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Assassiné en janvier dans les circonstances que l’on sait, l’écrivain Bernard Maris, à qui l’on doit quelques textes forts de dissidence économique et une très belle étude sur Genevoix et Jünger, laisse en héritage un livre qui va paraître ces jours prochains et qui s’intitule « Et si on aimait la France » : les longs extraits publiés dans l’hebdomadaire Marianne cette semaine (17-23 avril 2015) dévoilent quelques aspects de cet amour vrai pour une France qui, si nous n’en voyons pas tous les mêmes attraits et n’en sommes pas tous amoureux de la même manière, n’a jamais cessé d’inspirer les plus nobles sentiments et, parfois, les actions les plus folles.
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