Le docteur Carrel (Français, 1873-1944), (NDLRB. Prix Nobel de médecine en 1912 ) un des plus remarquables chirurgiens de son temps, avait perdu la foi à la fin de ses études à Paris où les pontifes du positivisme, Berthelot, Taine, Renan ensorcelaient les esprits des étudiants. Il n’y avait, d’après eux, que ce qui se voyait ou se touchait qui fût réel. Dieu, l’âme, le monde spirituel n’étaient que des produits de l’imagination.
Carrel toutefois, souhaitait étudier scientifiquement ce qui se passait à Lourdes et les miracles dont on parlait beaucoup. La Providence s’en mêla. Un médecin, son ami, empêché d’accompagner un train de malades allant à Lourdes, le pria de le remplacer, et il accepta. Il lui recommanda spécialement une jeune malade, Marie Ferrand, presque mourante.
Le voyage fut pénible. Il fallut, la nuit, soutenir la malade par des piqûres et de même à l’hôpital. C’est tout juste si elle put obtenir d’être transportée à la Grotte. Son visage, déjà cadavérique, sa voix imperceptible, tout faisait craindre un dénouement fatal. On la transporta tout de même sur une civière. Le docteur Carrel se tenait près d’elle.
Tout à coup, après une fervente supplication à la Sainte Vierge, la moribonde se mit à parler : « je me sens guérie », dit-elle. Carrel, l’observant fut bouleversé. L’enflure avait disparu, le visage se colorait, les yeux brillaient, le pouls était redevenu normal. « Il était 2h40, a noté Carrel, à trois heures, je ne pouvais douter : Marie Ferrand était guérie… ».
« Et, ajouta-t-il, je me suis mis à errer comme un halluciné, me répétant : j’ai vu un miracle ! La Sainte Vierge existe, Dieu existe… » Après une heure de trouble, Carrel revint à la Basilique et, s’agenouillant, il fit une fervente prière à la Sainte Vierge. Dieu l’avait converti.
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https://www.breizh-info.com/2018/03/23/92576/memoricide-les-communistes-veulent-debaptiser-la-rue-alexis-carrel … Et il y eut bien d’autres exemples |
Oui, j’avais entendu parler de ce cas, mais je ne me souvenais plus qu’il s’agissait du docteur Carrel : un des plus grands médecins de son époque dont les découvertes – je pense en particulier à la lotion Daquin – sauva un grand nombre de blessés sous tous les uniformes pendant la « grande guerre » ! et je sais aussi, hélas, que des imbéciles (pour ne pas dire des salauds) veulent et réussissent, vu la lâcheté ambiante, à le chasser de la mémoire collective : nom de rues, de places, d’hôpitaux même (un comble) !
Amitiés à tous.