Le Mot du Gouverneur : Sur les 100 jours… (Partie 2)

         Chers amis lecteurs,

 

Continuons notre analyse

https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2023/04/23/le-mot-du-gouverneur-sur-les-100-jours-partie-1

     après cette interruption involontaire du blog de la Charte :

 

   Si le nom ne crée pas l’être, comme le Nominalisme voudrait nous le faire croire, du moins illustre-t-il certaines de ses caractéristiques.

 

 Comme dans la Genèse du monde, la Providence, en l’an de (dis)grâce 2017, amena devant les Français un drôle d’oiseau pour qu’ils lui donnent un nom.

Dans le Jardin de France, ceux-ci l’avaient déjà vu virevolter ici et là ; s’agiter comme ceci, en même temps que comme cela ; pousser à tout va ses clameurs à crever les tympans « nidroooate… nigôche ! » semblables aux « léon… léon ! » d’un de ses congénères rastaquouères du Jardin…

 

    Subjugués par son apparence proprette et luisante,  étonnés par sa voix éclatante ou onctueuse, bref, ravis du volatile, les Français le nommèrent  « Président ».

 

     Hélas, hélas, le serpent du Jardin lui avait déjà attribué un nom… en secret !

Lors d’une rencontre, il lui glissa en aparté : ” Si tu m’écoutes et que tu me suives, tu seras un dieu et un roi dans le Jardin de France. Accepte, et tu auras un nom à la fois divin et royal ; cependant pour la bonne marche de nos affaires, ton nom de roi sera codé pour qu’il ne découvre pas mon aide à ton avantage. ”


       Tout étant connu d’elle, la Providence permit !
C’est ainsi qu’advint Emmanuel Macron !

 

      Les Français le nommèrent « Président »… par châtiment divin !

Son vrai nom nous fut dévoilé… par miséricorde divine !

 

   Par châtiment divin, cela va de soi. Je ne vous en ferai pas ici la preuve ; depuis 2017, les événements en parlent mieux que moi, et nous abreuvent quotidiennement de leurs manifestations méphitiques.

 

      Par miséricorde divine, cela est plus discutable, et pourtant…

 

    La Providence divine n’hésite pas à manifester sa miséricorde pour nous, au moyen de cet élément révélateur qu’est le nom de notre Président, comme je l’évoquais dans la partie 1.                                                                              https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2023/04/23/le-mot-du-gouverneur-sur-les-100-jours-partie-1/

   Ce nom illustre la vérité sans voile de la nature de cet homme et de sa destination, pour nous faire espérer dans le temps de notre châtiment, et aussi nous faire tenir fermement jusqu’à notre proche futur libérateur :

 

    « Tu seras un dieu ! »

    C’est dans le prénom qu’il a reçu : Emmanuel, c’est-à-dire « Dieu avec nous ».

Je ne vous fais pas de dessin, les Français l’ont pris pour un dieu capable de résoudre tous leurs problèmes et même au-delà. Il est vrai que c’est moins vrai aujourd’hui.

 

    « Tu seras un roi ! »

C’est dans son nom de famille : Macron.

Ici, le même nom a deux significations qui ne peuvent absolument pas être séparées, puisque en provenance du même mot.

. « Macron », en grec, est le contraire de micron (petit), signifiant donc « grand » ou « Le Grand ».

. « Macron » est l’anagramme de « Monarc »

C’est un Monarque à qui il manque… sa fin ou sa finalité.  Même prononciation mais erreur sur la marchandise.

Macron est donc roi : « Le Grand-Monarc ».

 

      J’ose penser que la Providence veut nous éclairer non seulement sur la nature du personnage, mais sur l’adéquation et la nécessité de sa présence à la tête de l’État, en notre France de cette Fin des Temps.

      Que nous dit-elle ?

      Analogiquement ceci :
« Patience, avant le Grand Monarque que J’ai annoncé par mes prophètes depuis bien longtemps, le temps est maintenant celui où doit apparaître l’Anté Grand-Monarque. Il singe le Grand-Roi que Je suis en instance de vous donner, pour vous signifier l’imminence de l’arrivée de ce dernier, comme l’Antéchrist annoncera l’imminence de Mon Retour. »

J’ose aussi espérer que cet homme incarnera l’achèvement des 231 ans de l’ère révolutionnaire en France, commencée en 1791. 

  Il y eut un précédent en 1989 dans l’Union Soviétique, fille de la Révolution Française. Gorbatchev voulut la sauver… il l’acheva !

Trente-quatre ans plus tard, Macron veut jouer au Lord Protecteur de la Matrice révolutionnaire et républicaine… j’ose entrevoir qu’il en sera le fossoyeur !

 

    Sera-t-il le Gorbatchev de la République française ?
Sera-t-il le dernier et ultime Président ?


Quel étrange choix que cette période de 100 jours !

Citoyen Président, un an après ta réélection, tu crois pouvoir t’accorder les 100 jours de grâce (supposée) attribués (toujours à tort) à chaque début de quinquennat, pour te refaire une beauté politique.

