Louis Chagnon. » L’école française et l’islam, l’histoire d’un professeur d’histoire victime du terrorisme intellectuel »

Publié le 28 janvier 2015 par Louis Chagnon – historien                                                            Texte mis  en ligne par Edwige Berger, https://www.facebook.com/edwige.fleur

Résumé de mon affaire

J’ai enseigné l’histoire et la géographie au collège Georges Pompidou de Courbevoie en septembre 2003, puis le 1er octobre j’ai quitté l’Éducation nationale pour intégrer le ministère de la Défense à ma demande. Quelques jours auparavant, j’avais donné des cours sur l’histoire du monde musulman, dans lesquels j’avais révélé à mes élèves que Mahomet avait été un voleur, pour avoir pillé les caravanes de la Mecque, et un assassin, en faisant égorger 600 à 900 juifs en un jour, en référence au massacre de la tribu juive des Qurayzah en mai 627.

Après mon départ de l’Éducation nationale, j’ai appris qu’un collectif de parents d’élèves s’était constitué contre moi pour demander ma suspension de l’Éducation Nationale, en raison de mon cours sur le monde musulman en classe de 5ème. Une pétition avait été remise au principal du collège où on m’accusait de racisme anti-musulman et d’avoir dit que « Mahomet va se transformer en voleur et en assassin (…) il va imposer sa religion par la terreur, (…) il fait exécuter 600 à 900 juifspar jour ». Plusieurs articles avaient déjà paru sur l’affaire dans les journaux le Parisien, Métro et sur Internet, sans que je sois au courant !

En fait, la pétition en question était signée par sept personnes dont deux seulement étaient des parents de mes élèves de 5ème. Ce collectif de musulmans était dirigé par Monsieur Kamel Zmit, médecin anesthésiste et sa femme Madame Nora Zmit responsable du service des permis de construire à la mairie de Courbevoie qui étaient les parents d’une élève de 6ème Yasmine Zmit dont je n’avais jamais été le professeur.

Lorsque j’ai pu avoir accès aux feuilles de cours, plusieurs mois plus tard, au rectorat de Versailles, j’ai vu que quelqu’un avait ajouté à la main les mots « par jour » sur la feuille de l’élève Ramy El-Hoss dont le parent avait signé la pétition, la falsification (attestée plus tard par une analyse graphologique et scientifique) avait pour but de me discréditer en tant que professeur d’histoire.

L’Éducation nationale loin de me soutenir m’a poursuivi et a imposé la censure musulmane sur l’école laïque de la République française
 Le 5 novembre 2003, le rectorat de Versailles, sur la pression du collectif de parents musulmans, a ordonné la suppression des pages concernant le cours, qui ont donc été arrachées des cahiers par les élèves eux-mêmes.
 Mon cours, rigoureusement exact du point de vue historique, a donc subi une censure religieuse musulmane et cette censure a été exécutée par les fonctionnaires de la République ! Enfin, le 17 novembre, une lettre de Daniel Bancel, recteur de l’Académie de Versailles, proche de l’ancien ministre socialiste Lionel Jospin, m’informait qu’une procédure disciplinaire était engagée contre moi, à la suite d’un rapport fait par un Inspecteur pédagogique qui ne m’avait jamais vu ni parlé.

L’inspecteur pédagogique Paul Stouder estimait dans ce rapport que comme tous les nomades, les tribus arabes pratiquaient la razzia et qu’on ne pouvait pas qualifier cette pratique de vol. Pire encore, il affirmait que dans l’Islam, la lutte contre les marchands de la Mecque avait été la première forme de la guerre sainte, ce qui la rendait légitime. Ainsi, pour cet inspecteur, fonctionnaire de l’État français, les meurtres musulmans sont légitimes quand ils sont exécutés dans le cadre du Djihad ! Il passait sous silence le massacre de la troisième tribu juive de Médine et m’accusait aussi de « racisme anti-musulman».

