Rappel de quelques méfaits et crimes de la révolution dite française…. ou comment mourir en famille -Lamoignon de Malesherbes-

https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_de_Lamoignon#/media/Fichier:Blason_famille_fr_Lamoignon_(de)_(Nivernais).svg

Chrétien-Guillaume de Lamoignon de Malesherbes, né le à Paris, où il a été guillotiné le , est un magistrat, botaniste et homme d’État français.Il est particulièrement connu pour le soutien qu’il apporta, en tant que chef de la censure royale, à la publication de l’Encyclopédie de Denis Diderot et d’Alembert. Il fut un des défenseurs de Louis XVI à son procès ; il fut considéré comme ennemi de la patrie et périt guillotiné.

Evoquons « La pieuse mémoire de Chrétien-Guillaume de Lamoignon de Malesherbes, homme d’Etat, avocat de Sa Majesté le Roi devant la Convention, guillotiné à son tour avec plusieurs membres de sa famille : * sa fille Antoinette et * son mari, Louis Le Peletier de Rosanbo, *sa petite-fille Aline et son mari,* Jean-Baptiste de Chateaubriand (+ 22 avril 1794)

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3 thoughts on “Rappel de quelques méfaits et crimes de la révolution dite française…. ou comment mourir en famille -Lamoignon de Malesherbes-

  1. Hervé J. VOLTO

    J’ai cru que c’était òla famille de la journaliste Apoline de Apolline de Malherbe (née en 1980), journaliste de télévision.

    Mais non.

    La famille de Lamoignon de MalherbeS -Losangé d’argent et de sable- au franc-quartier d’hermine est une ancienne famille du Nivernais (XIIIe siècle), qui s’est surtout distinguée dans la magistrature. Venue s’établir dans le Donziois au XIVe siècle, elle tire son nom de sa région d’origine, les Amognes.

    La famille de la célèbre jouranliste, a famille de Malherbe est une famille subsistante de la noblesse française, d’ancienne extraction (sans le S) : D’or à deux jumelles de gueules, surmontées de deux lions affrontés du même. Originaire de Normandie, elle forma plusieurs branches dont l’une s’établit à Marçon, dans le Maine, dès le XVe siècle. Seule cette dernière branche dite des seigneurs de Poillé, maintenue noble à Orléans en 1667, est subsistante.

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