Le titre de cette réflexion pourra heurter les latinistes éclairés, passer pour une cacographie voire un barbarisme. Cette dernière définition correspondant on ne peut mieux aux origines du personnage que je vais vous décrire, je vous prierai de pardonner mon ignorance.
La version française avait pour ambition de présenter un « sans culottes politique ». L’œuvre a débuté les 10 et 11 novembre 2019 pour s’achever le 17 novembre à l’aube du jour.
Le 10 novembre 496 avait lieu la bataille de Tolbiac. Clovis roi des Francs saliens viendra en aide au roi des Francs rhénans. Lors de la bataille, face à une situation critique, il implorera le Dieu de son épouse Clotilde afin d’obtenir la victoire. Il fera le vœu de se convertir si le Ciel répondait à sa supplique. C’est ce qu’il adviendra, vous connaissez la suite.
Le 11 novembre commémorait l’armistice de 1918. La terrible boucherie de la Première Guerre mondiale et les bouleversements mondiaux qui en découleront nous donnaient la preuve que la France avait une fois de plus été protégée par la Très Sainte Vierge comme en 1870. Son ingratitude la plongera de nouveau dans l’abîme vingt et un ans plus tard. Ce 11 novembre nous fêtions également saint Martin de Tours. Nous connaissons tous ce soldat romain qui avant même sa conversion partagera son manteau avec un pauvre touchant le Christ par son geste. Ce 17 novembre nous fêtons saint Grégoire le thaumaturge, évêque et confesseur.
Le personnage assis dans ce fauteuil est issu d’un courant de pensée qui s’est imposé dans l’histoire au point de renverser la monarchie française. Il semble qu’il ait été influencé par des idées issues de milieux intellectuels dont certains œuvraient dans le plus grand secret. Ces hommes revendiquaient une ou plusieurs origines car le polymorphisme était dans leurs gênes.
La Phrygie, terre lointaine située autrefois en Asie Mineure fut l’une de leurs terres d’inspiration. Le plus grand des rois phrygiens, paysan d’extraction reçut le trône à la suite d’un oracle. Un certain Pâris que l’on disait phrygien portait le bonnet du même nom, vous pouvez en percevoir la forme sur la partie haute du fauteuil derrière la tête du personnage. Signe des temps, un autre Pâris, garde royal de son état, tuera le comte Louis-Michel Le Peletier de Saint-Fargeau gagné aux idées révolutionnaires. Ce, quelques heures avant l’exécution de Louis XVI. Le comte deviendra leur premier martyr.
Ce bonnet, symbole de l’affranchissement, sera adopté par ce courant de pensée en marche vers la prise du pouvoir. Il est à noter que la Phrygie fut rapidement évangélisée ce qui peut porter à réfléchir sur ce choix éclairé des lumières.
La singerie des ordres convoités, le symbolisme, rivaliseront rapidement avec les disciplines séculaires des institutions honnies qui bientôt subiront la haine et la vengeance de ces penseurs lumineux. N’oublions pas que si l’habit ne fait pas le moine, le trône ne fait pas le roi.
Ce personnage est peut-être un bourgeois que le travail acharné, les réseaux lentement tissés ont élevé dans l’ordre social.
A-t-il accédé à la noblesse et en a-t-il adopté les manières délicates ? Ils seront plusieurs dans son cas à s’élever dans cette hiérarchie pyramidale mais l’âpreté des rapports, le poids de l’étiquette et le souvenir renouvelé de leur origine modeste pousseront certains à embrasser le vent de liberté qui bientôt embrasera le royaume.
Ainsi ces meneurs portent-ils la culotte, symbole de leur prise de pouvoir lente et méthodique mais ils dirigent ceux que l’on nomme les sans-culottes, ces hommes du petit peuple acquis à leurs idées de liberté et qu’ils savent mieux que personne manipuler. La convoitise, la haine, la concupiscence, l’esprit de revanche, une morale détournée qui leur permettra de maintenir un semblant d’ordre seront leurs armes de manipulation des masses. Ils brandiront la liberté la promettront au peuple mais se garderont bien de leur concéder. Ils parleront d’égalité alors même que ce sont les ors et le pouvoir des rois qu’ils viseront. Ils invoqueront la fraternité mais leurs débats, leurs guerres intestines entre factions rivales et bientôt le meurtre mécanique à grande échelle feront la démonstration de leur diabolique possession.
Ils deviendront les pères des génocides et des mémoricides. Ils se jetteront dans cette quête du pouvoir à en perdre la tête au propre et au figuré.
Sous ses atours élégants, sa posture prétentieuse et arriviste, ce personnage incarne cette longue lignée qui gouverne encore la France. Ils ont tué le roi ayant pour principal attrait de s’accaparer les pouvoirs du trône désormais sanglant. Ils sont d’apparences très respectables, ont le verbe haut et acéré car ils ne peuvent tous gouverner d’autant que la division est leur marque de fabrique.
