Avant d’être politique ou militaire, la Révolution française fut idéologique et anti-chrétienne. Si les diverses écoles contre-révolutionnaires l’ont dit et démontré, la leçon s’est peu à peu perdue tandis que les héritiers intellectuels et spirituels des « Grands Ancêtres » imposaient dans tous les champs du savoir leur vision des événements.
Face à la vulgate officielle seule ou presque habilitée à s’exprimer en France, il est très difficile, sinon impossible, de faire entendre une voix discordante. La manière dont Reynald Sécher, jeune universitaire au commencement d’une carrière prometteuse, fut ostracisé et écarté de l’enseignement supérieur à la veille du bicentenaire de 1789, ostracisme jamais révoqué depuis, pour avoir osé qualifier de génocidaire la politique du Comité de Salut public en Vendée à l’hiver 1794, doit en principe servir de leçon à quiconque s’aventurerait sur ces terrains glissants.
On n’en saluera donc que plus chaleureusement le courage du professeur Philippe Pichot-Bravard qui publie, avec La Révolution française (Via Romana, Paris 2014, 295 p., 24 €), une synthèse dense, intelligente, brillante, propre à remettre en place les idées d’un public trop souvent désinformé.
Philippe Pichot-Bravard, en effet, ne se borne pas à raconter, fort bien au demeurant, dans une langue claire et élégante, et même avec un humour noir appréciable, le déroulement des faits et leur portée ; il leur donne, ce qui ne s’est pas fait depuis bien longtemps, leur véritable sens, celui d’une guerre implacable livrée en France au XVIIIe siècle et ensuite, à toute vision catholique de l’ordre social et humain.
Rappelant que ces théories, qui prétendent substituer à l’ordre naturel du monde, chrétien, une humanité régénérée, prennent leur source dans la Réforme, puis dans le cartésianisme, le professeur Pichot-Bravard, et c’est essentiel, éclaire la lente contagion des classes supérieures par cette pensée dévoyée. La Révolution n’a pas surgi ex nihilo et elle n’a si bien réussi que parce qu’elle avait, depuis plusieurs générations déjà, gagné la guerre des idées. Louis XVI et ceux qui l’entouraient ne combattirent pas efficacement l’ennemi pour l’excellente raison qu’ils lui étaient intellectuellement peu ou prou acquis … Or, Philippe Pichot-Bravard le rappelle, cette perversion de la pensée épargna en fait l’écrasante majorité des Français, ce « Peuple », précisément, que les hommes de la Révolution prétendait régénérer, malgré lui si nécessaire, dans l’intérêt commun et pour le bien de tous. Quitte à massacrer tous ceux qui s’opposeraient à ce projet, tout changement de paradigme de ce type entraînant l’éradication des « irrécupérables » …
Parce qu’il reprit, trop tard, conscience de ses responsabilités de Lieutenant de Dieu et refusa la déchristianisation en cours, Louis XVI perdit et son trône et sa tête. Parce qu’ils refusaient de devenir ce nouvel homme issu des Lumières, en rupture avec la loi divine, des centaines de milliers de catholiques français se battirent et moururent, souvent en martyrs, afin d’empêcher la mise en place d’un monde qui les épouvantait.
Telle est la leçon, d’une brûlante actualité, à tirer de ce livre remarquable, car, en France et partout en Occident aujourd’hui, les mêmes forces continuent d’imposer le parachèvement du projet révolutionnaire, l’ultime rupture entre l’humanité et la loi divine. Tant que l’on n’aura pas pleinement pris conscience de cet enjeu, tout combat, si légitime soit-il, demeurera voué à l’échec. (Anne Bernet)
http://www.correspondanceeuropeenne.eu/2014/03/20/livres-penser-la-revolution-francaise/
LA CONTRE REVOLUTION EN MARCHE
Introduction.
–Que faire pour stopper la Contrerévolution Française en marche? s’interrogeait le 7 Novembre 2013 un certain Georges Gasteaud sur le site d’Initiative Communiste, un blog d’extrême-guache. Serait-ce la mort brutale et spasmodique (de la France républicaine) qu’imposerait une ultra-droite revancharde usurpant le bonnet rouge et le drapeau tricolore pour liquider les acquis populaires, mettre au pas la classe ouvrière et ses syndicats en mettant notre pays au bord de sanglants affrontements ethnico-communautaires manipulés par le nouveau pouvoir ?
Avant de remettre çà le 14 Novembre syuivant sur un autre site coco, Le Grand Soir.
Publié le 18 mai 2003, mise à jour le 13 octobre 2005, on trouvait sur le site communsite de Réflexe http://reflexes.samizdat.net :
-Dix jours après le Front National, les Royalistes ont organisé leur défilé en l’honneur de Jeanne d’Arc. Deux défilés se sont succédés de la place de l’Opéra à la rue de Rivoli. La Contre-Réforme Catholique (adepte de Saint Pie X) a réuni entre 200 et 250 pour la célébration de la Sainte. Leur cortège a rejoint la statue au son de chants religieux et patriotiques. Après le discours du prêtre qui a appelé à l’action, « une action Française et Catholique » bien sûr, et rappelé qu’il fallait reprendre aux « musulmans le terme de parti de Dieu comme ils avaient déjà repris le drapeau rouge aux communistes » (ils y ont quand même rajouté un Sacré Coeur, faut pas exagérer), ils se sont séparés. Une quinzaine de minutes plus tard, une quarantaine de militants de l’Action Française défilait, suivie des 10 militants contre-révolutionnaires de la Garde Franque, qui ont rappelé leur proximité au FN en scandant un « ni droite, ni gauche, Garde Franque ». Ils se sont séparés après une brève cérémonie devant la statue de Jeanne d’Arc.
