Il n’est bonne compagnie qui ne se quitte. Il ne devait pas être loin de 6 heures de l’Après Midi ce jeudi 25 août . Le chien de M. l’Abbé de Durat venait de sauter dans le véhicule de son maître prêt à repartir pour son logis vendéen. Les participants à nos Rencontres 2022 avaient déjà commencé à s’égayer chacun dans la direction de sa demeure. Quant à moi, je commençai à m’acquitter de la délicate tâche qui m’avait été confiée par mon épouse : ramener les bagages à la voiture.
Lorsque ayant rabattu le coffre de la voiture, mon attention fut attirée par un petit groupe de pèlerins de la Saint Louis regardant dans ma direction . C’est alors que les oiseaux s’étant tus j’entendis l’aubade que ces cinq ou six personnes avaient bien voulu me donner en ce moment où le soleil commençait à baisser sur l’horizon.
Ce chant est une cantique écrit en 1894 par Thérèse de Lisieux. Le titre original est « Cantique pour la canonisation de la vénérable Jeanne » mais est souvent simplifié en « Chant à Sainte Jeanne d’Arc« .
Chant magnifique qui m’était inconnu.