REMEMBER
« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux » (Benjamin Franklin).
Étiez-vous en sécurité avant le confinement,quand les couteaux et le virus rôdaient en silence?
Hormis votre porte d’entrée, les frontières sécurisées ne protègeraient-elles pas?
Les soignants et tous leurs proxi sont-ils en sécurité pendant le confinement?
A l’heure actuelle, les déplacements autorisés sont-ils sûrs (masques hypothétiques /tests de masse inexistants / carence complète de zones de décontamination) ?
Serez-vous en sécurité après? Certes non.
Montaigne soutenait (historiquement, à prendre au 1er degré semble-t-il) que devant la nécessité, il fallait savoir se mettre sous la peau d’un veau afin de se préserver et survivre… mais il ne connaissait pas les subtilités perverses de la démocrature flanquée de sa sombre et ultime finalité.
De cette façon vous avez été, êtes et serez toujours contraints.
Au final, les déficits de préparations , de prévisions de nos gouvernants d’opérette vous contraignent.
Mieux, afin de justifier cette chienlit organisée, ils font de vous les coupables pour mieux vous taxer et vous imposer.
Sans liberté, avec une sécurité limitée, très fragile, nous sommes devenus un bétail votant et pusillanime.
Quand la peur fait la loi, la loi n’existe plus.
Alors l’inversion règne.
Remember
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