« LE NATIONALISME C’EST LA GUERRE » MACRO INEPTIE DU CANDIDAT À LA VOIX DE FAUSSET

Emmanuel Macron qui est socialistement et radicalement inculte s’est époumoné hier avec une voix de chat écorché à ressortir une vieille rengaine de l’indigence politique. Il a repris une phrase de François Mitterrand qui, lors de sa venue au Parlement européen pour la dernière fois, avait en effet lancé : « Le nationalisme c’est la guerre ». Et il a opposé patriotisme et nationalisme. 

Notons que jusqu’ici dans ses textes de doctrine politique, l’Église catholique ne réprouvait que le nationalisme « exacerbé ». Et que patriotisme bien compris et nationalisme mesuré, c’est quasiment la même chose.

Aussi il faudrait apprendre à l’ignare qui prétend gouverner la France qu’il y eut en effet un nationalisme pervers, celui de l’idéologie des révolutionnaires jacobins de 1793 lançant la France pour des années contre toute l’Europe !

Il faudrait apprendre à M. Macron qu’il y a eu un nationalisme impérialiste raciste pervers, celui du laïciste et affairiste Jules Ferry, appelé « Ferry-Tonkin » lors des scandales financiers de la classe politique radicale de la IIIe République.

Il faudrait apprendre à M. Macron que ce n’est pas Charles Maurras mais Lénine, cher à Robert Hue, qui s’exclama ravi lors du déclenchement du premier conflit mondial : « La guerre, cet incomparable accélérateur de l’histoire ».

Il faudrait apprendre à M. Macron que ce fut Léon Blum, si admiré par son téléguideur François Hollande, qui, en 1935, commit le crime de refuser, après l’affaire du Brenner, suite à l’assassinat du chancelier autrichien de droit, d’en finir avec la peste nazie comme le voulait à l’époque l’Italien Mussolini que ce refus pousserait ensuite, irresponsablement certes, dans les bras d’Hitler. 

Il faudrait apprendre à M. Macron que ce fut en effet par antinationalisme que ce même Léon Blum refusait l’augmentation des crédits militaires. Il proférait alors l’énormité de sa conviction à propos d’Hitler que « ce caporal autrichien ayant connu dans les tranchées les horreurs de la précédente guerre ne voudrait en aucun cas en commencer une nouvelle ».

Il faudrait apprendre à M. Macron que les nationalismes qui furent en effet désastreux aussi, ce furent notamment ceux des guerres d’Indochine et d’Algérie, nationalismes révolutionnaires alors manipulés par le communisme international. Alors qu’un bon nationalisme à la française éclairait dans un cas comme dans l’autre des solutions de bien commun.

L’Institut du Pays Libre, institution de culture politique qui a appelé fermement à voter pour Marine Le Pen, sans inconditionnalité par ailleurs pour toutes ses positions ou ses propositions insuffisantes, se fait un devoir de dénoncer les énormités politiques de l’inculture franc-macronique.

               Bernard Antony

NDLRB. La Charte de Fontevrault laisse  naturellement libre ses lecteurs de participer  ou de ne pas participer à cette  élection républicaine tout en attendant avec  beaucoup d’intérêt les prochaines législatives.

0 thoughts on “« LE NATIONALISME C’EST LA GUERRE » MACRO INEPTIE DU CANDIDAT À LA VOIX DE FAUSSET

  1. daumesnil

    Peut-on encore rappeler que le national-socialisme, que les Français ne connaissent plus que sous le surnom donné par les Allemands de « nazi », ce qui permet d’oublier sa vraie nature, est un nationalisme socialiste? Cela étonne beaucoup de gens, tant la réductio ad (extremam) dextram a fonctionné…Quelle inversion!

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  2. Hervé J. VOLTO

    Si le nationalisme semble être la haine de autres, le patriotisme est bien en attendant l’Amour des siens.