Il semble que l’extrême-gauche et, à travers elle, les tenants de la Révolution dite Française ne dorment plus.
Car face à la perversion des intelligences et des moeurs portant au suicide programmé de la nation Français et de la civilisation Chrétienne, c’est à une véritable Croisade, c’est à une véritable Contrerévolution qu’il faut en apppeller!
1. L’idéologie révolutionnaire.
Le dix-huitième siècle marque une rupture radicale avec l’antique sagesse traditionnelle et Bonald présente cette idéologie révolutionnaire comme « l’art de tout expliquer, de tout régler sans le concours de la Divinité (Louis de Bonald, Mélanges littéraires, politiques et philosophiques, t.1, Ed. A. Le Clere, Paris, 1819, p. 105-106.) ». Plus encore, le réel lui même devient gênant et un Rousseau ne craint pas d’écrire :
-Commençons donc par écarter tous les faits, car ils ne touchent point à la question (Jean-Jacques Rousseau, deuxième Discours, Œuvres complètes, t. III, Gallimard, Bibliothèque de La Pléiade, 1964, p. 132-133) .
L’intelligence étant affranchie de la réalité, plusieurs explications, plusieurs sens du monde sont alors possibles et constituent ce que l’on appelle les idéologies. Le célèbre historien François Furet définit l’idéologie comme « un système d’explication du monde à travers lequel l’action politique des hommes a un caractère providentiel, à l’exclusion de toute divinité » (François Furet, Le passé d’une illusion, Ed. Livres de poche, 1995, p. 17) ; ailleurs il précise qu’elle a « pour fonction de masquer la réalité, et donc de lui survivre » (François Furet, Penser la Révolution française, Foliohistoire, Paris, 1978, p. 144) .
Selon notre ministre de l’Éducation nationale Vincent Peillon, la forme politique qui réalise le mieux cet idéal moderne d’autonomie de l’homme par rapport à Dieu et à sa Création est la République, un régime qui se pose d’ailleurs en véritable religion :
-La religion républicaine est une religion des droits de l’homme, c’est-à-dire de l’Homme qui doit se faire Dieu, ensemble avec les autres, ici-bas, et non pas du Dieu qui se fait homme à travers un seul d’entre nous […] il faut donc […] déraciner l’empreinte Catholique, qui ne s’accommode pas de la République (Vincent Peillon, Une religion pour la République, la foi laïque de Ferdinand Buisson, Éditions du Seuil, Janvier 2010, p. 34,35,36) .
Comment, en effet, la religion Catholique pourrait-elle admettre cet article III de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 :
-Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, Art. III) .
Au contraire, Voltaire disait « Le fait consitute la Loi »: partant de la pensèe voltaiorienne, nos élus républicains semblent dire que si il y a un Franòais sur 10 qui est musulman, il faut construire des mosquées.
Qu’on se rapelle seulement que le Chrits est Dieu-fait-homme, et que l’Anté-Christ sera un homme voulant se faire Dieu, et on comprendra qu’il l n’est sûrement pas anodin que le Christ —figure archétypale du Roi (N. S. Jésus-christ est le Roi de l’univers ; sa Royauté ne vient pas de ce monde mais du Père céleste) et du gouvernement par l’autorité— ait été condamné à mort par un Ponce Pilate recourant au gouvernement par l’opinion avec une foule subvertie par les prêtres du temple. La révolution est ainsi une idéologie qui apporte un gouvernement d’opinion.
2. Le principe Contrerévolutionnaire.
L’expression Contrerévolution désigne non seulement l’ensemble des moyens mis en œuvre pour s’opposer à une révolution, mais aussi des courants de pensée opposés, jusqu’à nos jours, à l’héritage révolutionnaire des XVIIIe et XIXe siècles, puis, aux révolutions de type bolchevik qui ont secoué l’Europe, puis certains pays extra-européens à partir de 1917. Elle inclut tout ce qui, après la révolution, tente d’en annuler, ou d’en limiter tout ou partie des effets, et même bien longtemps après. À la suite de la mise en place de régimes révolutionnaires plus ou moins durables, l’adjectif Contrerévolutionnaire est aussi utilisé dans ces pays pour disqualifier des personnalités que les dirigeants souhaitent évincer.
Tout d’abord, pour qu’il y ait une contre-révolution, il faut qu’il y ait, sinon une révolution, du moins une processus politique révolutionnaire. Par révolution, on entend renversement de l’ordre ancien, qu’il soit politique ou économique. Dans ce cadre, les partisans de la contre-révolution sont avant tous ceux qui s’opposent à un processus révolutionnaire ; ces partisans peuvent être actifs dans les domaines théorique, politique, militaire, économique. Le père de la Conterévolutions semble être Jospeh de maîstre, un franc-maçon convertit.
