Nous vous communiquons sans état d’âme le texte ci-dessous d’un auteur souvent mieux inspiré. Il est fascinant que des esprits pourtant de qualité ne se rendent pas compte que si la France n’a toujours pas retrouvé son roi légitime , c’est parce qu’aucun des candidats en lice ne correspond au plan divin d’expiation et de rédemption qui échappe à toute logique humaine.
Dés lors il convient , à tout le moins, d’éviter de se livrer à des affirmations qui pourraient – je ne dis pas qu’elles le seront – se trouver démenties par les faits à venir.
Louis XVII n’est donc (peut-être ) pas mort au Temple, référence ( possible) à la malédiction des Templiers. Dieu restaurera ( sans doute) un jour Sa Royauté en France. Il le fera (probablement) en confiant Sa Royauté à quelqu’un qui sera ( probablement ) l’aîné de des descendants de nos derniers rois Bourbons mais qui pourrait ( ne pas être à chercher dans) la famille de Louis XX et sa descendance.
Alain TEXIER, Président fondateur de la Charte de Fontevrault.
Ce 8 juin 2015 marque le deux-cent-vingtième anniversaire de la mort, dans les épouvantables conditions que l’on sait, de « l’Enfant du Temple », Sa Majesté le Roi Louis XVII.
Foin des délires obsessionnels survivantistes ! Le petit Roi est bien mort dans l’horrible prison, âgé de dix ans deux mois et douze jours, et son règne – du sinistre 21 janvier 1793 à ce 8 juin 1795 – a été de deux ans quatre mois et dix-huits jours : un règne qui s’est tout entier écoulé entre les murs lugubres de ce donjon, dans les mauvais traitements, dans le broiement de ses plus chères aspirations, dans la déréliction, dans la maladie et l’agonie du coeur et de l’esprit avant de connaître, épuisé, l’agonie du corps.
Enfant martyr, la république qui a voulu pour lui un tel sort tombe sous le coup de la malédiction contenue dans les paroles du Christ : « Ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits d’entre Mes frères, c’est à Moi que vous l’avez fait ! » (cf. Matth. XXV, 40 b).
Roi martyr, dont le sceptre, le manteau et la couronne ne furent ici-bas que de dérision et d’opprobre, comme ceux dont Jésus-Christ, Roi des rois, fut affublé par la soldatesque en Sa douloureuse Passion.
Sans doute, sans aucun doute, le sort atroce réservé à cet enfant-roi entrait-il surnaturellement dans un plan divin d’expiation et de rédemption qui échappe à toute logique humaine, et qui a mis en réserve pour la France – au jour où pénitente et dévouée : Gallia poenitens et devota, elle reviendra, par un même mouvement de conversion, à son Dieu et à sa vocation – des trésors de grâce.
Mais aujourd’hui, tout cela est enveloppé par le secret divin.
….
http://leblogdumesnil.unblog.fr/2015/06/08/2015-61-ils-mont-jete-vivant-sous-des-murs-funeraires/
Pingback: 8 juin 2015. Mese pour Louis XVII en l’église Ste Elizabeth de Hongrie | chartedefontevraultprovidentialisme
LE SACRE DE LOUIS XVII
-Louis XVII, figure Christique de la Révolution: tout le monde le dit mort, mais personne n’a retrouvé son corps (Princesse Amélie de Bourbon-Parme, LE SACRE DE LOUIS XVII, NRF – Gallimards, p.69) .
Mais est-ce bien le coeur de Louis XVII qui a été inhumé, le 8 Juin 2004 dans la rypte de Saint-Denis, avec l’accord du Ministère de la culture et en présence de tous les membres officiels de l’Auguste Maison de Bourbon? Ne serait-ce pas plutôt celui du Dauphin Louis-Jospeh, frère aîné de Louis XVII, mort le 8 Juin 1789? Des personnalités comme le professeur Jean Tulard de l’Institut, ou l’historien Alain Decaux, ne l’excluent pas.
En fait le Manuscrit de Trieste démontre la probale survivance de Louis XVII au delà de la date boutoir que les révisionistes révolutionnaires nous donnent constamment: 15 Aout 1795. Le jeune Roi de France ne serait pas mort au Temple. Et un enfant du même age, chargé de le substituer, aurait été martyrisé à sa place. Si l’enfant-Roi a été évadé, le mérite en incombe à l’Ordre Souverain de Malte, à tous les Princes de Sang de France -Même ceux qui pensaient qu’il n’étaient pas le fils de Louis XVI mais celui de Fersen, ce jusqu’à la révélation de Martin de Galardon!- les Rois d’Espagne, les Empereurs d’Autriche, les Aristocrates Français, ceux d’Ecosse, d’Irlande et ceux du Saint-Empire Germanique qui ont fait face à leur resposabilités et permi que l’Enfant-Roi fut mis à l’abrit à l’étranger. On ne peut que remercier leurs descendants actuels.
