C’est exactement ce qu’Erdogan penset de reconsituer : un califa ottoman !
Les tensions internationales entre la Russie et la Turquie au Moyen-Orient, conséquences de la politique irraisonnée de l’Occident en Irak, en Lybie et en Syrie, viennent de déclencher une nouvelle vague de submersion migratoire à la frontière grecque. L’Europe subit le chantage d’Erdogan, leader Ottoman, qui recherche le soutien des occidentaux dans sa politique d’expansion en Syrie. Rappelons que le grand Turc est, contre tout réalisme géopolitique, membre de l’OTAN et candidat à l’entrée dans l’Union Européenne. Après avoir racketté financièrement Bruxelles pour contenir les vagues migratoires venues d’Afrique et du Proche-Orient, qui sont déjà en elles-mêmes un commerce avantageux, il reprnd sa parole et utilise les migrants comme une arme de déstabilisation politique de l’Europe. Des masses d’individus, majoritairement de jeunes hommes, brûlent tout sur leur passage aux cris d’Allah Akbar, ce qui n’a pas empêché Bruxelles et l’OTAN de soutenir Ankara dans ses démêlés avec le régime d’Assad et son allié Russe.
C’est exactement ce qu’Erdogan penset de reconsituer : un califa ottoman !
Les tensions internationales entre la Russie et la Turquie au Moyen-Orient, conséquences de la politique irraisonnée de l’Occident en Irak, en Lybie et en Syrie, viennent de déclencher une nouvelle vague de submersion migratoire à la frontière grecque. L’Europe subit le chantage d’Erdogan, leader Ottoman, qui recherche le soutien des occidentaux dans sa politique d’expansion en Syrie. Rappelons que le grand Turc est, contre tout réalisme géopolitique, membre de l’OTAN et candidat à l’entrée dans l’Union Européenne. Après avoir racketté financièrement Bruxelles pour contenir les vagues migratoires venues d’Afrique et du Proche-Orient, qui sont déjà en elles-mêmes un commerce avantageux, il reprnd sa parole et utilise les migrants comme une arme de déstabilisation politique de l’Europe. Des masses d’individus, majoritairement de jeunes hommes, brûlent tout sur leur passage aux cris d’Allah Akbar, ce qui n’a pas empêché Bruxelles et l’OTAN de soutenir Ankara dans ses démêlés avec le régime d’Assad et son allié Russe.