-Dieu seul fait les Rois, disait-il, Il choisi seul las Races Royales: voici la plus grande des Légitimités!
Charles Maurras, grand théoricien de la Contrévolution, disait que la Monarchie relève l’autorité, les libertés, la prospérité et l’honneur. Le même Maurras disait également que l’Eglise Catholique enseigne l’autorité, la hiérarchie, l’ordre et la paix. La Contrerévolution sera Catholique et Royale. Elle reprendra à son compte la devise de la Garde Franque: ni Droite, ni Gauche, Royalistes! C’est d’ailleurs la devise de nos amis de Démocratie Royale.
Ce n’est pas un problème en soi qu’il y ait des Royalistes Orléanistes, Légitimistes, Survivantistes et Providentialistes: tous ces Royalistes ont en commun de vouloir un Roi pour la France. Et avant d’être Orléanistes, Légitimistes, Survivantistes et Providentialistes, ils sont avant tout Royalistes.
La Contrerévolution apporte donc un gouvernement de l’autorité.
3. Contre la révolution: d’abord des penseurs.
En face des théories révolutionnaires, une pensée Contrerévolutionnaire se développe très vite, avec Edmund Burke, dès 1790, Louis de Bonald et l’Abbé Maury. Ce mouvement en France compte plus de 300 députés (sur 1 200) dans l’Assemblée consitutante de 1789. Impuissante à s’exprimer pacifiquement, sa presse étant baillonnée (par exemple Les Actes des Apôtres supprimés en 1791), ses partisans massacrés à partir du 10 Aout 1792, la Contrerévolution est affaiblie par l’Emigration qui la prive d’une partie de ses soutiens à l’intérieur du pays. On estime à 150 000 au moins le nombre des Emigrés, dont un grand nombre d’officiers qui auraient pu encadrer une paysannerie peu favorable aux excès des révolutionnaires parisiens.
Parmi les principaux penseurs dits « Contrerévolutionnaires », on peut citer Jospeh de Maîstre en Savoie, Louis de Bonald, et Antoine Blanc de Saint-Bonnet en France, Edmond Burke en Angleterre, et Juan Donoso Cortès en Espagne.
Beaucoup de clercs de l’Eglise Catholique Romaine, sous le conseil de Papes (Pie IX, Léon XIII, Saint-Pie X, Syllabus) et dans la conduite du Cardinal Pie, de l’abbé Augustin Barruel (S.J.), de Mrg Gaume, vont prêcher une doctrine en opposition avec les principes révolutionnaires de 1789.
4. L’Ecole Royaliste.
Par la suite, sont Contrerévolutionnaires les mouvements politiques qui nient toute légitimité à la Révolution dite Française de 1789, ou la partie du discours d’un mouvement politique qui nie cette légitimité, et qui militent afin d’en annuler une partie des effets. C’est ainsi que la plupart des Royalismes post-révolutionnaires (Légitimisme, Carlisme, Miguélisme), en tant que partisan d’un retour partiel ou complet à l’Ancien Régime, sont Contrerévolutionnaires. Le Survivantisme qui est un Néo-Légitimisme ne reconnaissant pas l’Aîné des Bourbons d’Espagne comme l’Ané de tous les Bourbons car croyant en une survivance de Louis XVII, et le Providentislaisme qui s’en remet totalement à Dieu pour ce qui est du choix du Roi à venir, ont reprit la suite. Au XXe siècle, la Contrerévolution a pris une nouvelle forme avec la Révolution Nationale, qui selon René Rémond, est plus un régime Contrerévolutionnaire, malgré le nom de sa politique, qu’un régime fasciste : la devise Travail, Famille, Patrie remplace la devise républicaine Liberté, Egalité, Fraternité, et le Maréchal Pétain avait confié au Marquis de la Franquerie d’attendre le Grand Monarque à venir. Charles Maurras, par le biais de son mouvement l’Action Française, construit une nouvelle forme de Contrerévolution, sous forme de nationalisme Catholique.
5. L’école Catho Tradi.
Les thèses Contrerévolutionnaires et anti-libérales vont revivre par le biais de l’action politique et spirituelle du Catholicisme Traditionnel de Mrg Lefebvre et de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X . Les fidèles de la Tradition Catholique militent en effet activement pour tenter de restaurer les principes politiques qui ont façonné la « Chrétienté » (relgion Catholique d’Etat, doctrine et règne du Christ-Roi, toute chose protégées par nos Rois Très Chrétiens jusqu’à la Révolution, Syllabus que défendent le Royalistes…) et s’opposent à ceux de la Révolution dite Française (de 1789), du libéralisme, du modernisme et du progressisme dans l’Église. Beaucoups de Royalistes -Légitmistes, Survivantistes, Providentialistes ou même certains Orléanistes convaincus comme Français-Marie Algould- sont Catholiques de Tradition. Tout comme nos amis Carlistes d’Espagne, Miguélistes du Portugal, Néo-Bourbonniens d’Italie, Jacobites d’Ecosse et d’Irlande, Margyards de Hongrie et Frères de l’Epée de Pologne, qui s’inspirent du Légitmisme Français.
