Il y en a une qui, curieusement, a refusé d’aller à la soupe : il faut le dire et le redire.
La décision surprise de Marion Maréchal-Le Pen de mettre entre parenthèses sa carrière politique est un coup de tonerre qui trouble élus et militants du Vaucluse, qui craignent de perdre des électeurs aux législatives. Elle élimine le risque à court terme d’une fronde contre Marine Le Pen, mais laisse planer la perspective d’un retour, peut-être à la fin du Quinquénat d’Emmanuel Macron.
Jean-Mari Le Pen n’a pas caché pas son désapoint ! Bruno Goldnish ses regrets ! Ni certains militants leur surprise, comme cette femme qui s’est donné tant de mal pour coller et tracter durant la Présidentielle. Beaucoups pensent sêtre donné du mal pour des prunes…
Une affaire personnelle ? Assurément. Marion Maréchal-Le Pen, qui ne briguera pas un nouveau mandat de députée du Vaucluse et va démissionner du conseil régional de Paca, en avait « ras le bol », selon un cadre du FN. À 27 ans et après cinq ans d’une expérience politique brillante vers laquelle l’avait poussée son grand-père Jean-Marie Le Pen, la jeune députée veut se construire une carrière professionnelle dans le monde de l’entreprise. Elle veut aussi s’occuper de sa fille d’à peine 2 ans, qu’elle élève seule depuis son divorce, son ex-mari ne l’aidant plus.
Ces derniers mois, elle avait du mal à supporter l’ambiance du milieu politique, y compris à l’intérieur du FN. Et si elle a effectué, en bon petit soldat, une quinzaine de meetings de soutien à sa tante, elle était prise d’une certaine lassitude face au pouvoir sans partage d’un Florient Phillipot omnipotant.
Sur les relations familiales, ensuite : c’est peu dire qu’elle n’aurait pas apprécié les propos de Marine Le Pen à Femme actuelle, la jugeant « raide » et surtout « inexpérimentée » alors qu’elle vient de batailler pendant cinq années à l’Assemblée nationale. Marine le Pen porte-t-elle une part de eresponsabilité dans le départ de sa nièce ? Marion Maréchal-Le Pen n’a jamais caché que le « ni droite ni gauche » ne lui convenait pas, persuadée que c’est en regardant vers la droite que le Front national pourra conquérir le pouvoir, cette Droite historique, Monarchique et Catholique traditionaliste, qui va de Joseph de Maîstre à Charles Maurras, et qui est la notre…
Mais Emmanuel Macron sait quand à lui que LES FOUS DU ROI savent à leur tour quand à eux que le Phantôme du Louvre est assis dans la pénombre sur un siège à accoudoirs, regardant sur son son écran les évênements avec le même détachement que s’il regarderait un match de foot, fumant un bon havanne dont la fumée s’accumule au plafond, déborde par la fenêtre ouverte pour s’ajouter aux nuages menaçant qui s’ammoncellent dangereusement…
ils savent qu’il n’ont plus qu’à attendre. Une intincelle…
Et puis qu’on parle de Marion Maréchal Le pen, CJA, même si elle a annoncé son retrait de la vie politique, elle va être très attentive à la recomposition de la vie politique. C’est du moins ce que laisse transparaître son entretien à VALEURS ACTUELLES.
La future ex-députée qui se revendique de la « droite Buisson », dit croire au clivage gauche-droite qui « continue d’exister mais est inexact dans la structuration actuelle des partis politiques. Pour le faire de nouveau fonctionner, elle tend la main à Laurent Wauquiez.
« Un profil comme Laurent Wauquiez change la donne. Mais il faut voir ce qu’il fera de ce pouvoir ! (…) Ce qui est sûr, c’est que dans le paysage politique actuel à droite, il fait partie de ceux dont les déclarations laissent penser qu’on aurait des choses à se dire et à faire ensemble » a-t-elle lancé.
Marion Maréchal-Le Pen s’oppose donc une nouvelle fois à Marine Le Pen qui se place davantage dans un clivage entre « patriotes » et « mondialistes ».