    Notre Royalisme vient de notre patriotisme. Il rapporte à l’Amour de la patrie autant qu’à l’Amour d’une « nation des Francs qui a Dieu pour fondateur », ce qui est bien là la définition du nationalisme.

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  3. Catoneo

    Si la nation est un jardin, le patriote l’admire assis sous la tonnelle, va dévier un sillon moins arrosé, redresse une trémière, désherbe la lavande et prévoit d’équilibrer ce rosier qui penche trop.
    Le nationaliste patrouille à la clôture, le fusil jamais loin et son molosse en fait autant de l’autre côté, aboyant à tout ce qui passe sur le chemin. Tout ce qu’il ne reconnaît pas à cent mètres de vue le menace.

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  4. Hervé J. VOLTO

    Pour pouvoir admirer notre Jardin en paix, assis sous la tonnelle, après avoir dévié un sillon moins arrosé, redressé une trémière, désherbé la lavande et prévu d’équilibrer ce rosier qui penche trop, il faut bien un système de patrouille à la clôture, le fusil jamais loin et le molosse de l’autre côté, aboyant à tout ce qui passe sur le chemin. Sinon, serfs, sangliers, ou bien braconniers viendront piétiner le Jardin que nous avons tant choyé…

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    1. Catoneo

      Tout me dit que vous vivez « en inquisition » comme on dit chez moi !
      On ne garde pas un jardin contre les sangliers qui viennent la nuit en patrouillant avec un molosse. On fait une battue entre voisins avec des griffons qui trouent la broussaille. Faut passer le permis de chasse, Monsieur Volto 🙂

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  5. Hervé J. VOLTO

    Quand ce n’est pas de pernicieux finaciers et autre promoteurs immobiliers ne désirant rien d’autre transformer nos chateaux en supermarchés, comme à Bidache par exemple, et le Jardin autour en parking bétonné…

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  6. Hervé J. VOLTO

    LES 150 POINTS DE LA PHALANGE

    76. Le nationalisme catholique

    À la lumière de sa foi chrétienne, le phalangiste, selon le peuple auquel il appartient, l’état de fait où il est engagé, devra se faire une conviction de son nationalisme, sage, réaliste et prudente, dégagée de toute passion et de tout préjugé malsain. Il examinera la valeur politique de son appartenance à un peuple, à une nation, à un empire qu’il n’a pas choisi, en se purifiant de tout orgueil politique et du venin de l’esprit révolutionnaire. Ordinairement, il suivra la doctrine et la pratique de l’Église romaine, il acceptera l’ordre séculaire dans la fidélité aux traditions de son peuple, dans le respect des lois de sa nation et des traités internationaux.

    1. Pour le phalangiste français, le devoir est d’une admirable simplicité. Il appartient à une nation conçue par l’Église et créée par des rois qu’elle-même a choisis, baptisés, sacrés et élevés à cette souveraineté glorieuse de « lieutenants du Christ qui est vrai Roi de France » (Jeanne d’Arc), garantie par tant de prophéties, de miracles et de sainteté. Le nationalisme français n’a donc rien de révolutionnaire, rien d’agressif. Il est conservateur et créateur d’ordre. Le renforcer, c’est aider à la prospérité et à l’élévation des peuples qu’il rassemble, c’est participer à la restauration d’une communauté pacifique des nations et à l’extension de la civilisation humaine.

    2. Le nationalisme français ne peut être confondu avec n’importe quel nationalisme des autres pays européens et même latins, tous différents ; il ne doit pas conduire à une fraternité idéologique et à une entente entre les nationalistes de tous les peuples et de tous les pays. Car le substantif d’où se prend la valeur d’un nationalisme, n’est pas l’idée de nation qui pourrait être équivalemment française, allemande, ou russe ou indienne. C’est la nation. Chaque nation a ses droits particuliers à l’existence, sa position singulière dans le nécessaire équilibre mondial, valeurs auxquelles on porterait un tort immense en les ramenant, en les réduisant à un dénominateur commun… international !

