Comment est née cette œuvre ( de Claude Saint Félix que vous trouverez en activant le lien ci-aprés) , https://claudesaintfelix53.wordpress.com/2024/11/24/une-presence-silencieuse
« il se trouve qu’au matin du 26 septembre 2016, mon regard fut attiré par un ciel magnifique aux tonalités de bleu, de rose et d’or de toutes beautés. Nous avons tous admiré ces ciels de lever ou de coucher du soleil, ces effets magiques qui, à eux seuls suffisent à rendre heureux pour ceux et celles qui se nourrissent des beautés de la nature.
Quelque chose m’attirait sans que je puisse en déterminer la cause, je décidais de prendre une photo, l’intuition me guidait comme souvent. Plus tard, désirant trouver une explication, j’analysais le clicher qui, bien que beau, ne me parlait absolument pas. C’est en le retournant que je compris subitement qu’un signe m’avait été donné, il se tenait là, perpendiculaire à l’horizon.
Les enfants que nous avons été recherchaient à l’occasion dans les nuages des formes, nous l’avons tous fait, j’invite les novices à le faire, le ciel étant comme l’eau, un élément très apaisant. Les formes que notre esprit rend intelligible à l’œil s’appellent des paréidolies, elles peuvent s’obtenir par des tâches, des objets, des nuages, des ombres ou que sais-je.
Les psychiatres en tireraient certainement des conclusions si l’on pense à leur , ils concluraient par un diagnostic jugé infaillible sur nos profils psychologiques. Encore une fois, j’estime que renier le mystère, c’est effacer un élément qui souvent est porteur de réponse, bien sûr si l’on demande à plusieurs personnes ce qu’elles voient, l’on s’aperçoit que leurs interprétations sont souvent différentes, pourtant de par le monde, des rochers, des arbres et plusieurs paréidolies portent des noms définitifs car leurs formes donnent à penser la même chose.
Chacun est libre de croire ce qu’il veut, tout comme les concepts quel’ordre établi tente d’imposer par une supposée infaillibilité. Pour mapart, ce sont pour beaucoup des paréidolies intellectuelles, autant d’idées qui, au fil du temps, fondront comme neige au soleil. Nous voyons que l’homme, dans la continuité de ses ancêtres, aime donner un sens aux choses, il cherche les signes, il se projette au-delà de la réalité ».
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