Le Comte de Chambord lui-même, qui ne voyait de destin Français que dans le cadre de la Chrétienté, ne concevait de Mission Française que la fidélité de la France à son Baptême et ne désirait de salut national que dans l’esprit de justice, décida de renoncer au Trône -au grand dam de ses contemporains!- après la révélation de Maximin Giraud, le Berger de la Salette, de la Survivance de louis XVII et de la vraie descendance Royale, et la querelle du Drapeau Blanc ne fut qu’une excuse.
Ou se trouve cette descendance?
Il y a trois hypothèses:
1. Naundorff était Louis XVII et les descendants de Naundorff sont les descendants de Louis XVII.
2. Naundorff n’était pas Louis XVII, mais le fils adultérin du dernier Prince de Condé (et donc demi-frère de l’infortuné Duc d’Enghien), dont la cuisinière hollandaise se nommait Emma Naundorff: le futur Grand Monarque est le descendant Salique de Louis XVII mais on ignore complètement où se trouve cette descendance, qui est celle des Lys coupés.
3. Le futur Grand Monarque ne descend de Louis XVII que par sa mère, petite-fille du petit-fil de l’Enfant-Roi, et membre de la branche coupée des Lys, et descend par son père de la Branche Aînée de Saint-Louis, qui est celle des Bourbons-Montpensier-de-Valois-et-de-La Croix, lignée oubliée mais Légitime, dont le Masque de Fer fut l’incarnation comme l’instrument Divin du témoignage de la permanance de la Légitimité: on ignore totalement, là aussi, où se trouve cette double descendance, dont on ne connaitrait que le nom: Henri V de la Croix.
Pour ceux qui ne croirait pas en les prophéties du Grand Monarque, Claude Mouthon-Raimbault l’a dit dans son livre Le coeur de Louis XVII (Editions de Chiré): le doute sur la mort de Louis XVII ne saurait l’emporter sur l’espérence d’une VRAIE Restauration, dont l’Enfant-Roi -qu’il soit mort ou non au Ttemple- demeure le symbole, en attendant que se réalisent les promesses du Sacré-Coeur à la France: celles du retour de la Monarchie, facteur de Grandeur pour la France…
Hervé J. VOLTO, CJA, Président Honoraire de la Charte de Fontebvrault (Président 1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué Officiel pour l’Italie
Bonjour Messieurs,
Oui, le Blog du ménil énonce un magnifique texte :
LES enfants enfermés dans l’abominable prison du Temple ont souffert d’infâmes supplices qui crient VENGEANCE AU CIEL pour leurs tortionnaires républicains !
Ces enfants furent au moins 4 :
– Louis XVII lui-même, bien sûr.
– Les 2 morts : l’officiel et celui du pied de la tour.
– Jean-Marie Hervagault dont il est prouvé qu’il fut un des substitués.
L’abominable calomnie Fersen, éculée depuis bien longtemps et uniquement destinée à noircir la mémoire de la malheureuse Reine, a trouvé sa fin avec les récentes analyses prouvant que le descendant actuel de Louis XVII vivant en France possède un chromosome Y Bourbon !!! Hé oui, messieurs nos détracteurs de tous poils !!!
Condé : si cette dame Naundorff avait existé, aurait-on attendu 2 siècles pour l’étudier !!! ? les enquêtes allemandes, prussiennes (policiers ne passant pas, habituellement, pour des plaisantins) n’auraient pas déclaré qu’il n’y a jamais eu de Naundorff à Weimar ou ailleurs !! ce patronyme étant absolument « inconnu au bataillon » !!! Les princes de Condé, grand-père et père, ont eu des maitresses qui, elles, sont parfaitement connues (la dernière ayant même été mélée au décès du dernier prince en 1830).
Ne tombons pas non plus dans des histoires à la Alexandre Dumas ! L’histoire de Louis XVII n’a rien d’extravagant : IL FUT EXFILTRÉ DU TEMPLE PAR LES RÉPUBLICAINS POUR SERVIR D’OTAGE ET DE MOYEN DE PRESSION SUR TOUS LES GOUVERNANTS ! c’est simple et logique ! non !
Je vous présente mes salutations les plus courtoises.