    Le nationalisme français est parfait, de la perfection incomparable de la France, fille aînée de l’Église, seconde patrie de tout homme civilisé. Il nous dicte notre devoir d’ardente fidélité, d’amour, de confiance et de dévouement dans sa défense jusqu’à la mort ; il est un intérêt quotidien porté au bien commun, à l’ordre intérieur, aux alliances, à la sécurité, au rayonnement de notre pays dans le monde.

    3. Ainsi considérée, la nation historique, civilisée, facteur de communauté internationale, d’équilibre et de paix, est une part du dessein de Dieu dans le monde pour le salut éternel des hommes et leur bonne vie temporelle. L’Anti-France est antichrétienne. Le phalangiste, bon chrétien, sera donc bon français !

    Il en va de même pour les autres nations ou patries catholiques, même si elles n’ont pas atteint dans le passé le même degré de perfection politique que le royaume des Lys. La France ayant perdu le sien doit le retrouver, les autres ne l’ayant pas encore eu peuvent le conquérir. Les principes que nous allons définir dans la suite s’appliquent excellemment à la France, les autres nations pourront les adapter à la réalité de leur situation, ou les adopter comme un idéal à atteindre à plus longue échéance, en fonction des desseins divins et de leur attachement à l’Église catholique.

    4. Comme la restauration de la monarchie en France paraît difficile aujourd’hui sans une œuvre de contre-révolution préalable, et comme d’autres pays catholiques n’ont pas de tradition monarchique, nous préférons utiliser l’expression autorité souveraine ou encore chef de l’État dans la suite de l’exposé de notre doctrine puisque celle-ci peut inspirer d’autres formes de pouvoir souverain que la royauté.

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  7. Hervé J. VOLTO

    LES 150 POINTS DE LA PHALANGE

    79. La restauration d’une autorité souveraine et légitime

    La « divine surprise » que nous accordera notre Mère Immaculée sera donc d’abord la restauration de l’autorité politique. Elle la fera en Russie tout d’abord pour inaugurer le temps de paix qui sera donné au monde, elle l’opèrera aussi en France certainement, puis dans d’autres pays selon les desseins de la Providence divine pour instaurer le règne universel du Christ-Roi.

    Le pouvoir de ce souverain voué au bien commun de la nation sera légitime, c’est-à-dire qu’il pourra justifier son autorité et obtenir le consentement du peuple qui y verra une réalité fondamentale, une vérité, une bonté, une beauté souveraines.

    Cette légitimité peut résulter, tout d’abord, du simple rétablissement de l’ordre et de la paix par la force. C’est la légitimité antérieure. Dans le chaos, la ruine, le plus fort, roi, dictateur ou chef, bon ou mauvais, impose sa loi.

    Cependant, aucun pouvoir ne pouvant durer en s’appuyant uniquement sur la force, il lui faut acquérir une légitimité naturelle par les services rendus à son peuple qui, en retour, lui manifeste une reconnaissance capable de consacrer son autorité. Ces services concernent les nécessités naturelles : gérer l’ordre, faire respecter la justice, défendre le peuple contre les ennemis, assurer les conditions de la prospérité du pays.

    Cette légitimité naturelle est déjà de droit divin, car l’auteur des lois naturelles des États est Dieu lui-même. Si bien que le peuple ne doit pas seulement trouver intérêt à être sagement gouverné, mais, plus profondément, il doit éprouver le sentiment religieux de la soumission due à une autorité en laquelle se manifeste la puissance divine pour son bien et pour aider au salut des âmes.

    Cependant, cette légitimité naturelle ne change en rien l’homme qui en est investi, cela ne le “ sanctifie ” pas nécessairement et nous sommes encore à ce point au niveau de la nature commune, à ne pas confondre avec la grâce du Christ et la vie surnaturelle ! qui interviennent dans une troisième sorte de légitimité : la légitimité mystique chrétienne.