Pour beaucoup de ces Catho Tradis, le sceau et l’emblème de la Contrerévolution est la dévotion au Sacré-Coeur, Coeur de l’Amour surmonté de la Croix du Sacrifice, qu’ils arborent sur le drapeau national -Blanc pour les Royalistes Traditionalistes (Légitmistes, Survivantistes, Providentialistes), Tricolore pour les Orléanistes sincèrement Catholiques- avec la devise « Espoir et salut de la France ».
Parmi les maisons d’édition les plus connues de ce courant, on peut citer les Editions de Chiré.
Conclusion.
Un vrai Contrerévolutionnaire visera un double objectif : d’une part, Faire connaitre autour de lui les nombreuses activités Royaliste de sa province et en rendre compte: Université d’été, Marche pour la Vie, Veillée pour la famille, Sessions de jeunes, pèlerinages de Chartres et de Paray-le-Monial, Conférences, Fêtes du livre, Messes de Louis XVI et de marie-Antoinette, etc.. et d’autre part, traiter de l’actualité et livrer les informations à la lumière de sa foi Catholique et dans la fidélité à sa tradition nationale, comme le font déjà notre Charte de Fontevrault, sa Flotte Providentialiste, et ses amis du SYLM et du CER.
La ligne de conduite Contrerévolutionnaire sera le retour aux sources : le pacte de Tolbiac et le Testament de Saint-Rémy. C’est comme un phare que nous trouvons au bout de la nuit, comme l’Etoile Polaire.
Hervé J. VOLTO, CJA, Président Honoraire de la Charte de Fontevrault (Président 1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué Officiel pour l’Italie
REFORMES ROYALES. – Des paroles au faits.
L’autorité Souveraine, qu’elle ne soit encore que restauratrice de la Nation ou, idéalement, chef Sacré de celle-ci, devra réformer le Pays. Nous allons voir son action décentralisatrice, dont le premier résultat sera d’alléger considérablement l’administration centrale et redonner au service public ses titres de noblesse. L’autorité Royale voudra être entourée de serviteurs de l’État capables de la conseiller et d’assurer ensuite l’application des décisions prises, en privilégiant l’esprit de sa politique et non pas la lettre du règlement.
Les principaux secteurs de l’activité gouvernementale resteront répartis entre les ministres, mais ceux-ci pourront les gérer avec une plus grande liberté et initiative. Ils agiront toutefois par autorité déléguée, délégation qui pourra être reprise à tout moment, les ministres n’étant désormais responsables que devant l’autorité Royale. Le Roi aura l’initiative des lois, qui seront votés au niveau national et appliqués partout et pour tous, les Français étant égaux devant la loi, quelque soit leur leur titre, leur rang, leur race et leur sexe. La relgigon catholique sera la relgion de l’Etat dit pour celà Catholique et Royal.
Il en sera de même pour les gouverneurs, représentants du Chef de l’État Royal dans chaque province métropolitaine ou ultra-marine. Nommés et révoqués par le Roi, ssistés de hauts fonctionnaires de la plupart des ministères, ils jouiront de larges pouvoirs d’administration et de réglementation. Fini les lourdes administrations locales qui dépendent l’argent du contribluable pour étudier les escargots marins!
Le traditionnel Conseil d’État, déjà héritier du Conseil du Roi, sera maintenu comme chargé de la rédaction des lois et des règlements, et juge d’appel en matière administrative. Il s’y ajoutera la fonction de simplifier l’actuelle jungle législative et de maintenir la clarté d’une législation qui doit être accessible à tous.
Le Conseil Constitutionnel sera remplacé par un Conseil Souverain dont la fonction sera de constater la vacance du pouvoir par décès ou empêchement et de désigner son nouveau titulaire, de vérifier la validité des lois européennes, d’assurer du respect des Lois Fondamentales et de la constitution de la Nation, controler le bon fonctionnement des élections municipales et législatives, arbitrer entre justice civile et justice administrative, le Roi prenant à son compte le rôle de médiateur de la Nation. C’est la raison pour laquelle le Conseil devrait être composé pour moitié de représentants de l’épiscopat Catholique, comme les archevêques les plus importants du pays, qui en seraient membres de droit, tandis que l’autre moitié des sièges serait attribuée à vie à des personnalités civiles et militaires désignées par le Chef de l’État Royal, par exemple des Princes du Sang. Le Conseil serait présié par le Roi en personne. En l’absence de celui-ci, c’est le prélat le plus ancien qui assurerait la présidence de ce conseil des sages.
Les fonctions d’administration civile étant une participation directe au gouvernement du pays seront spécialement honorées. Sauf dispense personnelle dans l’intérêt de l’État Royal , les administrateurs civils d’échelon supérieur ne pourront pas passer au service d’intérêts privés.
Comme en démocratie les intérêts partisans pèsent ordinairement sur le travail et les décisions des fonctionnaires, il est juste que l’État Royal soit globalement responsable de leur gestion. Par contre, une fois le pays débarrassé des partis politiques parasites -les représentations spirituelles, familiales et professionnelles prendront la place des partis politiques au Parlement- il sera au contraire juste que les fonctionnaires de l’État Royal soient responsables de leurs actions et de leurs décisions, pour en être récompensés ou en être blâmés, voire punis par la justice.
