Pourquoi sommes-nous sous la 5ème république ?
Nous sommes sous la cinquième république car il s’agit de la cinquième Constitution française républicaine qui a été écrite et validée par le peuple français dans son histoire.
La première République fût instaurée en 1792, à la suite de la Révolution Française de 1789 et de l’exécution du Roi de France Louis XVI. A noter que ce laps de temps entre 1789 et 1792 est dû à l’existence d’une période où le peuple français essayait de constituer une monarchie parlementaire, à l’instar de l’Angleterre.
La première République Française prit fin en 1799, par le coup d’Etat de Napoléon Bonaparte le 9 et 10 Novembre 1799.
Après la période Napoléonienne (1800-1814), la Restauration (1814-1830) et la Monarchie de Juillet (1830-1848),
la Seconde *(Deuxième) République est proclamée le 25 février 1848, qui proclame le suffrage universel et certaines libertés fondamentales (liberté de réunion, liberté de la presse, enseignement primaire gratuit et obligatoire,.)
Elle est renversée le 2 Décembre 1851 par le coup d’Etat de Louis-Napoléon Bonaparte, élu président de la République le 10 Décembre 1848 par suffrage universel.
- Ainsi nommée parce que l’on croyait qu’li n’y aurait jamais de III éme république.
Louis-Napoléon Bonaparte instaure le Second Empire (1852-1870) et prend alors le nom de Napoléon III
4 Septembre 1870: L’Assemblée proclame la déchéance de Napoléon III et proclame la III e République.
10 Juillet 1940: En pleine débacle, le Parlement vote et donne les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain, ancien héros de la Première Guerre Mondiale, qui devient chef de l’Etat. Pétain instaurera la collaboration avec l’Allemagne Nazie.
A la libération de 1944 suivra un gouvernement provisoire avec pour chef de gouvernement le héros de la Résistance française, le Général De Gaulle.
20 Janvier 1946: De Gaulle démissionne suite à un désaccord sur la future constitution de la IVe République française.
13 Octobre 1946: Instauration de la IVe République Française par l’Assemblée Constituante.
21 Mai 1957: L’Assemblée vote une énième chute du gouvernement.
1er Juin 1958: De Gaulle nommé à la présidence du Conseil par l’Assemblée et promet une nouvelle constitution.
4 Octobre 1958: instauration de la cinquième République Française. De Gaulle devient le premier président de la Cinquième République Française.
https://www.pourquois.com/histoire_geo/pourquoi-sommes-nous-sous-5eme-republique.html
Dans la même collection , voir : https://charte-fontevrault-providentialisme.fr/index.php/2023/09/04/4-septembre-1870-la-charte-de-fontevrault-inaugure-une-histoire-des-republiques/
Aprsè la renonciation du Comte de Chambord en 1973 et l’Amnadement wallon de 1975, la III° République déchristianise la France, la IV° République laïcise la France et la V° Républkique est en train d’isalmiser la France.
La vengence des Templiers : islamiser la France et les pays européens !
Le Royalisme en France, c’est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d’expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l’idée : tout le contraire de l’actuel euro-mondialisme isalmisant ! C’est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c’est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C’est enfin, face à la masse, l’affirmation de la personne… voulue Chrétienne.
cela resume bien la situation
Votre présentation est républicaine mais partiale
Il ne s’agit pas de MA présentation mais de celle du site dont les références son données en fin du post.
Pour ses partisans, le Royalisme consiste avant tout en une ambition pour la France : la volonté de redonner au pays sa position hégémonique de Fille Aînée de l’Eglise et d’Educatrice des Peuples qu’elle a eu jusqu’au début du siècle passé, de retrouver un Monarque apte à enclencher de grands projets, celle aussi de sortir du jeu des partis et de la politique à court terme qui caractérise, pour les Royalistes, l’exercice du pouvoir des hommes politiques de la république. Le Royalisme se pose pour certains comme une opposition au nouvel ordre mondial par le renforcement de l’État face aux institutions supranationales qui empiètent sur les libertés fondamentales des peuples. Ainsi la Monarchie est à leurs yeux plus « démocratique » que la république dans le sens où elle défend l’indépendance et l’autodétermination des peuples.
Réponse de M° Possoco.
Cher Professeur,
Il n’ a jamais dans mes intentions de mettre en cause les personnes qui ont participé à la rédaction de cet article mais il me semble que les textes sont toujours susceptibles d’ être critiiqués
Selon moi les constituions républicaines (cad faisant référence à la république )sont
-la constitution de 1793 votée mais jamais appliquée
-celle de 1795 dite du Directoire
-celle de l’ An VIII dite du Consulat
-celle de 1804 qui confie le gouvernement de la République à un empereur
-la constitution de 1848 dite de la Seconde République
-la constitution de 1852 qui suit le coup d’ état de 1851
-les 3 autres qui ne posent pas de difficulté
Je note donc 9 constitutions mais la distinction en 5 républiques est artificielle
Je relève au titre de la partialité de l’ article que le Maréchal est qualifié d’ ancien héros de Verdun
alors qu’il reste devant l.’ histoire le vainqueur de VERDUN. J’ entends qu’il s’agit d’un personnage dont l’ action a pu être controversée (comme Clovis, Charlemagne, François 1er, Napoléon, Robespierre, De Gaulle ou Mitterrand) mais l’histoire se doit d’ être impartiale.