Les places sont chères et ils feront tout au prix des pires bassesses pour s’approprier les faveurs de celui qui prendra le pouvoir. La tromperie et le maintien du peuple sous un joug prétendument libertaire provoqueront la révolte jusqu’à nos jours car leur fondation est usurpée et leurs promesses mensongères.
Il faut prendre garde à leurs discours tantôt guerriers ou pacifistes car quelle que soit leur tête d’affiche, les troubles sociaux, la guerre, la haine font partie de leur héritage premier.
Que sont devenus les descendants de cette caste naissante qui à la face du monde renversa une monarchie séculaire. Ils n’ont pas changé, la discorde et la soif de pouvoir les animent toujours. Ils sont passés maîtres dans la manipulation des foules. Ils tiennent le peuple par le jeu et le sang. La pègre sous toutes ses formes ne s’est jamais mieux portée, le mondialisme a fait son apparition et désormais le pouvoir leur a échappé. Ils sont à leur tour des marionnettes à la solde de penseurs occultes que l’argent fiduciaire porte au sommet de cette nouvelle pyramide de verre et d’acier.
Le personnage tourne sa tête comme apeuré. Que se passe-t-il ? Il semble qu’une voix hideuse sortie de nulle part lui ait parlé. Il ne comprend pas, la foi a été combattue, Dieu remplacé par un grand architecte et la Très Sainte Vierge par une déesse raison.
Mais cette voix lui a glacé le sang, sa main droite descend lentement afin de saisir son épée, la république comme ils la nomment doit vaincre ou mourir. Au plus profond de lui, il comprend qu’il est perdu car il ne peut renoncer à ce pouvoir durement acquis, la voix se fait pressante et impérieuse, la peur le possède entièrement. Il pense alors à son enfance pieuse dans cette monarchie protectrice qu’il avait appris à aimer osera-t-il risquer sa vie pour dénoncer cette hydre dévorante dont-il vient de percevoir le vrai visage ?
Matthieu 23-28
« Mais Jésus se retournant dit à Pierre : arrière de moi, Satan ! Tu m’es un scandale ; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes. Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa Croix et qu’il me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? Où que donnerait un homme en échange de son âme ? Car le Fils de l’homme doit venir dans la gloire de son Père, avec les anges ; et alors il rendra à chacun selon ses œuvres.
Je vous le dis en vérité, quelques-uns de ceux qui sont ici ne mourront point, qu’ils n’aient vu le Fils de l’homme venir dans son règne » https://louischiren6.wixsite.com/peintreetpoete/le-politique-sans-culotte
https://conseildansesperanceduroi.files.wordpress.com/2019/11/unknown-3.jpeg
https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2019/11/10/la-republique-en-marche-les-rats-sont-de-plus-en-plus-nombreux-a-quitter-le-navire/
SINE PANTIES CONSILIUM
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Le titre de cette réflexion pourra heurter les latinistes éclairés, passer pour une cacographie voire un barbarisme. Cette dernière définition correspondant on ne peut mieux aux origines du personnage que je vais vous décrire, je vous prierai de pardonner mon ignorance.
La version française avait pour ambition de présenter un « sans culottes politique ». L’œuvre a débuté les 10 et 11 novembre 2019 pour s’achever le 17 novembre à l’aube du jour.
Le 10 novembre 496 avait lieu la bataille de Tolbiac. Clovis roi des Francs saliens viendra en aide au roi des Francs rhénans. Lors de la bataille, face à une situation critique, il implorera le Dieu de son épouse Clotilde afin d’obtenir la victoire. Il fera le vœu de se convertir si le Ciel répondait à sa supplique. C’est ce qu’il adviendra, vous connaissez la suite.
Le 11 novembre commémorait l’armistice de 1918. La terrible boucherie de la Première Guerre mondiale et les bouleversements mondiaux qui en découleront nous donnaient la preuve que la France avait une fois de plus été protégée par la Très Sainte Vierge comme en 1870. Son ingratitude la plongera de nouveau dans l’abîme vingt et un ans plus tard. Ce 11 novembre nous fêtions également saint Martin de Tours. Nous connaissons tous ce soldat romain qui avant même sa conversion partagera son manteau avec un pauvre touchant le Christ par son geste. Ce 17 novembre nous fêtons saint Grégoire le thaumaturge, évêque et confesseur.
Le personnage assis dans ce fauteuil est issu d’un courant de pensée qui s’est imposé dans l’histoire au point de renverser la monarchie française. Il semble qu’il ait été influencé par des idées issues de milieux intellectuels dont certains œuvraient dans le plus grand secret. Ces hommes revendiquaient une ou plusieurs origines car le polymorphisme était dans leurs gênes.
La Phrygie, terre lointaine située autrefois en Asie Mineure fut l’une de leurs terres d’inspiration. Le plus grand des rois phrygiens, paysan d’extraction reçut le trône à la suite d’un oracle. Un certain Pâris que l’on disait phrygien portait le bonnet du même nom, vous pouvez en percevoir la forme sur la partie haute du fauteuil derrière la tête du personnage. Signe des temps, un autre Pâris, garde royal de son état, tuera le comte Louis-Michel Le Peletier de Saint-Fargeau gagné aux idées révolutionnaires. Ce, quelques heures avant l’exécution de Louis XVI. Le comte deviendra leur premier martyr.
