La liste qui suit relatant les noms de quelques uns qui ont bien mérité de la Charte de Fontevrault a malheureusement vocation à s’agrandir. Que les prières que nous formerons à leur intention aujourd’hui même soient considérées comme un acte de pièté fillale.
Photo du haut. Madame Michelle Devert . D’heureuse mémoire. 4 éme Présidente de la Charte de Fontevrault de 1997 à 2000.
Photo du bas. (Prise en 1999 par Alain Texier dans la proprièté du Colonel et de Madame Rougevin-Bâvile Le Vieux Juriol). 87410 Le Palais.
On distingue de gauche à droite : – Madame Monique Blanc + ( Chemisier Blanc, jupe noire ) – – Madame Françoise Meynier + ( Jupe écossaise) . Bonne Hôtesse du Cercle d’Aguessau. – Monsieur Hervé Riou. Un temps Secrétaire Général de la Charte ( Lunette de Soleil) – Monsieur René Blanc + – Madame Nicole Maréchal. Entre Françoise Meynier et René Blanc; Ultérierement accueillante de l’équpe de routage. – Madame Michelle Devert.+ Présidente de la Charte de la Charte (1997-2000) A côté de la dame aux longs cheveux, dame que nous n’avons pas réussi à identifier. – Colonel Rougevin-Bâville + Secrétaire Général de la Charte en exercice ( la tête légérement penchée vers la gauche). – Marie-Jeanne Texier, mon épouse. Au tee shirt petit navire. – Monsieur X. entre mon épouse et Madame Rougevin-Bâville – Madame Rougevin-Bâville , la Maîtresse de maison. Chemisier Blanc , Jupe Bleue . – –
Inoubliable Michelle Devert qui était d’origine Pied Noire, comme votre serviteur.
Elle était membre de l’AGRIFF, si je ne me trompe…
Et comme sans doute aussi René Blanc lui aussi présent sur la photo.
Je sais que c’est hors sujet mais saviez vous que Marie Antoinette était née un 2 Novembre ?
2 novembre 1755 : naissance de Marie-Antoinette d’Autriche, à Vienne !
Nous célébrons, le 2 novembre, la naissance, en 1755, de Marie-Antoinette d’Autriche, à Vienne. Cette dernière n’est pas le premier enfant du couple impérial autrichien formé par la reine de Hongrie et de Bohême, Marie-Thérèse (1717-1780), et par l’empereur François Ier (1708-1765). En effet, elle naît après quatorze frères et sœurs et ne sera que l’avant-dernière de cette famille nombreuse.
Marie-Antoinette vient au monde, au palais de la Hofburg, le jour même où l’Église catholique commémore les défunts. Un présage que l’on pourrait qualifier de sinistre pour celle dont le destin finira ses jours sous le couperet de la guillotine, d’autant que la veille, le 1er novembre, un terrible tremblement de terre détruisit la ville de Lisbonne. Mais pour l’instant, la petite princesse grandit sous les tendres soins de ses gouvernantes dans les magnifiques demeures impériales de la Hofburg ou de Schönbrunn.
C’est dans celui-ci que se produisit une histoire des plus touchantes. Afin d’animer la cour de Vienne, il était de coutume de faire venir de nombreuses distractions et curiosités, comme la présentation de jeunes enfants jouant avec un talent rare des instruments de musique. Lors d’un récital, le 13 octobre 1762, Marie-Antoinette vit l’un de ces jeunes prodiges tomber de son tabouret alors qu’il jouait du clavecin et l’aida à se relever. Celui-ci, touché par la beauté, la grâce et la gentillesse de la princesse, lui aurait promis de l’épouser une fois le temps venu. Cet enfant, audacieux et ingénu, n’était autre que Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791).
En dehors de ces moments de détente, Marie-Antoinette reçoit une éducation digne de son rang. Ainsi lui est inculqué la danse, la musique ainsi que le français et l’italien, mais cette éducation cache en vérité un projet politique. Comme tout souverain, Marie-Thérèse d’Autriche voit en ses enfants des armes qu’elle peut utiliser au nom de la raison d’État et de la diplomatie. En effet, afin de se réconcilier avec les monarchies européennes dont le royaume de France, suite à la terrible guerre de Sept Ans (1756-1763), la souveraine d’Autriche entreprend de marier ses nombreuses filles aux descendants des têtes couronnées. Ainsi, en 1770, est arrangé avec l’accord du roi de France, Louis XV (1710-1774), l’union de son petit-fils et dauphin, Louis Auguste (1754-1793), futur Louis XVI, avec la princesse Marie-Antoinette. Sa soeur Marie Amélie épousera le Duc Ferdinand de Pame. Sa soeur Marie-Caroline épousera le Roi Ferdinad I° de Naples et des Deux-Sicles, le fameux Roi polisson. Tous des Bourbons et tous Catholiques. le frère de Marie Antoinette, Joseph II Roi du Laombard-Vènéto, épouse Isabelle de Bourbon-Parme, souer du Duc de Parme.
Pour sceller rapidement l’accord, un premier mariage par procuration a lieu le 17 avril 1770 à Vienne. Deux jours plus tard, Marie-Antoinette, sans le savoir, quitte pour toujours son pays natal en direction de la France. Après un mois de voyage éreintant, de haltes sans fin dans de nombreux châteaux et de réceptions interminables, la future dauphine de France arrive en France. Installée au château de la Muette, elle se prépare à son mariage qui eut lieu le 16 mai 1770. Quinze jours plus tard, afin de célébrer le mariage de son petit-fils, le roi fait donner un formidable feu d’artifice sur la place Louis-XV, aujourd’hui place de la Concorde. Malheureusement, l’un des artifices tombe sur une réserve de poudre et entraîne un incendie faisant paniquer la foule rassemblée. La cohue provoque la mort de plus d’une centaine de personnes. Un désastre que le peuple attribue à celle que l’on a déjà commencé à appeler avec haine « l’Autri-chienne ».
Ainsi le passage de l’enfance à l’âge adulte, de l’Autriche à la France, pour Marie-Antoinette se fit dans le sang. Comme un signe du destin, c’est sur le lieu même de l’accident que, 23 ans plus tard, la dernière reine de l’Ancien Régime, après avoir affronté les horreurs de la Révolution, est guillotinée le 16 octobre 1793.
Pour revenir à la fête des morts :
-[i]Jour où l’Eglise intercède pour ses membres endormis dans la mort et qui souffrent dans une ultime purification avant d’entrer dans la gloire[/i] (Martyrologe de Solesmes).
Saint Odilon (962-1049), abbé de Cluny de 994 à sa mort en 1049, établit, dans le millier de monastères qui dépendaient de la grande abbaye bourguignonne, un office liturgique à l’intention de tous les frères défunts.
L’extension de l’influence clunisienne étendit cette coutume à l’Eglise universelle en même temps que se précisait la doctrine concernant les âmes du purgatoire.
Autorisation Royale de Robert II le Pieux.
Jour des morts. Superbe méditation en vers de Charles Maurras en ce 2 novembre où chaque année depuis toujours nous honorons nos morts https://www.jesuisfrancais.blog/2023/11/02/mmmmmm/?utm_source=mailpoet&utm_medium=email&utm_campaign=jsf-matin-la-lettre-dernieres-publications-1904