Les régions, les départements, les arrondissements et les cantons sont des circonscriptions administratives artificielles nées de la Révolution pour les besoins du centralisme jacobin, ils seront donc supprimés au bénéfice d’un retour aux entités traditionnelles dont les plus récentes études sociologiques et démographiques constatent l’étonnante pérennité. Cette réforme sera par conséquent un des éléments essentiels de la fonction économique du pouvoir politique, redonnant aux familles le cadre naturel de leurs associations et de leur prospérité. On restaurera donc les provinces, elles-mêmes subdivisées selon les réalités historiques et humaines– les anciens pays – regroupant plusieurs communes.
C’est dans le cadre de la province que le gouverneur Royal, aidé des directeurs provinciaux des ministères, appliquera les politiques nationales en les adaptant aux réalités régionales. Il aura la charge du maintien de l’ordre et de l’administration de la justice par les tribunaux d’appel et le tribunal administratif. À lui aussi reviendra l’importante fonction du contrôle des finances publiques des communes et des différentes associations reconnues d’intérêt public.La province sera aussi le cadre ordinaire des organisations associatives institutionnalisées, avec pouvoir délibératif. Elles pourront se regrouper au niveau national, mais uniquement dans un but de concertation et de consultation, tant il est important que les réalités locales ne soient jamais oubliées.
C’est aussi au niveau provincial que se décidera la répartition de la charge fiscale nationale et locale entre les particuliers, les entreprises, les associations.
Le gouverneur Royal réunira périodiquement les maires des communes en assemblée plénière ou restreinte aux délégués de chaque subdivision, pour les informer des politiques nationales qui les concernent et les consulter sur les affaires de la province. Il aura une grande latitude pour consulter les personnalités locales et les responsables des associations professionnelles, économiques ou sociales, en des comités qui pourront être informels ou, au contraire, institutionnalisés selon les besoins.
Les territoires d’Outre-Mer sur lesquels, à des titres divers, l’État Royal exerce sa souveraineté ou étend sa protection, constituent l’Empire. Dans l’Empire, le gouvernement exerce son autorité par l’intermédiaire de hauts fonctionnaires responsables de la sécurité intérieure et extérieure des territoires qu’ils administrent ou contrôlent. L’Empire est régi par des législations particulières. Auprès du Roi est institué un Conseil d’Empire appelé à donner son avis sur les questions intéressant le domaine Français d’outre-mer. Dans les parties de l’Empire où l’évolution sociale et la sécurité le permettent, le représentant du chef de l’État est assisté d’un conseil. consultatif. La loi fixe les conditions dans lesquelles s’exerce la participation traditionnelle de certaines colonies à la représentation nationale.
Pour la première fois, un projet politique spécifiquement Royaliste est ébauché, avec des idées sur la réforme de l’Etat. Le Roi pourrait faire sienne les Principes Royalistes d’Unité d’Action de notre Charte de Fontevrault, principes simples communs à tous les Royalistes: Le Roi pourrait faire siens également les Dix Axes Royalistes de salut national du Cercle Royaliste d’Action Française Il pourrait également faire siennes certaines suggestions du Groupe d’Action Royaliste et de l’Alliance Royale, pouvant reprendre à son compte les cents premières mesures que prendrait Yves-Marie Adelyne, fondateur de l’Alliance Royale, à titre personnel… si, par un de ces retournements dont l’histoire a le secret, la France devait revenir à l’institution qui l’a fait naître et grandir : la Royauté. Ces cents première mesures sont exposées dans le livre de Y.M. Adelyne, Le Royalisme en question (L’Age d’Homme – Editions de Paris ) , P. 296. Le Roi pourrait retenir certaines suggestion pertinantes du Groupe Royaliste d’Initiative et de Proposition Politique et du Conseil dans l’Espérence du Roi : Ce Que le roi de France Devra faire… Toutes ces mesures apportent la restauration de la Monarchie Royale Très Chrètienne, protectrice de l’identité Chrétienne de la France, de sa Souveraineté et de sa prospérité. Cette Royauté restaurée se fera en France, tout d’abord, pour inaugurer le temps de paix qui sera donné au monde : elle redonnera la Chrétienté en Europe, puis dans d’autres pays selon les desseins de la Providence Divine pour instaurer le règne universel du Christ-Roi.
Dans l’attente, la Charte de Fontevrault, http://chartedefontevraultprovidentialisme.wordpress.com/ créée le 25 Aout 1988 par le professeur Alain Texier – juriste spécialiste de droit constitutionnel et de droit nobiliaire, auteur d’un livre inégalé à ce jour, Qu’est-ce que la noblesse? http://www.chire.fr/A-128392-qu-est-ce-que-la-noblesse.aspx – a pour but de rassembler des Royalistes de toutes obédience à travers le devise Fidélité / Unité Royale: Fidélité au Prince que l’on a choisi de servir (Orléans, Bourbon, Survivance de Louis XVII, Grand Monarque encore inconnu de tous) et Unité autour du principe Royal qui est que le Roi est la seule autorité Légitime émanant de Dieu. CHOISIR SON PRINCE, C’EST DEJA ETRE REPUBLICAIN!