    Cette dernière repose sur la fidélité populaire enracinée dans la foi catholique : la vertu d’obéissance religieuse que pratique le fidèle entraîne dans son sillage l’obéissance politique, et la transforme, la “ surnaturalise ”. Dans ce cas, c’est la foi au Christ qui conduit à la fidélité au souverain.

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  8. Hervé J. VOLTO

    LES 150 POINTS DE LA PHALANGE

    80. …Et donc antidémocratique

    Puisque le souci du bien commun de la nation doit guider l’autorité politique et fonder sa légitimité, il en résulte :

    1. Que la République, c’est-à-dire le régime politique fondé sur le système démocratique hérité de la Révolution, n’a aucune légitimité, sinon de fait. Le simple jeu des institutions démocratiques, en tout premier lieu la mécanique électorale, divise la nation, favorise l’impiété et l’immoralité, détruit les institutions naturelles protectrices pour assujettir les citoyens à une administration enveloppante et oppressive ; pas de victoire électorale sans mensonges, illusions, fausses promesses, surenchères entre les partis ; pas de régime démocratique sans centralisation du pouvoir, sans écrasement des minorités, sans puissance des pouvoirs occultes financiers.

    En outre, les chrétiens ne peuvent se soumettre que d’une manière tout extérieure et pragmatique, à des autorités « démocratiques » fondées sur le culte de l’homme, qui se prétendent l’expression de leurs propres consciences, convictions et volontés ! Si l’autorité commande au nom de Dieu, au nom de son droit divin, il faut évidemment lui obéir ; mais si elle prétend me commander en mon nom, de par mon droit et pour ma liberté, alors je n’ai plus qu’à m’obéir à moi-même.

    Le pouvoir démocratique est donc inexistant. Le phalangiste ne lui reconnaît aucun droit sur lui, sur sa famille, sur la nation, sinon de fait et d’ordre public.

    2. De cette constatation et de la sinistre litanie de la corruption démocratique, il résulte que toute autorité souveraine légitime devra nécessairement viser à un renversement spirituel, mental et moral de l’idéologie démocratique et du sentiment républicain.

    Il faut souhaiter aussi que les circonstances permettent de se débarrasser au plus vite des institutions démocratiques. Si ce n’est pas opportun de le faire ou si c’est encore impossible pour diverses raisons, il faudra tout au moins que l’autorité souveraine s’en défie et prévoie des mécanismes institutionnels pour en limiter les ravages, contrer la corruption, éviter la division de la nation. C’est une condition essentielle de sa propre légitimité.

    3. En face du régime démocratique, l’excellence du pouvoir personnel n’est pas à démontrer. Le monarque, dictateur et roi, libre souverain, chef-né ou même usurpateur, gouverne au-dessus des intérêts particuliers, des puissances d’argent et des pressions partisanes. Il décide de toutes choses politiques en dernier appel.

    Cette théorie de la monarchie exclut absolument la démocratie polyarchique et la monocratie plébiscitaire, mais non pas cependant certaines républiques traditionnelles, où le pouvoir est collégial certes, mais cependant indivisible et souverain.

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  9. Hervé J. VOLTO

    LES 150 POINTS DE LA PHALANGE

    100. En attendant l’heure du triomphe

    En attendant l’heure du triomphe du Cœur Immaculé de Marie et de la « divine surprise » qui redonnera à notre nation un chef d’Etat souverain,

    1. La Phalange, d’abord, travaille à la conversion catholique du pays, de ses élites, conversion qui, pour être sincère, doit conduire à la haine de la Révolution, au rejet de la démocratie, à l’aspiration des cœurs et des esprits vers la monarchie. Que d’abord les gens d’Église cessent de nuire à la patrie par leurs compromissions, leurs ralliements et finalement leur hérésie politique, leur apostasie, substituant l’homme à Dieu dans tout le domaine temporel !