Ce bonnet, symbole de l’affranchissement, sera adopté par ce courant de pensée en marche vers la prise du pouvoir. Il est à noter que la Phrygie fut rapidement évangélisée ce qui peut porter à réfléchir sur ce choix éclairé des lumières.
La singerie des ordres convoités, le symbolisme, rivaliseront rapidement avec les disciplines séculaires des institutions honnies qui bientôt subiront la haine et la vengeance de ces penseurs lumineux. N’oublions pas que si l’habit ne fait pas le moine, le trône ne fait pas le roi.
Ce personnage est peut-être un bourgeois que le travail acharné, les réseaux lentement tissés ont élevé dans l’ordre social.
A-t-il accédé à la noblesse et en a-t-il adopté les manières délicates ? Ils seront plusieurs dans son cas à s’élever dans cette hiérarchie pyramidale mais l’âpreté des rapports, le poids de l’étiquette et le souvenir renouvelé de leur origine modeste pousseront certains à embrasser le vent de liberté qui bientôt embrasera le royaume.
Ainsi ces meneurs portent-ils la culotte, symbole de leur prise de pouvoir lente et méthodique mais ils dirigent ceux que l’on nomme les sans-culottes, ces hommes du petit peuple acquis à leurs idées de liberté et qu’ils savent mieux que personne manipuler. La convoitise, la haine, la concupiscence, l’esprit de revanche, une morale détournée qui leur permettra de maintenir un semblant d’ordre seront leurs armes de manipulation des masses. Ils brandiront la liberté la promettront au peuple mais se garderont bien de leur concéder. Ils parleront d’égalité alors même que ce sont les ors et le pouvoir des rois qu’ils viseront. Ils invoqueront la fraternité mais leurs débats, leurs guerres intestines entre factions rivales et bientôt le meurtre mécanique à grande échelle feront la démonstration de leur diabolique possession.
Ils deviendront les pères des génocides et des mémoricides. Ils se jetteront dans cette quête du pouvoir à en perdre la tête au propre et au figuré.
Sous ses atours élégants, sa posture prétentieuse et arriviste, ce personnage incarne cette longue lignée qui gouverne encore la France. Ils ont tué le roi ayant pour principal attrait de s’accaparer les pouvoirs du trône désormais sanglant. Ils sont d’apparences très respectables, ont le verbe haut et acéré car ils ne peuvent tous gouverner d’autant que la division est leur marque de fabrique.
Les places sont chères et ils feront tout au prix des pires bassesses pour s’approprier les faveurs de celui qui prendra le pouvoir. La tromperie et le maintien du peuple sous un joug prétendument libertaire provoqueront la révolte jusqu’à nos jours car leur fondation est usurpée et leurs promesses mensongères.
Il faut prendre garde à leurs discours tantôt guerriers ou pacifistes car quelle que soit leur tête d’affiche, les troubles sociaux, la guerre, la haine font partie de leur héritage premier.
Que sont devenus les descendants de cette caste naissante qui à la face du monde renversa une monarchie séculaire. Ils n’ont pas changé, la discorde et la soif de pouvoir les animent toujours. Ils sont passés maîtres dans la manipulation des foules. Ils tiennent le peuple par le jeu et le sang. La pègre sous toutes ses formes ne s’est jamais mieux portée, le mondialisme a fait son apparition et désormais le pouvoir leur a échappé. Ils sont à leur tour des marionnettes à la solde de penseurs occultes que l’argent fiduciaire porte au sommet de cette nouvelle pyramide de verre et d’acier.
Le personnage tourne sa tête comme apeuré. Que se passe-t-il ? Il semble qu’une voix hideuse sortie de nulle part lui ait parlé. Il ne comprend pas, la foi a été combattue, Dieu remplacé par un grand architecte et la Très Sainte Vierge par une déesse raison.
Mais cette voix lui a glacé le sang, sa main droite descend lentement afin de saisir son épée, la république comme ils la nomment doit vaincre ou mourir. Au plus profond de lui, il comprend qu’il est perdu car il ne peut renoncer à ce pouvoir durement acquis, la voix se fait pressante et impérieuse, la peur le possède entièrement. Il pense alors à son enfance pieuse dans cette monarchie protectrice qu’il avait appris à aimer osera-t-il risquer sa vie pour dénoncer cette hydre dévorante dont-il vient de percevoir le vrai visage ?
Matthieu 23-28
« Mais Jésus se retournant dit à Pierre : arrière de moi, Satan ! Tu m’es un scandale ; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes. Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa Croix et qu’il me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera. Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? Où que donnerait un homme en échange de son âme ? Car le Fils de l’homme doit venir dans la gloire de son Père, avec les anges ; et alors il rendra à chacun selon ses œuvres.
Je vous le dis en vérité, quelques-uns de ceux qui sont ici ne mourront point, qu’ils n’aient vu le Fils de l’homme venir dans son règne »
https://louischiren6.wixsite.com/peintreetpoete/le-politique-sans-culotte