spezia (Ligurie), sur la côte ouest, ou de Ravenne (Emilie-Romagne), sur la côte adriatique, sont désormais imposés aux ONG impliquées dans ces trafiques d’esclaves. Mais pourquoi pas carrément Gènes ou Trieste ? Cela n’a l’air de rien mais, en réalité, s’avère extrêmement coûteux pour lesdites ONG par l’allongement des durées de navigation (plusieurs centaines de kilomètres) de donc de consommation de carburant ! Mais ce n’est pas tout.

     En effet, un décret-loi voté à la fin de l’année dernière vient d’entrer en application dans la perspective d’entraver davantage encore les basses oeuvres des officines immigrationnistes.

    Il impose aux navires concernés de demander immédiatement un port de débarquement vers lequel ils devront se diriger « sans délai » après une intervention de secours, plutôt que de rester en mer pour récupérer les occupants d’autres embarcations comme c’est actuellement le cas. C’est ce que nous avons souvent appelé « faire des ronds dans l’eau » en attendant les proies (https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2022/08/30/jean-yves-pons-lorsque-le-navire-ocean-viking-fait-des-ronds-dans-leau-au-large-des-cotes-lybiennes/).

      Les missions de sauvetage des ONG opérant en Méditerranée durent généralement plusieurs jours (ainsi que nous l’avons relaté à de nombreuses reprises en précisant, en temps réel, les positions de ces bâtiments grâce à notre suivi du site internet https://www.vesselfinder.com/fr), les navires enchaînant plusieurs opérations de sauvetage et accueillant de ce fait des centaines de personnes à bord. Le nouveau décret réduit donc de façon substantielle la marge de manoeuvre des ONG. Il impose également à l’équipage d’informer les migrants qu’ils accueillent à bord de leur possibilité de demander la protection internationale dans n’importe quel pays de l’Union européenne et pas seulement dans le pays de débarquement. Aux termes de ce décret, les capitaines violant ces règles s’exposent à des amendes allant jusqu’à 50 000 euros et des infractions répétées peuvent être sanctionnées d’une immobilisation du navire. C’est ce qui est advenu la semaine dernière au capitaine du Geo Barents, le navire négrier de l’ONG Médecins sans frontières (MSF) que nous ne cessons de dénoncer.

Alors, disons-le sans ambages : BRAVO !

        Même si bien sûr et pour nous cela n’est qu’un début, la démarche finale devant être de tendre vers une immigration zéro. Pour cela, bien des efforts restent à réaliser, jusque et y compris la mise à mort de l’institution qui veut notre disparition : l’Union européenne.

Pour le CER et la Charte de Fontevrault, Jean-Yves Pons, CJA.