Notre Charte de Fontevrault est soutemtnue par sa Flotte Providentialiste, le Conseil dans l’Espérance du Roi, » l’autre Conseil des Ministres » http://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/, dont fait partie Alain Texier -chargé des fonctions qu’exerce actuellement le garde des Sceaux- et le parti Alliance Royale http://www.sylmpedia.fr/index.php/SYLM qui entend porter la question du Roi dans le débat politique sans entrer dans les questions dynastiques.
Hervé J. VOLTO, CJA, Président Honoraire de la Charte de Fontevrault (Président 1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué Officile pour l’Italie
REFORMES ROYALES. – Des paroles au faits.
L’autorité Souveraine, qu’elle ne soit encore que restauratrice de la Nation ou, idéalement, chef Sacré de celle-ci, devra réformer le Pays. Nous allons voir son action décentralisatrice, dont le premier résultat sera d’alléger considérablement l’administration centrale et redonner au service public ses titres de noblesse. L’autorité Royale voudra être entourée de serviteurs de l’État capables de la conseiller et d’assurer ensuite l’application des décisions prises, en privilégiant l’esprit de sa politique et non pas la lettre du règlement.
Les principaux secteurs de l’activité gouvernementale resteront répartis entre les ministres, mais ceux-ci pourront les gérer avec une plus grande liberté et initiative. Ils agiront toutefois par autorité déléguée, délégation qui pourra être reprise à tout moment, les ministres n’étant désormais responsables que devant l’autorité Royale. Le Roi aura l’initiative des lois, qui seront votés au niveau national et appliqués partout et pour tous, les Français étant égaux devant la loi, quelque soit leur leur titre, leur rang, leur race et leur sexe. La relgigon catholique sera la relgion de l’Etat dit pour celà Catholique et Royal.
Il en sera de même pour les gouverneurs, représentants du Chef de l’État Royal dans chaque province métropolitaine ou ultra-marine. Nommés et révoqués par le Roi, ssistés de hauts fonctionnaires de la plupart des ministères, ils jouiront de larges pouvoirs d’administration et de réglementation. Fini les lourdes administrations locales qui dépendent l’argent du contribluable pour étudier les escargots marins!
Le traditionnel Conseil d’État, déjà héritier du Conseil du Roi, sera maintenu comme chargé de la rédaction des lois et des règlements, et juge d’appel en matière administrative. Il s’y ajoutera la fonction de simplifier l’actuelle jungle législative et de maintenir la clarté d’une législation qui doit être accessible à tous.
Le Conseil Constitutionnel sera remplacé par un Conseil Souverain dont la fonction sera de constater la vacance du pouvoir par décès ou empêchement et de désigner son nouveau titulaire, de vérifier la validité des lois européennes, d’assurer du respect des Lois Fondamentales et de la constitution de la Nation, controler le bon fonctionnement des élections municipales et législatives, arbitrer entre justice civile et justice administrative, le Roi prenant à son compte le rôle de médiateur de la Nation. C’est la raison pour laquelle le Conseil devrait être composé pour moitié de représentants de l’épiscopat Catholique, comme les archevêques les plus importants du pays, qui en seraient membres de droit, tandis que l’autre moitié des sièges serait attribuée à vie à des personnalités civiles et militaires désignées par le Chef de l’État Royal, par exemple des Princes du Sang. Le Conseil serait présié par le Roi en personne. En l’absence de celui-ci, c’est le prélat le plus ancien qui assurerait la présidence de ce conseil des sages.
Les fonctions d’administration civile étant une participation directe au gouvernement du pays seront spécialement honorées. Sauf dispense personnelle dans l’intérêt de l’État Royal , les administrateurs civils d’échelon supérieur ne pourront pas passer au service d’intérêts privés.
Comme en démocratie les intérêts partisans pèsent ordinairement sur le travail et les décisions des fonctionnaires, il est juste que l’État Royal soit globalement responsable de leur gestion. Par contre, une fois le pays débarrassé des partis politiques parasites -les représentations spirituelles, familiales et professionnelles prendront la place des partis politiques au Parlement- il sera au contraire juste que les fonctionnaires de l’État Royal soient responsables de leurs actions et de leurs décisions, pour en être récompensés ou en être blâmés, voire punis par la justice.
Les régions, les départements, les arrondissements et les cantons sont des circonscriptions administratives artificielles nées de la Révolution pour les besoins du centralisme jacobin, ils seront donc supprimés au bénéfice d’un retour aux entités traditionnelles dont les plus récentes études sociologiques et démographiques constatent l’étonnante pérennité. Cette réforme sera par conséquent un des éléments essentiels de la fonction économique du pouvoir politique, redonnant aux familles le cadre naturel de leurs associations et de leur prospérité. On restaurera donc les provinces, elles-mêmes subdivisées selon les réalités historiques et humaines– les anciens pays – regroupant plusieurs communes.
