Parce qu’il faut quand même bien dire un mot sur le rappel à Dieu du professeur Robert Faurisson.

0 thoughts on “Parce qu’il faut quand même bien dire un mot sur le rappel à Dieu du professeur Robert Faurisson.”

1. Irène Pincemaille 3 novembre 2018 at 17h34

   Écoutez : pour résoudre ce genre de problème, une solution simple (trop simple peut-être) : organiser un débat public où les tenants de chaque thèse pourront comparer leurs arguments.

   Or, on ne voit qu’une chose : Mr. Faurisson avance des arguments, mais, au lieu de le contrer par des arguments contraires, on le traîne en justice, on l’accable de procès, on le prive de son poste de travail, on l’agresse y compris physiquement, etc… ce n’est pas la bonne manière pour démontrer qu’on a raison !!! Pour les tenants de la version officielle, c’est même fort maladroit !

   Qui a raison, qui a tort ? je n’en sais rien ! mais je répète : DÉBAT PUBLIC ! un point c’est tout !
   Amitiés à tous.

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   1. alaintexier Post author4 novembre 2018 at 9h24

      Ok! Gouverneur.

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2. Catoneo 5 novembre 2018 at 8h52

   Mourir à Vichy terminera peut-être le prochain sketch de Dieudonné.
   La question à laquelle Robert F. n’a pas répondu était de savoir par quel moyen alternatif le Troisième Reich aurait-il pu exterminer six millions de Juifs en si peu de temps. Jusqu’en 1941 les massacres de civils sur le front oriental étaient « classiques ». Si la Solution Finale fut adoptée le 20 janvier 1942 c’est bien la preuve qu’un traitement industriel serait seul capable de venir à bout de ces populations, ce qui ne signifie pas que 100% des victimes aient été passées au Zyklon B.
   Le débat de détail est inutile. Les « absents » ont tout dit.

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