L’hospitalité
Il s’agit de savoir si nous sommes chez nous en France ou si nous n’y sommes plus ; si notre sol nous appartient ou si nous allons perdre avec lui notre fer, notre houille et notre pain ; si, avec les champs et la mer, les canaux et les fleuves, nous allons aliéner les habitations de nos pères, depuis le monument où se glorifie la Cité jusqu’aux humbles maisons de nos particuliers. Devant un cas de cette taille, il est ridicule de demander si la France renoncera aux traditions hospitalières d’un grand peuple civilisé. Avant d’hospitaliser, il faut être. Avant de rendre hommage aux supériorités littéraires ou scientifiques étrangères, il faut avoir gardé la qualité de nation française. Or il est parfaitement clair que nous n’existerons bientôt plus si nous continuons d’aller de ce train. (…)
Ce pays-ci n’est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d’un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie.
La jeune France d’aujourd’hui est en réaction complète et profonde contre ce double mal. Elle rentre chez elle. Ses pénates intellectuels, ses pénates matériels seront reconquis. Il faut que l’ouvrier français, le savant, l’écrivain français soient privilégiés en France. Il faut que les importations intellectuelles et morales soient mises à leur rang et à leur mérite, non au-dessus de leur mérite et de leur rang. L’étiquette étrangère recommande un produit à la confiance publique : c’est à la défiance du pays que doit correspondre au contraire la vue de tout pavillon non français. Qu’une bonne marque étrangère triomphe par la suite de cette défiance, nous y consentons volontiers, n’ayant aucun intérêt à nous diminuer par l’ignorance ou le refus des avantages de dehors, mais l’intérêt primordial est de développer nos produits en soutenant nos producteurs. Le temps de la badauderie à la gauloise est fini. Nous redevenons des Français conscients d’une histoire incomparable, d’un territoire sans rival, d’un génie littéraire et scientifique dont les merveilles se confondent avec celles du genre humain.
Charles Maurras
L’Action française, 6 juillet 1912
C/O Marie Fouché
La France, son histoire millénaire, ses façons de vivre selon les usages et habitudes de chaque région, vallées ou monts, est actuellement dans un tournant. Qui peut comprendre et accepter des lois nouvelles dont le but est de faire oublier aux Français leurs racines et leur manière de vivre?
Héritier depuis plus de mille ans de cette histoire, de cette France à laquelle nous tenons tant, le Grand Monarque à venir pourrait se permettre de croire que la plupart des Français sont viscéralement attachés aux us et coutumes de leur terre, respectés par les Rois et condamnés à une sorte de destruction, souterrainement forte, pour que les générations à venir ne connaissent plus rien de leur identité. Actuellement, bien des gens de notre pays troublés et pervertis par des libertés annoncées ne peuvent qu’être totalement désorientés, car si on perd le sens de ce qui est dans la justesse et le chemin du devenir… qui pourrait souhaiter que ceux là, dans une liberté incontrôlée, ne se retrouvent piégés dans une cage, pseudo européenne, manipulée par des capitalistes mondialistes!
Comme nous, il aimerait la France et votre serviteur a bien des raisons de l’aimer lui aussi et de tout faire dans la mesure de ses modestes moyens, empêcher qu’elle ne soit détruite à jamais, agissant comme si tout dépendait de lui tout en priant comme si tout dépendait de Dieu, annonçant la bonne nouvelle de la promesse d’un Lieutenant Royal promis et annoncé par tant de prophéties. Sous prétexte de modernité, certains semblent ne pas comprendre qu’oublier les racines de la France, des racines Chrétiennes, accepter la destruction de ce qui transformerait notre pays en un carrelage sans signification, serait vouer à détruire, peut-être sans s’en rendre compte, le sens de la vie qui nous a été transmise depuis plus de mille ans.