C’est dans le cadre de la province que le gouverneur Royal, aidé des directeurs provinciaux des ministères, appliquera les politiques nationales en les adaptant aux réalités régionales. Il aura la charge du maintien de l’ordre et de l’administration de la justice par les tribunaux d’appel et le tribunal administratif. À lui aussi reviendra l’importante fonction du contrôle des finances publiques des communes et des différentes associations reconnues d’intérêt public.La province sera aussi le cadre ordinaire des organisations associatives institutionnalisées, avec pouvoir délibératif. Elles pourront se regrouper au niveau national, mais uniquement dans un but de concertation et de consultation, tant il est important que les réalités locales ne soient jamais oubliées.
C’est aussi au niveau provincial que se décidera la répartition de la charge fiscale nationale et locale entre les particuliers, les entreprises, les associations.
Le gouverneur Royal réunira périodiquement les maires des communes en assemblée plénière ou restreinte aux délégués de chaque subdivision, pour les informer des politiques nationales qui les concernent et les consulter sur les affaires de la province. Il aura une grande latitude pour consulter les personnalités locales et les responsables des associations professionnelles, économiques ou sociales, en des comités qui pourront être informels ou, au contraire, institutionnalisés selon les besoins.
Les territoires d’Outre-Mer sur lesquels, à des titres divers, l’État Royal exerce sa souveraineté ou étend sa protection, constituent l’Empire. Dans l’Empire, le gouvernement exerce son autorité par l’intermédiaire de hauts fonctionnaires responsables de la sécurité intérieure et extérieure des territoires qu’ils administrent ou contrôlent. L’Empire est régi par des législations particulières. Auprès du Roi est institué un Conseil d’Empire appelé à donner son avis sur les questions intéressant le domaine Français d’outre-mer. Dans les parties de l’Empire où l’évolution sociale et la sécurité le permettent, le représentant du chef de l’État est assisté d’un conseil. consultatif. La loi fixe les conditions dans lesquelles s’exerce la participation traditionnelle de certaines colonies à la représentation nationale.
Hervé J. VOLTO, CJA, Président Honoraire de la Charte de Fontevrault (Président 1991-1994), membre du Chapitre Général et Délégué Officile pour l’Italie
Pour sortir la France dans la M… élasse boueuse où François Hollande l’a mise, et face à la perversion des intelligences et des meours qui porte au suicide programmé de la nation Française et de la civilisation Chrétienne, c’est à une véritable Croisade, c’est à une véritable Contrerévolution qu’il faut en appeller!
LA CROISADE ROYALE
« Allez enseigner toutes les nations, les baptisant au Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, et leur apprenant à pratiquer tout ce que je vous ai enseigné. Et moi je suis avec vous jusqu’à la fin des siècles. » Fidèle à l’ordre du Christ et poussée par l’Esprit-Saint, l’Église, revenue de son modernisme et de son libéralisme, doit prêcher l’Évangile dans le monde entier, baptiser les nations et leur apprendre à mettre en pratique les commandements et les conseils du Seigneur. Ainsi a-t-elle le droit Souverain et le devoir absolu de s’introduire partout et par conséquent d’étendre la Chrétienté au monde entier, faisant de toutes les nations le Royaume de Dieu. Cela représente trois grandes œuvres concourantes, convergentes, que libéraux et révolutionnaires ont affreusement opposées les unes aux autres, qu’ils ont calomniées et enfin cyniquement trahies.
1. La mission des prédicateurs de l’Évangile a toujours été et doit demeurer la fonction et le charisme d’un corps d’élite dans l’Église, admiré et choyé par les Etats Catholiques comme par tous les bons Chrétiens, aidée de leurs prières et de leurs biens, aguerri pour cette tâche apostolique périlleuse que domine constamment la pensée du martyre : les missionnaires. La charité du Sauveur pour les âmes qui gisent encore dans les ténèbres, les presse, comme elle anime le Pape et les évêques qui les envoient dans les terres lointaines en leur donnant tous pouvoirs pour sauver les âmes et gagner les nations au Christ. L’Etat Catholique et Royal restauré par la Divine Providence rependra la politique Bourbonienne d’aide et de soutient aux missions.
2. La colonisation Chrétienne est la suite normale, dans l’ordre temporel, de l’évangélisation. Sous quelque forme qu’elle se présente, elle est inéluctable, et incontestablement providentielle, nécessitée et appelée par les immenses besoins des païens accédant à la vie en Chrétienté, plus encore que voulue par les Chrétiens venus de loin pour s’établir parmi eux ou pour les dominer. C’est un fait historique constant, contraire aux chimères d’une fausse charité égalitariste et subversive dont l’effet le plus clair a été de détruire les nouvelles Chrétientés et d’anéantir les missions, visées à travers la colonisation abhorrée. L’Etat Royal restaurera le culte Catholique dans ses donaines d’Outre-Mer ainsi que le Protectorat Français sur les Lieux Saints.
Le zèle spirituel a toujours été précédé, accompagné, suivi d’une charité temporelle, personnelle -celle du Roi de France- et collective, fondant des liens et des institutions politiques et économiques, empreints d’esprit Chrétien et dans cette mesure même heureux et bénis par Dieu.