    Et déjà ce sera la moitié du travail, car qui a l’Église avec soi est assuré de vaincre.

    2. Si nécessaire et si elle en a le moyen par la volonté de Dieu, le moment venu, la Phalange, se formera en Ligue, en mouvement héroïque, nationaliste et entrera dans le combat politique légal pour la conquête du pouvoir, prêchant en un « complot à ciel ouvert » le salut national et humain contre les partis démocratiques et les faux frères conservateurs et libéraux.

    3. La Phalange exclut par principe, sincèrement et absolument, l’idée d’un coup de force, qui exalte les têtes folles, détourne de la conquête méthodique des élites, provoque des violences incontrôlées, des infiltrations policières, des machinations occultes, enfin déclenche des répressions illimitées. Mais elle pourra faire appel à l’armée, ultime recours de la nation en danger, seule habilitée de droit à s’emparer du pouvoir pour instaurer une légitimité nouvelle.

    4. La restauration de l’autorité souveraine, en vue ou non de la restauration de la Monarchie, ne doit, ne peut pas être la création spontanée d’un parti ou d’un peuple, dans l’instant, soulevé en contre-révolution. Elle sera, nous l’avons dit, l’œuvre du Cœur Immaculé de Marie, puisque même le grand œuvre commencé en 1900 par l’Action française de Charles Maurras et de tant d’autres admirables patriotes, catholiques pour la plupart, légitimistes sans peur et sans reproche, n’a pas abouti faute de dévotion vraie au Cœur de Jésus et de Marie. Mais elle sera le beau fruit d’une maturation spirituelle, intellectuelle et morale, magistralement effectuée par l’abbé de Nantes, c’est à cette œuvre catholique et française, royaliste et providenbtialiste, que s’appliquera la prophétie du saint pape Pie X aux monarchistes français : « cette œuvre aboutira. »

    Et puis, la France entraînera le monde !

    5. Quand Dieu voudra il rendra au Christ, son Fils, Notre-Seigneur, son royaume de jadis et il l’étendra jusqu’aux extrémités de la terre, plus beau que jamais, royaume saint, Jérusalem céleste. La Chrétienté, « seule internationale qui tienne », demain, « sera le genre humain ». Le drapeau rouge, frappé du Cœur et de la Croix d’or, symboles de notre salut, étendard de la Phalange, annonce cette victoire dans le Sang du Christ pour la gloire du Dieu des miséricordes.

    6. Cela ne sera pas sans de grandes souffrances, persécutions, oppressions et guerres, mais aussi de grands miracles, de grands signes dans le Ciel et une aide visible des légions angéliques, des phalanges célestes, venant au secours des nations chrétiennes. Il faut seulement tenir ferme notre étendard, sans sacrifier aux idoles modernes, sans pactiser avec les oligarchies régnantes, sans rejoindre les masses démoralisées, déchristianisées. Il faut conserver et enrichir notre tradition légitimiste jusqu’à ce que les cœurs changent et que les peuples, acclamant leur Dieu et leurs rois, restaurent l’ordre chrétien universel.

    7. C’est l’Église qui détient les clefs de la Renaissance catholique et de la restauration de nos nations. Ce qu’elle ne veut pas n’est pas, ce qu’elle veut se fera. Hors de l’Église, il n’y a pas de salut, ni pour la France, ni pour l’Europe, ni pour le monde. Mais par l’Église le salut viendra à la France, avec une miraculeuse aisance, -NOUS PARLONS D’IUNE EGLISE REVENUE DE SON MODERNISME ET DE SON LIBERALISME- et par la France aux autres vieilles nations chrétiennes et au monde. Car ce qui a été perdu par elles se retrouvera aussi par elles, selon le dessein de l’infinie sagesse et miséricorde de notre Dieu.

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