Le Dr Jean Caux (+) présent à la Réunion de consécration au Sacré-Coeur de la Charte de Fontevrault de Paray le-Monial, était un des promoteurs de la véracité du Saint Suaire

8 – L’ADN du Christ.

Quel serait le code génétique de Jésus, fils de la Vierge Marie et du Saint-Esprit: le Dieu incarné? Grâce aux découvertes réalisées au cours des dernières années dans le domaine médical et biologique, les savants d’aujourd’hui seraient en mesure d’effectuer des tests scientifiques sur des traces de sang vieilles de plusieurs milliers d’années. Mais alors, est-ce que l’ADN du Christ, son code génétique, son groupe sanguin, pourraient être identifiés à partir… du Saint Suaire? Oui, ils le pourraient, mais pour appliquer le savoir humain à la personne du Christ il faudrait de la bonne volonté, et celle-ci, malheureusement, n’est pas toujours au rendez-vous. J’en suis extrêmement convaincu, surtout après avoir découvert récemment les choses que voici:

En 1997, suite aux controverses provoquées plus tôt par la publication des résultats de l’analyse du Linceul de Turin au moyen du test au carbone 14, je me suis rappelé que le Seigneur avait parlé du Saint Suaire à Maria Valtorta. J’ai cherché le texte en question, et j’ai fini par le trouver dans le troisième volume de “I Quaderni”, en date du 20 mai 1949 (aux pages 509-510). [2]

Voici la traduction française de ce passage:

« Pour qui sait voir, Maria, mon Saint Suaire ne témoigne pas seulement du fait que Je suis vraiment mort et ressuscité, mais aussi de comment J’ai été conçu, et de comment je suis né, pas selon les lois de l’humanité. Mon Saint Suaire est donc une confirmation des vérités que ma religion vous enseigne: ma Conception par l’opération du Saint-Esprit, la divine maternité de Marie, sa perpétuelle Virginité, ma Passion, ma Mort, et ma glorieuse Résurrection. Mais cela ne constitue une confirmation que pour ceux à qui il est donné de voir dans la lumière de Dieu. »

Au cours de la même année j’ai eu connaissance que quelques années plus tôt le docteur français Jean Caux * avait proposé au CIELT (Centre International d’Études sur le Linceul de Turin), [3] de prélever du Sang sur la célèbre relique, et d’en vérifier l’ADN pour savoir si ce Sang comportait 24 gênes maternels et 24 gênes paternels comme n’importe quel autre sang humain.

Malheureusement la proposition du Dr Caux n’avait pas été retenue par ladite Commission (le CIELT), qui s’est contentée d’autoriser un seul examen, celui du test au carbone 14 sur le tissu, laissant de côté le projet du Dr Caux au sujet du Sang. [4] Or la publication des résultats de l’analyse au carbone 14 sur le tissu a provoqué partout une grande confusion, d’autant plus que l’Église continue d’opter pour l’authenticité de la sainte relique. [5]

  • Présent à Paray-le -Monial pour la grande journée fontevriste de consécration au Sacré-Coeur du Samedi 27 juin 1992

J’ai donc contacté le titulaire suisse des Éditions du Parvis, éditeur aussi de la revue “Stella Maris”, et je l’ai mis au courant de ces choses. Celui-ci, souhaitant obtenir confirmation des nouvelles qu’il venait d’apprendre et désireux d’en savoir davantage, s’est mis en contact avec le Dr Caux, qui à son tour lui a fait parvenir des documents relatifs à la question. Par ces documents l’éditeur suisse apprenait que le 7 janvier 1996 le Dr Caux avait renouvelé sa demande au CIELT, en souhaitant que l’on procède sans autres délais à une analyse génétique de ce Sang et, si possible, qu’on pratique le même type d’analyse sur un échantillon du Sang provenant du miracle de Lanciano, et sur celui de la sainte Ampoule de Bruges. [6]

Pour justifier sa proposition le Dr Caux s’est toujours déclaré convaincu que l’examen de l’ADN du Sang prélevé sur le Saint Suaire pourrait nous dévoiler des choses étonnantes, ce que le texte dicté par Jésus le 20 mai 1949 à Maria Valtorta http://www.maria-valtorta.org laisse également entrevoir. De plus, il est fort probable que la réalisation de ce projet mettrait fin au conflit qui est né entre la science et la Foi à propos du Saint Suaire.