Souviens-toi de 1815 !

  Alors… grâce ou déposition ?

Chouandecoeur

 

 

6 thoughts on “Le Mot du Gouverneur : Sur les 100 jours… (Partie 2)

  1. Conseil dans l'Espérance du Roi

    Mais savez-vous, chers amis, que comme le CER ne cesse de le répéter, Emmanuel Macron et ses sbires du gouvernement mènent la France à la ruine et à l’effondrement ? En voici le dernier épisode : https://actu.orange.fr/france/economie-malgre-la-reforme-des-retraites-la-note-de-la-france-degradee-par-l-agence-fitch-magic-CNT0000023d9ei.html
    Ajoutez-y la submersion migratoire et vous ne manquerez pas de remercier tous les citoyens français qui ont réélu cet “être maléfique” dénoncé il y a quelques jours par Brigitte Bardot.

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  2. Hervé J. VOLTO

    Entièrement d’accord avec Conseil dans l’Espérence du Roi : mais qu’est-ce qu’ils voualient s’attendre d’un jeune banquier d’affaire issu de la petite bourgeoisie de province ? suffisant, à ne parler que de pognon, à compter ses chalets (ceux qu’il a ou qu’il voudrait avoir) et ses rolexs, à n’avoir que la culture de l’argent et des chiffres, mais aucune culture tout court.

    Olivier a raison : LE ROI, VITE !

    Reply
  3. Vandevelde

    Amen, alléluia
    Ou Noël Noël comme on disait jadis aux jours de liesse
    Grand merci à Chouandecoeur qui nous aide à ne pas nous tromper de cible. Malheur à qui ne sait pas qui sont ses amis.
    basclergeensabots

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  4. BEAUREGARD ALAIN

    Tout à fait d’accord avec toi, mon cher François-Xavier.
    La présence à la tête de l’État d’Emmanuel Macron, « l’inversé » signale bien en filigrane la présence concomitante « à l’endroit » de ce dernier roi de France annoncé par tant de récurrentes prophéties.
    On peut dés lors être sûr que le Grand Monarque est bel et bien notre contemporain.
    Et s’il nous demeure encore inconnu, c’est que son temps, son « Kairos »(1) son moment opportun n’est pas encore venu. Il lui sera donné par Dieu.

    Justement en prolongeant ton raisonnement, on peut aisément écrire les  « parties » 3, 4 et 5 à ton commentaire sur les 100 jours de Macron

    Partie 3 : Par analogie au combat final par lequel le Christ s’opposera à l’Antéchrist, on peut être certain par analogie, qu’en « modèle réduit », sur la base d’une logique fractale (2) le Grand Monarque s’opposera à Emmanuel Macron pour le vaincre.
    On découvrira alors quels liens symboliques manifestent nécessairement à quel point l’un est l’envers de l’autre, l’un n’est que le double de l’autre mais inversé, en miroir… sorte de rappel biblique de la figure d’Adam par opposition à celle du serpent…

    Partie 4 : De même, par analogie au combat final par lequel le Christ s’opposera à l’Antéchrist, comment imaginer, pour préserver la valeur hautement symbolique de cette victoire du Grand Monarque sur son double inversé, sur sa sinistre doublure inversée, qu’Emmanuel Macron n’y perde pas réellement la vie ? !
    Ainsi, sera-ce très certainement la mort d’Emmanuel Macron qui, véritablement, donnera symboliquement la vie au Grand Monarque et lui conférera donc l’acquisition de sa véritable stature aux yeux du plus grand nombre, indice certain de la bascule des temps que vient accomplir cette grande figure de l’histoire contemporaine mondiale.
    En tant que prémices au retour du Christ en Roi de Gloire, ne sera-ce pas fort logiquement de la mort de son adversaire que notre dernier roi de France obtiendra son sacre….

    Partie 5 : La portée symbolique de ce combat qui va nécessairement les opposer suppose en bonne logique, qu’Emmanuel Macron soit à ce moment là le chef de l’État, incarnation usurpée à la tête de la France de la seule figure qui soit légitime à cette place : précisément, celle de notre dernier roi.
    On peut donc être certain, au terme même de la constitution qui interdit à l’actuel président de se représenter pour un 3ème mandat, que cette irruption « disruptive » du Grand Monarque, forçant l’actualité aura nécessairement lieu avant la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron.
    Son annonce des 100 jours vient, de toute évidence, nous dire symboliquement que l’échéance est plus proche.
    L’avenir nous montrera de quel « pas » doivent être comptés ces 100 jours…

    (1) Le moment opportun des mythes grecs par opposition au chronos, l’écoulement du temps
    (2) La répétition d’un même motif par invariance d’échelle

    Reply
  5. Hervé J. VOLTO

    Cent jours pour les prochaines étapes d’un agenda occulte : GPA pour tous, inscription au droit à l’euthanasie dans la constitution, le polyamour (la banalisation d’une nouvelle forme de polygamie pouvant porter à l’acceptation du principe du harem) et la dépénalisation des relations sexuelles entre adultes et enfants…

    Reply

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