Je relève aussi que le général est qualifié d’ héros de la Résistance ce qui est inexact : il était le chef de la FRANCE LIBRE.
Je vous remercie d’ avoir lu mon commentaire et la présente réponse et je vous souhaite une bonne
continuation de votre oeuvre et vous adresse l’expression de toute ma considération.
A Yanick Possoco,
Il me semble que vous oubliez la Constitution de 1791, élaborée dès 1789, présentée au roi le 4 septembre 1791, non signée par le roi mais acceptée par lui, et sur laquelle il a prêté serment le 14 septembre 1791.
Cette date devient ainsi la date la plus funeste de l’Histoire de France, car abolissant la Royauté de Droit Divin et Très Chrétienne qui aura duré 1295 ans.
A partir de cette date commencent tous nos maux jusqu’à aujourd’hui, en particulier l’instabilité systémique du pays qui au fil du temps va changer de régime en moyenne tous les 21 ans… soit à chaque génération !
Bien à vous,
Chouandecoeur
Vous allez me dire que la Constitution de 1791 n’est pas une constitution républicaine puisqu’elle crée la Monarchie Constitutionnelle… Mais qu’est-ce qu’une monarchie constitutionnelle sinon une république couronnée.
D’ailleurs les révolutionnaires ne s’y sont pas trompés puisque un an après, presque jour pour jour, 22 septembre 1792, elle est abolie et remplacée par la 1ère République.
Chouandecoeur
Gérard de Villèle, membre de la Charte de Fontevrault et descendant du Minstre de Charles X, a dit une fois très intelligente (dommage, je ne retrouve pas le lien) :
-Le Royalsime politique est mort avec le Ralliement.
Mort, peut-être pas… mais, mis en hibernation, oui certainement.
Depuis, le Royalisme n’est plus que commémoratif ou religieux. Celà laisse libre champs aux révolutionnaires, qui ne seraient pas contre une Monarchie de Juillet, mais voyant la résiatnce des Légitimestes, accumulent les Républiques…
Pour réveiller le Royalisme politique, il faudrait que le Royalsime redevienne également un mouveent Catholique.
Le Royalisme en France, c’est avant tout une attitude culturelle Catholique, celle de la Tradition. En politique, il participe du principe d’expension-évangélisation dont Léon XIII et Charles de Foucault reprendront l’idée : tout le contraire de l’actuel euro-mondialisme isalmisant ! C’est aussi un nationalisme Français et Chrétien : mourir pour la Patrie, c’est mourir pour le salut de la société Française destabilisée par les idées révolutionnaires. C’est enfin, face à la masse, l’affirmation de la personne… voulue Chrétienne.
Donc ce qu’il faudrait pour ne pas laiser le champs de l’actiona ux autres ce serait -je le dit comme je le poense- que l’Alliance Royale prenne en compte des mots d’rdre Catholique à la manièrede CIVITAS… te que CIVITAS prenne en compte des mots d’ordre Royalistes.
Sinon,le Royalisme politique restera endormie. Mais s’il y a un Royalisme commémoratif et un Royalisme religieux c’est que l’intéret pour la Monarchie augmente à mesure que la Républiqu éloigne la France du Bien Commun. Pour ses partisans, je vais le redire ici, le Royalisme consiste avant tout en une ambition pour la France : la volonté de redonner au pays sa position hégémonique de Fille Aînée de l’Eglise et d’Educatrice des Peuples qu’elle a eu jusqu’au début du siècle passé, de retrouver un Monarque apte à enclencher de grands projets, celle aussi de sortir du jeu des partis et de la politique à court terme qui caractérise, pour les Royalistes, l’exercice du pouvoir des hommes politiques de la république. Le Royalisme se pose pour certains comme une opposition au nouvel ordre mondial par le renforcement de l’État face aux institutions supranationales qui empiètent sur les libertés fondamentales des peuples. Ainsi la Monarchie est à leurs yeux plus “démocratique” que la république dans le sens où elle défend l’indépendance et l’autodétermination des peuples.
Il faudra trouver un moyen de réveiller le Royalisme politique, sinon on va se retrouver avec une VI° République.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l’on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d’Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l’Amour surmonté de la Croix du Sacrifice, espoir et salut de la France.
Gérard de Villèle, membre de la Charte de Fontevrault et descendant du Ministre de Charles X, a dit une fois une très intelligente (dommage, je ne retrouve pas le lien) :
-Le Royalisme politique est mort avec le Ralliement.
Mort, peut-être pas… mais, mis en hibernation, oui certainement.
Il faudra trouver un moyen de réveiller le Royalisme politique, sinon on va se retrouver avec une VI° République.
-Il faut prier et agir, agir et prier, toujours à la lumière de la plus extra-ordinaire jeunne fille que l’on ai vu sous le Soleil : Sainte Jeanne d’Arc (François-Marie Algould) !
Toujours sous le signe du double-Coeur de l’Amour surmonté de la Croix du Sacrifice, espoir et salut de la France.