[2] Les trois volumes de “I Quaderni” dépassent les 2.000 pages imprimées, mais leur traduction française n’est pas terminée.
[3] Le Dr Jean Caux demeure à Paris. Il est membre du CIELT (Commission Internationale pour Examiner le Linceul de Turin) une commission scientifique internationale mise sur pied pour examiner le Saint Suaire de Turin, afin de savoir si oui ou non ce linceul aurait pu envelopper le Corps du Christ.
[4] Les scientifiques qui ont examiné ce morceau de tissu l’ont daté du Moyen Âge (13e/14e siècle), mais cette datation contredit les éléments historiques, en plus de contredire les résultats obtenus dans d’autres domaines de la science par des spécialistes eux aussi dignes de foi.
[5] Au cours de l’été 1998 le Pape Jean-Paul II s’est rendu à Turin pour vénérer publiquement le Saint Suaire qui y était exposé. En cette occasion le Pape a été imité par des foules considérables de fidèles.
[6] Le Dr Caux nous informe que pour le Suaire ces examens pourraient être réalisés sur le morceau de tissu qui a déjà été prélevé à Turin, le 21 avril 1988. Ce morceau n’a pas été utilisé par les laboratoires d’Oxford, Tucson, et Zurich.

http://www.parvulis.com/Documents/1-main-fr-LGM.htm

 

 

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  1. conseilesperanceduroi

    Le bon docteur Caux avait hélas tout oublié de ses cours de génétique ! Car le caryotype humain ne compte pas “24 GENES maternels et 24 GENES paternels” mais 22 CHROMOSOMES MATERNELS ET 22 CHROMOSOMES PATERNELS (que l’on nomme autosomes car non sexuels) auxquels s’ajoutent une paire de CHROMOSOMES SEXUELS (ou gonosomes). Soit, au total, 23 PAIRES. Dans le compte du Dr Caux…il y en a donc une paire de trop. Quant aux GENES, ils sont les constituants -entre autres- desdits chromosomes.
    Hippocrate pour le CER.

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  2. xavier

    Le sang de la Vierge Marie et celui du Christ sont uniques.
    (Larmes de sang apparues sur des icônes)
    Le sang examiné est du sang humain, de groupe AB, masculin et qu’il est identique dans les deux échantillons, c’est à dire celui du sang des larmes de l’Image de la Vierge et celui apparu sur le Visage de Jésus. » Mais il y a plus, le document poursuivant par des évaluations qui tiennent vraiment de l’incroyable : « la configuration des traits génétiques trouvés dans le chromosome Y ne correspond à aucune des configurations présentes dans la banque de données mondiale dans laquelle sont rassemblées les données de 22.000 sujets mâles provenant de 187 populations différentes ». Plus avant, on lit encore : « Ce sang est tellement rare qu’il faut le considérer comme presque unique. Par le calcul, la probabilité statistique de trouver, au cours des millénaires, une typologie de sans analogue, est presque nulle : Une probabilité de 1 sur 200 milliards de cas possibles ».
    Que signifie tout ceci ?
    En premier lieu, les données obtenues excluent, de la manière la plus absolue qu’il y ait eu fraude, duperie ou embrouille : personne au monde ne serait en mesure de produire du sang avec des caractéristiques semblables. D’autre part ces données indiquent, puisqu’il s’agit d’un sang unique, qu’il a appartenu à une seule Personne et à personne d’autre dans toute l’histoire de l’Humanité. Donc à un homme qui n’a pas eu d’ascendant ni de descendant. Et il est clair, alors, que la pensée court à ce que les Évangiles écrivent de Jésus, l’Homme Unique avec ces caractéristiques. Et il est significatif, à ce propos, que le sang des larmes apparu sur l’Image de la Vierge, soit identique à celui du sang apparu sur le Visage de l’Image de Jésus. On pourrait dire que, avec ces résultats on a pour la première fois une donnée scientifique qui pourrait concerner la Personne physique de Jésus : l’ADN de Jésus, le Dieu Incarné dans un Corps qui restera Unique.

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  3. Hervé J. VOLTO

    Moi je voudrai évoquer la gentillesse du regrétté Dr Jean Caux, alors Président de l’Association Française de Médecins Pro-Vie : il m’avait offert un livre, Eric Muraise, HISTOIRE ET LEGENDE DU GRAND MONARQUE (Ed. Albin Michel), quew je ne saurai QUE conseiller.

    Pour la petite histoire, c’est au domicile du Dr Caux, à La Selles-Saint-Cloud, que au cours d’une réception donné par lui après la conférence du Dr Gaspari à Paris sur PADRE PIO, LE CAHIER DE L’AMOUR ET LA ROYAUTE FRANCAISE du 31 Octobre 1992, que votre serviteur demenda la main de sa fiancée Antonella, qui accepta de devenir son épouse devant Dieu le 8 Mai 1993…

    Un chaleureux salut à sa fille Béatrice.

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  4. Pingback: Conférence du Dr Gaspari à Paris sur Padre Pio, « le cahier de l’amour  et la royauté française le 31 octobre 1992. | «La Charte de Fontevrault

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