Martel attire votre attention sur les PRISONNIERS DES RETS DU MENSONGE.

Merci à  Martel Délégué de la Charte à la Rédaction des billets d’humeur et d’actualité .  pour  son envoi que l’on lira avec les profits habituels

Définitions de RETS par le CNRT.  Centre National de Ressources Textuelles ( et lexicales) https://www.cnrtl.fr/definition/

RETS. Subst. masc

LittéraireA. −Vx. Filet, ouvrage de corde ou de fil à grosses mailles servant à capturer des oiseaux, du gibier, des poissons. Tendre des rets.Il n’y aura pas hardi de poisson au marché. − Il vente trop dur. − Ils ne sauraient mettre leurs rets bas (Hugo, Travaill. mer, 1866, p. 67).Le mâle vint à voler jusqu’aux filets et il en rompait les mailles une à une avec son bec, jusqu’à ce qu’il fît dans les rets une ouverture (A. France, Thaïs, 1890, p. 24).♦ P. métaph.Le rets féodal, si serré et si pesant sur tout l’Europe, a dû, en Flandre, élargir ses mailles (Taine, Philos. art, t. 2, 1865, p. 2).− P. anal. (de forme). Réseau. Les mammifères présentent moins de différences à l’égard du ventricule gauche que du droit. Le mandrill a ses cordons charnus beaucoup plus minces, plus nombreux, et formant un rets plus composé que dans l’homme (Cuvier, Anat. comp., t. 4, 1805, p. 211).B. −Au fig. Artifice, ruse. Le fait qu’un seul chef de bureau français, à l’aide de trois dossiers, d’un apéritif (…), arriva à contrebattre le travail de notre plus grand espion (…), te prouve qu’il s’agit là d’un art bien matériel et grossier. Mais, jetés sur ces deux cents étrangers qui nous entourent, je soupçonne des rets autrement subtils (Giraudoux, Siegfried et Lim., 1922, p. 40).Ainsi tente-t-on, aux préludes d’un grand amour, de secouer les rets où vous emprisonne la femme que l’on a pour objet de rendre captive (Arnoux, Zulma, 1960, p. 139).♦ Prendre qqn dans ses rets. ,,Le faire tomber dans les pièges qu’on lui a tendus«  (Ac.).Prononc. et Orth.: [ʀ ε]. Homon. rai, raie. Att. ds Ac. dep. 1694.  Étymol. et Hist. 1^remoit. xii^es. subst. fém. sing. rei (Psautier Cambridge, éd. Fr. Michel, 140, 10); 1155 plur. reiz (Wace, Brut, éd. I. Arnold, 13593); xiii^es. subst. masc. sing. rez (Sermons poit., 103 ds T.-L.), surtout fém. jusqu’au xvii)^es. Du lat. retis « filet » masc. et fém. iv^es. ds Gaff., du class. rēte « id. » neutre; la graphie mod. est latinisante pour le -t- et le -s s’explique peut-être par le fait que le plur. lat. retes est plus fréq. que le sing.  Fréq. abs. littér.: 42.

Une escroquerie repose sur une architecture de mensonges, ce qui revient à placer des mensonges secondaires – et parfois de petites vérités tronquées et opportunes- afin d’arc-bouter LE MENSONGE de l’intérieur pour que ce dernier soit inébranlable.

Démolir ce mensonge global se heurte alors à des contradictions qui peuvent vous être opposées à l’emporte-pièce et vis-à-vis desquelles, à brûle pourpoint,  il est normal d’être démuni.

Le sieur Macron a incontestablement fait faire un grand pas à la manipulation par le mensonge.

Ainsi s’avère-t-il qu’en France n’y aura pas plus de morts en 2020 qu’en 2019 ou 2018 , et sans doute moins.

D’où chacun peut affirmer sans erreur que la pandémie dû à sa majesté SARS dicoV2020 n’a jamais existé; qu’il s’agit d’un mythe entretenu à des fins de contrôle des populations.

