Alliances : Bouquin, de Boissieu, de Bonneval, de Buor, de Caradeuc d’Asson, de Coral, de Coüesnon, Dunoyer de Ségonzac, de Goulaine, de Guignard de Germond, Lamour de Caslou, de La Rochefoucauld-Bayers, Le Compasseur de Créqui-Montfort de Courtivron, Le Gouvello du Timat, Macé de La Barbelais, de Maynard, de Nervo, Pichard du Page, Pyriot de La Brédoire, de Saint-Priest d’Urgel.
La Famille d’Asson compte parmi ses membres deux pages de la grande écurie du roi Louis XV en 1725 et 1766, un page du roi Charles X en 1826, un camérier secret de cape et d’épée du pape Léon XIII en 1886, et de nombreux officiers (Gustave Chaix d’Est-Ange, Dictionnaire des familles française anciennes ou notables à la fin du xixe siècle, tome 3, pages 82 à 83 Baudry d’Asson (d’) [archive]).
Selon Gustave Chaix d’Est-Ange, cette famille est connue depuis 1236 et sa filiation suivie débute en 1410 avec Médor Baudry, qualifié varlet (terme équivalent à écuyer en Poitou), seigneur de La Raynerie, époux de Guillemette Bouquin. La famille de Baudry d’Asson se signala, lors de l’insurrection vendéenne, par son dévouement à la cause de la Royauté.
Régis Valette concède une filiation suivie depuis 1535, d’après des preuves faites au xviiie siècle pour l’admission aux pages de la grande écurie du Roi (Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Paris, Éditions Robert Laffont, 2007, 414 p. (ISBN 978-2-221-10875-8), p. 38).
La famille de Baudry d’Asson est une famille subsistante de la noblesse française, originaire de Vendée : D’argent à trois fasces d’azur.
Cette famille compte parmi ses membres des officiers, un camérier secret du Pape, des parlementaires. Et notre élu Royaliste Léon Armand…
Alliances : Bouquin, de Boissieu, de Bonneval, de Buor, de Caradeuc d’Asson, de Coral, de Coüesnon, Dunoyer de Ségonzac, de Goulaine, de Guignard de Germond, Lamour de Caslou, de La Rochefoucauld-Bayers, Le Compasseur de Créqui-Montfort de Courtivron, Le Gouvello du Timat, Macé de La Barbelais, de Maynard, de Nervo, Pichard du Page, Pyriot de La Brédoire, de Saint-Priest d’Urgel.
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La Famille d’Asson compte parmi ses membres deux pages de la grande écurie du roi Louis XV en 1725 et 1766, un page du roi Charles X en 1826, un camérier secret de cape et d’épée du pape Léon XIII en 1886, et de nombreux officiers (Gustave Chaix d’Est-Ange, Dictionnaire des familles française anciennes ou notables à la fin du xixe siècle, tome 3, pages 82 à 83 Baudry d’Asson (d’) [archive]).
Selon Gustave Chaix d’Est-Ange, cette famille est connue depuis 1236 et sa filiation suivie débute en 1410 avec Médor Baudry, qualifié varlet (terme équivalent à écuyer en Poitou), seigneur de La Raynerie, époux de Guillemette Bouquin. La famille de Baudry d’Asson se signala, lors de l’insurrection vendéenne, par son dévouement à la cause de la Royauté.
Régis Valette concède une filiation suivie depuis 1535, d’après des preuves faites au xviiie siècle pour l’admission aux pages de la grande écurie du Roi (Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Paris, Éditions Robert Laffont, 2007, 414 p. (ISBN 978-2-221-10875-8), p. 38).
Léon-Armand de Baudry d’Asson (1836-1915), conseiller général, député de la Vendée
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on-Armand_de_Baudry_d%27Asson