Je suis donc passé devant un conseil de discipline et à ma stupéfaction le rectorat a argué de la phrase tronquée et falsifiée du collectif d’activistes musulmans, sans apporter aucun document original qui m’aurait permis de mettre en évidence cette escroquerie.
 J’ai bien été obligé de constater que le rectorat était complice de ces individus. J’ai écopé d’un blâme pour « formulation simpliste » et « attitude de provocation ou maladresse ». Pour autant, le conseil de discipline n’a pas retenu l’accusation de racisme de l’inspecteur pédagogique et a reconnu la véracité historique des faits enseignés.
 La conclusion s’impose d’elle même : le fait d’affirmer que quelqu’un qui a égorgé plusieurs centaines de juifs est un assassin, est donc pour le rectorat de Versailles, une « provocation ou une maladresse ». Même si cette sanction est minime, je ne l’ai jamais acceptée. J’ai donc entamé une procédure en 2004 auprès du Tribunal administratif pour contester le blâme.

L’administration de l’Éducation nationale n’a pas été la seule à me poursuivre car le collectif musulman avait également saisi le MRAP et la Ligue des Droits de l’Homme. Ceci a donné lieu à une campagne médiatique qui me présentait comme un «islamophobe », un « raciste anti-musulman ». La plainte de la LDH a finalement été rejetée par le Parquet de Nanterre et le MRAP, devant le Tribunal Correctionnel de Nanterre où il avait réussi à me faire traîner en mars 2004, a finalement renoncé à me poursuivre, en arguant que le blâme du conseil de discipline m’avait sanctionné « à la hauteur de la gravité des faits », induisant ainsi que j’avais été sanctionné pour « racisme » par le conseil de discipline et Kamel Zmit ajoutant que le blâme avait été voté à l’unanimité.

Tout ceci était parfaitement faux et j’ai donc poursuivi pour diffamation tous ceux qui m’avaient attaqué, à savoir Kamel Zmit, Jean-Claude Dulieu, responsable de la communication externe du MRAP et Mouloud Aounit, secrétaire général du MRAP. Celui-ci déclarera à la télévision le 13janvier 2005 que le délit de blasphème devait être réintroduit en droit français ! Tout enseignement critique de l’islam serait ainsi légalement interdit et passible de poursuites pénales.

En première instance début 2005, la diffamation a bien été reconnue mais les prévenus, Mouloud Aounit, Jean-Claude Dulieu et Kamel Zmit ont été relaxés « au bénéfice de la bonne foi » (alors que le Tribunal avait entre les mains l’expertise graphologique du cahier d’élève falsifié !) Je devais également verser à Kamel Zmit 500€ de dommages et intérêts sous prétexte qu’il avait été stigmatisé dans la presse comme islamiste, ce qui est une aberration juridique (la loi n’autorise pas le versement de dommages et intérêts au diffamateur par le diffamé). En appel, en septembre 2005, le tribunal n’a pas voulu retenir la diffamation mais a supprimé les dommages et intérêts que je devais à Kamel Zmit. En cassation, le jugement a été confirmé. Je n’ai donc pas pu les faire condamner.

J’ai également porté plainte pour faux et usage de faux, sur la base de la feuille de cours falsifiée mais le tribunal n’a pas donné suite.

Par contre, en 2008, le Tribunal administratif a cassé le blâme au motif que mes propos étant historiquement exacts, il n’y avait pas de faute professionnelle ce qui est la logique même. Cette décision est pour moi un acte qui confirme la liberté pédagogique du professeur dont tous les collègues peuvent arguer.

Il n’en reste pas moins qu’en France, qualifier d’assassin quelqu’un qui a fait égorger 600 à 900 juifs est devenu « raciste » Je considère donc la France comme étant devenu un État officiellement antisémite puisqu’un fonctionnaire français peut être sanctionné s’il qualifie d’assassin quelqu’un qui a fait égorger des centaines de juifs. Maintenant la question reste toujours posée aux professeurs d’histoire : Est-il possible de transmettre la vérité historique sur le monde musulman aujourd’hui en France ?

