Le , un Tunisien en situation irrégulière connu pour différents crimes égorge deux jeunes femmes dans la gare Saint-Charles à Marseille avant d’être abattu par des militaires de l’opération Sentinelle. L’attaque est revendiquée par l’État islamique Un individu fiché S, de nationalité Ingouche, égorge le professeur Dominique Bernard dans le lycée Gambetta. Il blesse trois autres personnes dont deux passent par un état d’extrême urgence à l’hôpital. Le parquet antiterroriste est saisi. L’individu a prêté allégeance à l’État islamique70.
Ceux qui nous ont été fidèles pendant les dix années d’expression du Conseil dans l’Espérance du Roi par son blogue (par exemple : https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2018/01/15/la-frenesie-reformatrice-demmanuel-macron-a-lepreuve-de-la-justice/) savent que nous avons TOUJOURS utilisé le verbe ÉGORGER (et ses dérivés) pour dénoncer les assassinats perpétrés par les islamistes dans notre pays avec des lames de couteau (quelles qu’en soient la forme et la longueur…), au nom du prophète Mahomet. Ils savent aussi que nous l’assortissions systématiquement de la phrase suivante : » COMME UN VULGAIRE MOUTON DE L’AÏD » !
Aussi, comme nous l’écrivions pas plus tard qu’hier à propos d’un article de ce blogue consacré au site Place d’Arme, découvrir aujourd’hui les manipulations lexicales de nos responsables politiques comme de leurs complices médiatiques est… PATHÉTIQUE ET DÉRISOIRE. Comme en 1945, ces collabos devront un jour rendre compte de leurs trahisons. Et le plus tôt sera le mieux.
C’est le prix à payer pour la tête de Louis XVI ! Et de Marie-Antoinette…
Rien à voir…
Quoique…