En mémoire d’un triste fait
Du petit roi Louis XVII
Roi sans couronne
Il n a pas laissé un acte
Avec le ciel il a fait pacte
Mort sans tombeau
Vainquit par la patience
Simon son bourreau
Il n’a pas de pierre
La France n’en est pas fière
Il ne combattit jamais
Au fond son coeur pur pardonnait
Dans sa captivité
Il fut exténué
Gardant le sentiment en mourant
Son origine d’Henri IV son ascendant
De son droit royal
Il fut loyal
Mort d’épuisement de misère
A cause de ses adversaires révolutionnaires
Sur le grabat dans sa prison
Orphelin d’abandon
Entouré de ses anges sublimes
Il fut victime
D‘être roi il a souffert sans murmurer
Que j’en ai pleuré
Sans se plaindre il s’est éteint
Quelle triste fin
Enfant martyr quel supplice
Levant les yeux vers le ciel
Comme s’il voulait dire au Seigneur
Que votre volonté s’accomplisse
Entendant cette douce musique céleste
Quitta la vie terrestre
Quelle belle âme, quelle splendeur
Les bourreaux l’ont abreuvé de fiel
Le 8 juin mois du Sacré Coeur à Dieu,
il a donné son âme
A 10 ans remportant la victoire de ses infâmes
A 15 heures mort comme le Christ couronne d’épines
Il fut roi souffrant de douleur divine
Tragique histoire fut la sienne de ce palissant enfant
Que les anges lui apportèrent la couronne des innocents.
Christelle La fidèle
http://beaudricourt.hautetfort.com/
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=710955188966959&set=a.307626962633119.74667.185473404848476&type=1&theater
Et pour en savoir plus sur l’impossibilité que ce soit l’enfant royal qui soit mort au Temple : http://cril17.org/2014/06/09/lenigme-louis-xvii-de-plus-en-plus-presente-sur-internet/
La branche coupée
Un Roi s’élèvera finalement de l’antique race des Rois de France, d’une insigne piété envers Dieu … sa puissance s’étendra au loin sur terre et sur mer. »
Le Grand Monarque, qui sera accompagné de la Grande Mère, n’est en rien le descendant visible d’un roi français récent comme Louis XVI (Bourbon), mais bien au contraire issu d’une branche coupée et lointaine de la royauté franque, celle des Mérovingiens (vieille cape). L’Abbé Souffrant (1755-1828), précise :
« Le Grand Monarque est de la branche aînée des bourbons et il est issu d’un rameau coupé. »
Cette branche aînée des Bourbons exclut justement les Bourbons qui sont une branche secondaire de la dynastie royale ! Autrement dit, il est impossible d’établir la ligne généalogique du Grand Monarque qui se perd dans la nuit des temps car elle ne constitue pas ce qui le désigne en tout premier lieu.
Ilfaut donc chercher une descendance plus lointaine..
je me réjouis de ces commentaires en plein accord avec les préoccupations de la Charte de Fontevrault y compris celui de « Bertrand », ce qui est loin d’être toujours le cas.
Fort joli poême , très émouvant, félicitations à cette dame, mais… le thème choisi est faux !
Oui, le Roi Louis XVII fut bien un martyr, comme ses parents, mais, fort heureusement, un jour, le Ciel eut pitié de lui et le délivra de ses chaînes puisqu’il décéda non à 10 ans mais à 60 ans, en Hollande.
Oui, ce 8 Juin est un triste anniversaire car un malheureux enfant est bien mort ce jour-là et lorsque je me rends au cimetière Ste Marguerite, à Paris, je ne manque jamais de fleurir la tombe de ce petit martyr !
L’A.D.N. ! : bien sûr ! mais qu’a-t-on donné à analyser aux savants ? le coeur de l’enfant du Temple ou celui du petit prince Louis-Joseph, frère de Louis XVII ? ce coeur au parcours similaire et qui avait fort opportunément « disparu » !!! il y a quelques années.
Á nouveau bravo pour ce poême très romantique, mais RECTIFICATION pour le sujet.
Amitiés à tous.
Réponse bis : la fin ddu poême de cette dame fait penser à celui que Victor Hugo composa à ce sujet : « Et les vierges du Ciel avec des chants de fêtes,
Aux palmes du martyr ajoutèrent sur sa tête
La couronne des innocents ! » (cité de mémoire, d’où quelque incertitude ? !)
Amitiés.
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L’Abbé Souffrant (1755-1828), précise :
« LE GRAND MONARQUE EST DE LA BRANCHE AINEE DES BOURBONS ET IL EST ISSU D’UN RAMEAU COUPE »…
La branche Aînée des Bourbons est celle du Connétable de Bourbon, dont une partie fut retrouvée en Inde au XIX° siècle, et elle n’a rien à voir avec une descendance Mérovigienne, les Mérovingiens étant éteint avec le fils du Bon Roi Saint-Dagobert II. Une autre branche Aînée a-t-elle pu sur vivre entre l’Italie et la Lorraine? Ce n’est qu’une théorie mais Nonstradamus nommait le Grand Monarque LE GRAND LORRAIN.
Quand à la branche coupésd des Lys, on a le droit de penser, et là on peut se tromper, qu’il s’agiut de la descendance de Louis XVII.
Ou se trouve cette descendance?
Il y a trois hypothèses:
1. Naundorff était Louis XVII et les descendants de Naundorff sont les descendants de Louis XVII.
2. Naundorff n’était pas Louis XVII: le futur Grand Monarque est le descendant Salique de Louis XVII mais on ignore complètement où se trouve cette descendance, qui est celle des Lys coupés.
3. Le futur Grand Monarque ne descend de Louis XVII que par sa mère, petite-fille du petit-fil de l’Enfant-Roi, et membre de la branche coupée des Lys, et descendrait -c’est une théorie- par son père de la Branche Aînée de Saint-Louis, qui est celle des Bourbons-Montpensier-de-Valois-et-de-La Croix, lignée oubliée mais Légitime qui passe par le Connétable de Bourbnopn, les Prince de Mercoeur QUI SONT LEGITIMEENMT PRINCES ET DUCS DE BRETAGNE,et dont le Masque de Ferpourrait avoir été l’incarnation comme l’instrument Divin du témoignage de la permanance de la Légitimité Catholique et Royale: on ignore totalement, là aussi, où se trouve cette double descendance.
Un vrai Providentialiste ne se pose pas la question, les prophéties sont claires: quand tout semblera perdu, N.S. Jésus Christ chargera à Son heure -ET PAS AVANT!- Sa Très Sainte Mère Immaculée de nous révéler Son Lieutenant, tenu miraculeusement en réserve pour la régénération future de la France, Lieutenant qui mènerait en attendant une vie retirée et pénitante. C’est un acte de Foi qui nous est demendé. Chacun à son poste…
Pour ceux qui ne croirait pas en les prophéties du Grand Monarque, le doute sur la mort de Louis XVII ne saurait l’emporter sur l’espérence d’une VRAIE Restauration, dont l’Enfant-Roi -qu’il soit mort ou non au Ttemple- demeure le symbole, en attendant que se réalisent les promesses du Sacré-Coeur à la France…
Amitiés Fontevristes!
Hervé J. VOLTO, CJA,