Faire la une de Play boy pour un ministre ? Après Marlène Schiappa, Holà !

Marlène Schiappa (/ʃjapa/b,1 ; en corse : /ˈskjappa/c,2[Quoi ?]), née le à Paris, est une femme politique et essayiste française.

      Adjointe au maire du Mans et conseillère communautaire au Mans Métropole à partir de 2014, elle est également responsable du pôle « égalité femmes-hommes » de La République en marche.

     Entre mai 2017 et juillet 2020, elle est secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations ; elle porte alors la loi renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes. Elle est ensuite, jusqu’en mai 2022, ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur, chargée de la Citoyenneté au sein du gouvernement Castex. En juillet 2022, elle est nommée secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative dans le second gouvernement Borne.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marlène_Schiappa

https://www.leparisien.fr/politique/marlene-schiappa-va-faire-la-une-de-playboy-31-03-2023-45URNIHJKBFI7FHDTSB5C2DH5M.php

6 thoughts on “Faire la une de Play boy pour un ministre ? Après Marlène Schiappa, Holà !

  1. Antonia

    La liberté, pour les hommes comme pour les femmes, est de choisir ce qui nous élève.
    Là-dessus, Marlène est en train de se crasher. A-t-elle pris la mesure de l’endroit où elle était assise ? Un secrétariat d’Etat !

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  2. Hervé J. VOLTO

    Si ce n’est un poisson d’avril, alors c’est une tactique pour nous cacher l’ultime infamie : l’accueil de migrants dans une chateau, en pleine campagne, AUX FRAIS DU CON-TRIBUABLE FRANCAIS !

    Après Grignon, Varey : pour les migrants, la vie de château continue !

    Le château de Varey a presque mille ans. On en trouve une trace écrite dès 1150. Niché au-dessus d’un village du Bugey, Saint-Jean-le-Vieux, il a suivi et parfois subi les tourments de la grande Histoire : possession seigneuriale, puis propriété du dauphin (en sa province du Dauphiné), le château passe à la maison de Savoie, puis à une famille de marchands. Il est défiguré par les valeurs de la République en 1793, sous les ordres du funeste Albitte, le « tigre de l’Ain », puis restauré au XIXe siècle, pas si mal que cela d’ailleurs. Ses toits polychromes et ses façades dans le goût de la Renaissance le font tout naturellement classer à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1983. Il appartient, aujourd’hui, à une association qui en a fait un centre médico-social et son intérieur a probablement fait l’objet d’une « mise aux normes », comme il convient aujourd’hui. On n’a pas trop envie de voir ça.

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