Le camp macroniste; lieu de toutes les convergences mondialistes et transhumanistes

D’abord, la satisfaction que l’on peut éprouver de voir desserré le carcan du pays légal – avec l’échec du PS et des Républicains, tous deux en voie de disparition  – ne doit pas confiner à l’euphorie puisque les deux camps qui restent en présence sont, pour l’un le lieu de toutes les convergences mondialistes et transhumanistes (NDLRB . Et l’on sait  que c’est  celui-ci qui l’a emporté)  et pour l’autre celui  d’irrépressibles pulsions jacobines.    Et voilà pour la doctrine !

Ensuite,  nous prenons acte du fait que nos abonnés, en fonction des deux polarités de nos réseaux : société civile/décentralisation d’un côté et identité/pérennité nationale de l’autre, puissent  – au hasard d’un scrutin – s’abandonner à tel ou tel vote. Ce partage est singulièrement vrai chez les responsables de diasporas, très partagés entre les deux candidat(e)s. Nous continuerons donc à tenir les deux bouts d’une chaine qui concilie l’autorité au sommet et la liberté dans la société. Et voici pour la stratégie !

Enfin il y a tout lieu de penser que la vie continuera lundi 8 mai et que chacun devra prendre acte des distorsions et fractures qui affecteront tant le pays légal que la société civile et qu’il s’agira de privilégier, territoire par territoire, la constitution de pôles locaux de résistance aux forces dissolvantes. A l’occasion des élections législatives ce sera l’occasion de privilégier circonscription par circonscription, les candidats les mieux à même re relayer localement nos initiatives. Et voilà pour la tactique !

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0 thoughts on “Le camp macroniste; lieu de toutes les convergences mondialistes et transhumanistes

  1. Hervé J. VOLTO

    Au contraire du Macronisme, la Royauté en France, c’est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle da la Tradition; en politique, il participe du principe d’expension-évangélisation dont Léon XIII reprendra l’idée : tout le contraire de l’actuel euro-mondialisation islamisante ! C’est ausi un Royalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c’est mourir pour le Salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires; c’est n fin, face à l masse, l’afirmation de la personne.

    Dans l’œuvre de Jean Raspail, Le Roi au-delà de la mer, ouvrage séduisant au cœur de tout royaliste, qui ne peut qu’espérer et rêver à son tour à ce que pourrait accomplir le souverain combattant, le souverain en marche vers son trône. Le principe du livre est cependant de l’ordre du rêve. Raspail s’adresse aux princes de France dans un roman lettre-ouverte, mais son prince est fictif. Lequel est-il ? Nous n’en savons rien. Louis, Jean, Henri, cela a peu d’importance. Le Prince a les traits de l’auteur, il conserve son panache, s’éloigne de toute compromission, même avec son propre milieu, prend le large pour se faire désirer, rendre sa présence indispensable par l’absence. Evidemment, quelle autre destination Raspail pouvait-il choisir que l’Ecosse ? Son prince marche dans les traces du Bonny Prince Charlie, Charles Stuart.

    Raspail connaît et développe l’histoire de la duchesse de Berry qui, en 1832, essaya de reconquérir son trône avec panache et bravoure. Elle échoua, mais la cause n’était pas perdue d’avance, tout comme celle de Charles Stuart ne le fut pas. Ils se donnèrent les moyens de vaincre, trempèrent leurs mains dans des coffres d’or, du sang frais et l’encre de missives secrètes.
    Au soir de sa vie, Jean Raspail a proclamé, dans plusieurs entretiens à la presse, sa certitude que la France n’est pas morte, que son âme est en dormition mais que les germes sont là pour le renouveau, le grand sursaut du peuple sur le sol de la patrie. Comme nous aimerions que le vieux lutteur, reprenant la plume une dernière fois, nous fît part, dans un roman, en guise de testament, de cette espérance éclatante…

    LES FOUS DU ROI savent quand à eux que le Phantôme de l’Opéra est assis dans la pénombre sur un siège avec accoudoirs, regardant sur son écran les évènements avec le même détachement de qui regarde un match de foot, fumant un bon Havanne dont la fumée s’acccummule au plafond, déborde par la fenêtre ouverte pour s’ajouter aux nuages menaçant qui s’ammoncellent dangereusement…

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