Depuis Clovis, la responsabilité des Rois fut toujours d’essayer d’aider ce pays que nous aimons tant à s’agrandir pour mieux se comprendre. Dieu le leur a permis pour qu’ils fassent de la France un Royaume Très Chrétien assez puissant pour èprotéger l’Eglise et tre le oeur de la Chrétienté. Votre serviteur ne reviendra pas sur les événements inconséquents et terribles de la Révolution dite Française, dont nous payons encore le coût économique et social. Mais nous pouvons souhaiter que les Français de souche comprennent l’importance d’une civilisation forte que certains voudraient voir disparaître.
Par ce que c’est urgent ne devrions nous pas tenter de reconstruire une Europe intelligente, Monarchique et Chrétienne, vigilante pour recréer ensemble un dynamisme qui redonne force et puissance à cette Europe, chaque nation conservant son identité? Il y a toujours eu en France des conflits pour ou contre une façon de gouverner. Quoiqu’il en soit, tout pays comme tout navire a besoin d’un pilote, un Commandant responsable.
Henri V de La Croix, un Roi pourquoi pas? !
Quelqu’un finira par dire:
-P… d’Hervé! toujours à parler de lui!!!
He ben, oui… il faut que je vous parle de mon oncle (le mari de la soeur de mon père). Daniel Séguy, tonton daniel: un dessinateur en béton armé qui avait trente ans dans les années 60, décédé il y a 5 ans: il fit parti d’un groupe de Chouans modernes qui, sous la conduite de ROBERT MARTEL, se lancèrent dans l’action non seulement pour défendre l’Algérie Française, mais surtout pour redonner une âme Chrétienne à la France.
Une action Catholique et Française, Royaliste et Providentialiste qui, tout en laissant humblement à Dieule choix du Roi à venir, défendait DIEU, FAMILLE, PATRIE.
Un jeu subtil téléguidé par le pouvoir en place, lui-même sous la coupe de puissances occultes, pour la liquidation de l’Empire Français, la constituion de grands ensembles économiques anti-naturels et la promotion d’un syncrétisme religieux bidon, a été démasqué par les Contre-Révolutionnaire venus d’Afrique du Nord. Le masque a été arrachéé non pa en théorie, dans des salons d’intellectUEls, mais en pratique, dans la rue.
Le 13 Mai 1958, la Contre_révolution fit tomber la IV° République.
Les Français de Métropole, intoxiqués à l’époque par une propgande mensongère, ouvrent aujourd’hui les yeux sur cet aspect trop méconnu du drame algérien. Car jusqu’au 11 Septembre 2001, le terrorisme islamique était seulement un problème Franco-Français! Aussi les Français d’aujourd’hui voient également comment la défense de l’Algérie Française était lié à la défense de la paysannerie Française, du commerce, de l’artisannat, de la petite et moyenne entreprise. Et surtout que c’est vrai qu’ils seraioent venus en masse après l’indépendance de 1962 et qu’il aurait fallu les accuillir en France. Et la gauche caviar au pouvoir peut faire semblant de se scandaliser de la monté de l’anti-isalamisme et de l’anti-sémitisme en France, le fait est qu’il y a comme un raz-le-bol chez les vrais Français qui commencent à ne plus pouvoir financer financer l’accueil des immigrés en France.
Le problème n’est pas seulement économique: la France est en guerre, contre le terrorisme islaiste, contre la monté de l’anti-Christianisme et de l’anti-sémitisme et contre l’aveuglement de nos élus gauche-caviar parvenus et sans morale, aussi les Catholiques, les Royalistes et tous les hommes de bonne volonté comprennent la sagesse de Maurras -dont le journal Aspect de la France avait soutenu les Français d’Algérie- et qu’aujourd’hui que le Sacré-Coeur du Père Charles de Foucault ait rejoint le Sacré-Coeur de la Vendée Militaire.
Alors dans une communion totale, tous les Français de souche connaîtront mieux l’adversaire à abattre pour construire l’avenir. Tel est le message que fort de son expérience, le Royalisme veut maintent lancer.
Et aujourd’hui, ce ne sont plus les Français qui prendront « la valise ou le cercueil »…
Hervé
A lire: Claude Mouton-Raimbaud, La Conterévolution en Algérie (Edition de Chiré)