3. La croisade protège et garantit la mission et la colonisation. Elle est une défense de la Chrétienté établie, elle est une menace pour les tyrans qui feraient obstacle à l’Évangile et persécuteraient les missionnaires et leurs nouveaux chrétiens, elle est parfois décrétée pour la destruction des pouvoirs persécuteurs et esclavagistes qui interdisent la prédication de l’Évangile et l’instauration pacifique des mœurs Chrétiennes, parce qu’ils font régner une terreur sanguinaire sur des peuples sans défense. Il appartiendra au Roi restauré de venir en aide aux communautés Chrétiennes en danger dans le monde.
La croisade Chrétienne est un droit Sacré, un droit de guerre dont le Souverain Pontife est le maître et le Roi de France l’exécuteur.
Dans l’attente du Roi que la Divine Providence nous donnera, le Croisé est un guerrier au service de la Vérité et non un diplomate qui compose avec l’enfer.
Les Chevaliers et les conquérants de la Croisade Eucharisitique s’engagent à faire un quart d’heure de méditation tous les jours : fort bien! Mais qu’est-ce que la méditation? c’est un prière faite au fond du coeur qui ne s’exprime pas par des paroles. C’est en quelque sorte un colloque avec Dieu par lequel nous écoutons ce qu’Il nous dit plus que nous parlions avec lui.
Comment peut-on faire la méditation?
Voici une méthode qui pourra vous aider:
1. Apprendre, c’est à dire ” se pénéter ” du sujet de la méditation. il faut lire un passaghe de l’Evangile ou un autre livre de méditation: par exemple le Cahier de l’Amour du Dr Luigi Gaspari. http://nouveauroidefrance.forumactif.org/t436-docteur-luigi-gaspari-1923-1995-fils-spirituel-du-saint-padre-pio Il faut lire lentement avec attention; si nécessaire relire, même plusieurs fois pour bien saisir le sens du texte.
2. Réfléchir, c’est à dire ” ruminer ” la chose, pour faire siennes les idées apprises jusqu’à en être pleinement convaincu. C’est le travail le plus important de la méditation, parce qu’en procède le fait de grandir spirutellement.
3. Décider d’imiter Notre Seigneur dans la pratique des vertus, afin de combattre et vaincre nos défauts. Cette désision, on la répètera plusieurs fois dans un coloque intime avec Notre Seigneur, que l’on pourra continuer aussi au cours de la journée.
NB. : dans la pratique, des trois partis -apprendre, réfléchir et décider- pourront se répéter plusieurs fois durant une même médiatation, par exemple à la fin de chaque phrase ou paroles de Notre Seigneur.
Chers Chevaliers et conquérants du Christ! Le combat vous appelle! Armez-vous de la cuirasse de la méditation!
Contre la violence sournoise qui s’exerce partout, contre l’âme de nos enfants, contre les Catholiques, contre les traditions de notre pays, contre son histoire, contre la sécurité et l’honneur de la France, les Royalistes doivent opposer en bons Croisés leur valeurs Chrétiennes, familiales et patriotiques.
Sans faiblir et sans faillir. Sans rien lâcher ni concéder. comme de vrais Chevaliers.
A tous ceux qui désirent servir de Preux Chevaliers au Divin Christ-Roi, vivre comme Chevalier Servant de Notre Dame, se mettre en marche vers la Sainte Cité de Jérusalem, tailler en eux la Pierre Vivante qui s’inclura, autour de la Pierre Angulaire, dans sa fortification pour la Cité de Dieu: qu’ils sachent qu’en ce combat rien ne sera plus utile que la pratique des trois vertus théologales -la Foi pour rester inébranlable dans la détermination; la Charité pour commander avec Amour et être sans haine, pour traiter l’adversaire qu’il faut combattre; enfin l’Espérance pour savoir qu’enfin de compte, Dieu donnera la Victoire- qu’ils sachent pratiquer les quatre vertus cardinales : Prudence, Justice, Force, Tempérance sans lesquelles la pratique de la Chevalerie n’existe pas.
Un vrai Chevalier sait que l’esprit de Croisade se doit d’être un instrument de stratégie Spirituelle, qu’il doit être conscient qu’il lui faudra se sacrifier à l’exemple des anciens Croisés. Que nouveaux Chevaliers Croisés de cette lutte “pro bene et soli Deo” (par le bien et pour Dieu) il y risque sa vie et qu’aujourd’hui comme hier “glorieux sont les héros mais plus encore les martyrs”.
La Croisade Eucharistique nous donne les principes nécessaires à la restauration de l’Ordre Social Chrétien. Ces principes sont accompagnés d’une doctrine d’action dont le but est d’oeuvrer efficacement pour le triomphe du Christ-Roi, et pour l° salut de la France et du monde: l’Appel au combat (défense de l’Eglise militante, reconnaître le Christ-Roi, la Croisade Mariale), le Croisé de Marie (la confirmation développe en nous les effets du Baptême et nous sommes alors réellement consacrés ” Croisés “, puisque nous recevons la Croix sur le front), le Croisé est entagoniste de Satan (réparateuir et rédempteur, témoin de vérité, pierre angulaire), notre combat est entièrement pour le Règne Social de Marie dans la vie individuelle, la vie familiale, la vie professionnelle, la vie politique.
Le Royalisme est une idée belle et Noble, qui satisfait ce qu’on a de meilleurs en nous même: l’héroïsme, le sens du Sacré et l’idéal !
Chacun à son poste…
Hervé J. VOLTO