Louis CHAGNON

J’ai raconté l’intégralité de mon histoire dans le livre : « L’école française et l’islam, l’histoire d’un professeur d’histoire victime du terrorisme intellectuel », publié aux éditions Godefroy de Bouillon.

http://fr.metapedia.org/wiki/Louis_Chagnon

Et aussi :

http://www.pvr-zone.ca/ecole_islam.htm

1 thought on “Louis Chagnon. » L’école française et l’islam, l’histoire d’un professeur d’histoire victime du terrorisme intellectuel »

  1. Hervé J. VOLTO

    Parlons un peu de l’Islam. Nous sommes Chrétiens et croyons à l’Universalité du Christ, et, à ce titre, nous ne devons pas accepter la croyance des musulmans, il faut leur rappeler l’existence de la Sainte Vierge et de Jésus-Christ, tout comme le faisaient les Rois de jadis. Nous devons dire aux musulmans que Jésus n’avait pas de jumeau puisque ce prétendu jumeau n’était que Saint Jean-Baptiste. Surtout, nous devons leur enseigner que Jésus-Christ est mort, dans une grande et terrible solitude, sur la Croix. Rappelons-leur également que l’on ne doit pas tuer son prochain, mais, que l’on doit le respecter à travers cette Charité héritée de Jésus-Christ. La « zakât », notion de charité, existe pourtant bien dans l’Islam, ce dans le but d’éloigner le croyant du matérialisme.

    Si nous ne le faisons pas, beaucoup de musulmans se radicaliseront pour tenter d’éradiquer cette civilisation décadente qui s’étale à travers les médias aux yeux de tous les peuples. Bien évidemment, ce n’est pas le gouvernement qui sera confronté à la violence, mais, bel et bien, le peuple. Quand on a la responsabilité de diriger un pays, on a le devoir, sans passion, et courgaeusement, d’étudier l’islam objectivement: il faut l’étudier sur pièces et dans les faits. Que nous dit le Coran? Voivi pour ceux qui ne les connaissent pas encore, la Djihâd selon les textes:

    Sourate V, verset 37:

    -Voici quel sera les destin de ceux qui combattent Dieu et son envoyé: vous les mettrez à mort ou vous leur ferez subir le supplice de la Croix, vous leur couperez les mains et les pieds alternés. Ils seront chassés du Pays.

    Sourate VIII, verset 57:

    -Il n’y a point auprès de Dieu d’animaux plus vils que ceux qui ne croient point et restent infidèles.

    Sourate VIII, verset 59:

    -Si tu parviens à les saisir pendant la guerre, disperce par leur supplice ceux qui les suivent, afin qu’ils réflechissent.

    Sourate IX, verset 5:

    -Tuez les idolâtres partout où vous les trouverez, faites les prisonniers, assiégez les et guettez-les dans toute embuscade.

    Sourate IX, verset 29:

    -Faites la guerre à ceux qui ne croient point, jusquà ce qu’ils payent le tribu et qu’ils soient humiliés.

    Sourate XLVII, verset 4:

    -Quand vous rencontrerez les infidèles: tuez-les jusqu’à en faire un grand carnage, et serrez les captifs que vous aurez faits. <Ensuite, ou vous les mttrez en liberté, ou vous les rendrez moyennant rançon.

    Sourate XLVII, verset 22:

    -Les vrais croyants disent : Dieu n'a-t-il pas révélé un chapitre qui ordonne la guerre sainte?

    Sourate XLVII, verset 37:

    -Ne montrez point de lacheté et n'appellez point les infidèles à la paix quand vous leur êtes supérieurs.

    On le voit, le sort fait aux communuatés Chrétiennes d'Orient et aux captifs de guerre trouvent leur justification dans le coran. Ajoutons à celà le sort réservé aux femmes:

    -Sourate IX, verset 4 et 3:

    -Admonestez vos femmes dont vous craignez l'infidélité, reléguez dans des chambres à part et frappez les.

    Sourate IX, 34:

    Epousez, comme il vous plaira deux, trois ou quatres femmes ou vos captives de guerre.

    Peut-on encore parler de paix, de bopnheur, de vraie civilisation avec de telles lois?

    C'est la grave question que tout Chef d'Etat est en droit de se poser, et d'agir en conséquence en limitant, au besion en réprimant la propagande islamiste. Mais il faudrait pour celà un Etat Catholique.

    Hervé

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