Quelques notes de trompes de chasse et c’est tout un imaginaire, tout un folklore qui s’ouvre à nos oreilles… La nouvelle n’a pas fait la une des journaux, mais la trompe de chasse et l’art d’en jouer ont été reconnus, en décembre dernier, par l’Unesco comme méritant d’être inscrit au patrimoine immatériel de l’humanité. Une belle reconnaissance pour les sonneurs, ces musiciens qui sont encore très présents en France, et notamment dans le Loiret. La Fédération internationale des trompes de France est basée à Orléans ! Car c’est l’Hexagone qui compte le plus de sonneurs.
https://www.francemusique.fr/emissions/musique-connectee/musique-connectee-du-mardi-23-mars-2021-93234
Merci pour ce beau concert. La trompe de chasse : oui ! MAIS SANS LA CHASSE !!! SURTOUT L’ABOMINABLE CHASSE Á COURRE !!! oui, je sais, nos Rois en étaient fort amateurs, hélas ! ces pauvres bêtes traquées à mort !!! QUELLE HONTE !!!
J’ai assisté, il y a bien longtemps, à une messe de la St. Hubert, en Belgique justement, cela était en effet très beau ! d’où ma conclusion ci-dessus : LA TROMPE OUI, LA CHASSE NON ! on dira que ça n’est pas logique, tant pis, c’est ainsi ; j’aime trop les animaux pour accepter ces massacres scandaleux !
Amitiés à tous.
La chasse, oui : mais si elle réglementée. En France, à la Renaissance, la chasse à courre ou vènerie devient un art de vivre sous le règne de François Ier. Les chiens chassent, grâce à leur odorat et leur instinct de prédateur pour lesquels ils ont été entraînés. Le rôle de l’homme, généralement cavalier pour la circonstance, consiste à les contrôler et à les suivre.
La chasse à court ou vènerie est règlementée, c’est un mode de chasse qui consiste à poursuivre un animal sauvage (traditionnellement le cerf, le sanglier, le chevreuil, le renard, le lièvre ou le lapin) avec une meute de chiens courants, jusqu’à le perdre ou le prendre. Les chiens chassent l’animal sauvage à l’odeur qu’il laisse sur son passage, appelée la « voie ». Les veneurs, à pied ou parfois à cheval, encadrent la meute de chiens et les aident dans leur quête.
Le son des trompe avait à l’origine pour but d’abnnoncer l’arrivèe du Roi parmi les venurs. Le Bon Roi Henri IV aimait autant la chasse à court que la chasse… au beau sexe ! Son épouse Marie de Médicis, fatigué des ses « poutannes » l’obligea à porter avec lui leur fils le petit Louis -futur Louis XIII- agé de 10 ans. Henri IV apprenait ainsi au futur Louis XIII l’art de la chasse à court. Le Roi et le Dauphin prirent leur habitudes dans un petit village aux environ de Paris : les villageois étaient toujours au petit soin avec le petit Prince qu se prit d’affecetion pour le lieu et on dit que le Vert Galant appréciait quand à lui particulièrement les villageoies ! Devenu grand, Louis XIII voulu y construire un ralias de chasse. le nom du plaisant village : Versailles !
Louis XIV fit le Grand siècle Français, la vènerie et l’art de la trompe, insitutionalisés par le Roi soleil furent imité en Belgique et au Luxembourg. Le marquis de Dampierre créa le cor de chasse moderne sous Louyis XV. Mme Clotilde de France, sour de Louis XVI et de Mme elisabeth, connue comme la Bienheuruse Clotilde de Savoie après son mariage avec le Roi Charles Emmanuel IV de Piémont-Sardeigne, introduit la mode de la sonnrie des trompes de chasses au Piémont.
Le Roi Henri IV et le Dauphin Louis prirent leur habitudes dans un petit village aux environ de Paris : les villageois étaient toujours au petit soin avec le petit Prince qui se prit d’affection pour le lieu et on dit que le Vert Galant appréciait quand à lui particulièrement les villageoises ! Devenu grand, Louis XIII voulu y construire un relais de chasse. le nom du plaisant village : Versailles !