Il y en a une qui, curieusement, a refusé d’aller à la soupe : il faut le dire et le redire.
La décision surprise de Marion Maréchal-Le Pen de mettre entre parenthèses sa carrière politique est un coup de tonerre qui trouble élus et militants du Vaucluse, qui craignent de perdre des électeurs aux législatives. Elle élimine le risque à court terme d’une fronde contre Marine Le Pen, mais laisse planer la perspective d’un retour, peut-être à la fin du Quinquénat d’Emmanuel Macron.
Jean-Mari Le Pen n’a pas caché pas son désapoint ! Bruno Goldnish ses regrets ! Ni certains militants leur surprise, comme cette femme qui s’est donné tant de mal pour coller et tracter durant la Présidentielle. Beaucoups pensent sêtre donné du mal pour des prunes…
Une affaire personnelle ? Assurément. Marion Maréchal-Le Pen, qui ne briguera pas un nouveau mandat de députée du Vaucluse et va démissionner du conseil régional de Paca, en avait « ras le bol », selon un cadre du FN. À 27 ans et après cinq ans d’une expérience politique brillante vers laquelle l’avait poussée son grand-père Jean-Marie Le Pen, la jeune députée veut se construire une carrière professionnelle dans le monde de l’entreprise. Elle veut aussi s’occuper de sa fille d’à peine 2 ans, qu’elle élève seule depuis son divorce, son ex-mari ne l’aidant plus.
Ces derniers mois, elle avait du mal à supporter l’ambiance du milieu politique, y compris à l’intérieur du FN. Et si elle a effectué, en bon petit soldat, une quinzaine de meetings de soutien à sa tante, elle était prise d’une certaine lassitude face au pouvoir sans partage d’un Florient Phillipot omnipotant.
Sur les relations familiales, ensuite : c’est peu dire qu’elle n’aurait pas apprécié les propos de Marine Le Pen à Femme actuelle, la jugeant « raide » et surtout « inexpérimentée » alors qu’elle vient de batailler pendant cinq années à l’Assemblée nationale. Marine le Pen porte-t-elle une part de eresponsabilité dans le départ de sa nièce ? Marion Maréchal-Le Pen n’a jamais caché que le « ni droite ni gauche » ne lui convenait pas, persuadée que c’est en regardant vers la droite que le Front national pourra conquérir le pouvoir, cette Droite historique, Monarchique et Catholique traditionaliste, qui va de Joseph de Maîstre à Charles Maurras, et qui est la notre…
Mais Emmanuel Macron sait quand à lui que LES FOUS DU ROI savent à leur tour quand à eux que le Phantôme du Louvre est assis dans la pénombre sur un siège à accoudoirs, regardant sur son son écran les évênements avec le même détachement que s’il regarderait un match de foot, fumant un bon havanne dont la fumée s’accumule au plafond, déborde par la fenêtre ouverte pour s’ajouter aux nuages menaçant qui s’ammoncellent dangereusement…
ils savent qu’il n’ont plus qu’à attendre. Une intincelle…
Et puis qu’on parle de Marion Maréchal Le pen, CJA, même si elle a annoncé son retrait de la vie politique, elle va être très attentive à la recomposition de la vie politique. C’est du moins ce que laisse transparaître son entretien à VALEURS ACTUELLES.
La future ex-députée qui se revendique de la « droite Buisson », dit croire au clivage gauche-droite qui « continue d’exister mais est inexact dans la structuration actuelle des partis politiques. Pour le faire de nouveau fonctionner, elle tend la main à Laurent Wauquiez.
« Un profil comme Laurent Wauquiez change la donne. Mais il faut voir ce qu’il fera de ce pouvoir ! (…) Ce qui est sûr, c’est que dans le paysage politique actuel à droite, il fait partie de ceux dont les déclarations laissent penser qu’on aurait des choses à se dire et à faire ensemble » a-t-elle lancé.
Marion Maréchal-Le Pen s’oppose donc une nouvelle fois à Marine Le Pen qui se place davantage dans un clivage entre « patriotes » et « mondialistes ».