Jusqu’ici tout va bien mais dans ce même temps, il va devenir impossible de soutenir qu’il y a eu 4 fois moins de morts en Allemagne qu’en France pour cause de dicoV2020 alors qu’il n’y a pas eu de pandémie.

Examinons cependant ce résultat mirifique qui aurait été obtenu grâce à l’efficacité des comportements dits de barrière. « Certainement » vous diront les tenants de la bien-pensance; pourtant les masques étant anti bactériens et non antiviraux ils ne servent à rien, et les lieux clos (métro, avions, etc…) où s’entassent les populations n’ont pas donné lieu à une prolifération virale quelconque : ce qui n’est possible qu’en l’absence de virus… ou d’intervention divine.

Au tout départ la TV vous a seriné que le virus était là, là, il était là, et encore là (mais toujours par la TV hallucinogène) ensuite il s’est mis à circuler ; normal n’est-ce pas ?

Au début les nouveaux nés ne se meuvent pas ensuite ils deviennent autonomes… Quelle farce!

Et alors…et alors… et alors, faute d’outil de mesure de la circulation virale, un outil de détection du virus a été découvert brutalement dans un placard : la méthode d’amplification thermique des nucléides qui selon son « prix Nobel » d’inventeur (RIP opportunément courant 2019) ne pourrait jamais servir à détecter une seule maladie est devenue magiquement LE test de détection du virus pathogène dicoV2020 au prix de manipulations techniques qui en elles-mêmes constituent un triple mensonge. 

La méthode appelée PCR permet d’amplifier (de fabriquer en fait) du matériel biologique à partir d’un prélèvement de n’importe quoi & capturé n’importe où, afin de rechercher non un virus (1er mensonge) mais des séquences apparentées à certains caractères présents dans celui-ci.

Ensuite la bonne pratique étant de 25 cycles de reproduction; elle a été gonflée pour passer à plus de 50 en France. 

La réplication des matériaux étant exponentielle, il est certain que l’on a fini par obtenir de belles concentrations de séquences de nucléides fabriquées de toutes pièces. Ces concentrations optimisées n’existaient pas telles quelles dans le matériel de départ (2ème mensonge).

Last but not least, c’est sur la base de cette concentration fabriquée -à partir de résidus de virus ou d’autres choses- qu’un praticien lambda décide arbitrairement qu’il y a une occurrence voire une trace ancienne d’une charge virale impossible à préciser; en plus ce seuil d’alerte varie d’un praticien à l’autre, d’un laboratoire à l’autre et d’un pays à l’autre(3ème mensonge)…

Relever un de ces trois mensonges revient implicitement à admettre une certaine pertinence à la méthode PCR dans la détection d’un agent pathogène, ce qui est faux en raison du principe de la méthode et son objectif initial. 

A aucun moment et en aucune manière, les tests PCR ne constituent une analyse d’un prélèvement biologique, il s’agit d’une construction comme le sont les simulations mathématico-statistiques : ce sont des jouets de laborantins pervers.

Il ressort de tout ceci une évidence : tout mensonge comporte des lignes de force, des résistances internes, qui sont elles-mêmes des mensonges secondaires permettant de donner sa consistance à l’architecture d’ensemble.

Et tout le monde s’y perd, sauf quelques-uns rapidement et facilement marginalisés qui peuvent alors méditer sur « Nul n’est prophète en son pays« .

Ainsi architecturé le mensonge volontaire, réfléchi, délibéré devient le propre d’une escroquerie à l’échelle d’un pays.

Telle est la pratique de Macron et de ses affidés en vue de soutenir les menées de plus grands menteurs encore, tous obéissants au prince de ce monde, vous le saviez déjà.

Mais la fable nous rappelle-t-elle point qu’un seul souriceau suffirait à la libération du Lion?

Souriceaux de tous les pays : unissez-vous ! Il est grand temps.